eux châtains T’en souvient-il à n’y point croire De nos deux étranges
destins
Du boulevard de la Chapelle Du joli Montmartre
euil Il y tomba comme un automne La boucle de ton souvenir Et notre
destin
qui t’étonne Se joint au jour qui va finir
Le Cheval Mes durs rêves formels sauront te chevaucher. Mon
destin
au char d’or sera ton beau cocher Qui pour brides
Il disparut dans un tournant Et mourut là-bas tandis qu’elle Riait au
Destin
surprenant
forts et plus hardis que nous n’avons été La Victoire sourit à leurs
destins
habiles Et célébrant dans l’ordre et la prospérit
Shangaï. Je connais gens de toutes sortes, Ils n’égalent pas leurs
destins
, Indécis comme feuilles mortes Leurs yeux sont de
violons Font danser notre race humaine Sur la descente, à reculons.
Destins
, destins impénétrables, Rois secoués par la folie
ont danser notre race humaine Sur la descente, à reculons. Destins,
destins
impénétrables, Rois secoués par la folie… Et ces
our, vos baisers florentins Avaient une saveur amère Qui a rebuté nos
destins
. Ses regards laissaient une traîne D’étoiles da
Les satyres et les pyraustes, Les êgypans, les feux follets, Et les
destins
damnés ou faustes, La corde au cou comme à Calais
à Calais, Sur ma douleur quel holocauste ! Douleur qui doubles les
destins
, La licorne et le capricorne — Mon âme et mon cor
nom tremblant, c’est Paline ; Sa lame, un ciel d’hiver neigeant ; Son
destin
sanglant, gibeline ; Vulcain mourut en la forgean
gnes vont les misères des âges. Leur sillage s’efface aussitôt. Les
destins
Rient dans les moissons d’or et dans le sein des
re Vous, mendiants morts saouls de bière, Vous, les aveugles comme le
destin
Vous, les beaux gars morts à la guerre Et vous, p
ait la poitrine en s’écriant : « Rival ! « O mon être glacé dont le
destin
m’accable, « Dont ce soleil de chair grelotte, ve
le visage dans les mains Aux doigts semblables aux descendants de son
destin
Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe
le visage dans les mains Aux doigts semblables aux descendants de son
destin
, Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe,
tei ITALIE Ne te borne point à prendre les terres irrédentes Mets ton
destin
dans la balance où est le nôtre Les réflecteurs
s ce vin Qui contenait les mers les animaux les plantes Les cités les
destins
et les astres qui chantent Les hommes à genoux su
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