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1 (1916) La Boucle retrouvée « La Boucle retrouvée »
eux châtains T’en souvient-il à n’y point croire De nos deux étranges destins Du boulevard de la Chapelle Du joli Montmartre
euil Il y tomba comme un automne La boucle de ton souvenir Et notre destin qui t’étonne Se joint au jour qui va finir
2 (1908) Le Cheval « Le Cheval »
Le Cheval Mes durs rêves formels sauront te chevaucher. Mon destin au char d’or sera ton beau cocher Qui pour brides
3 (1916) L'Adieu du cavalier « L’Adieu du cavalier »
Il disparut dans un tournant Et mourut là-bas tandis qu’elle Riait au Destin surprenant
4 (1917) à Jean Thillois « à Jean Thillois »
forts et plus hardis que nous n’avons été La Victoire sourit à leurs destins habiles Et célébrant dans l’ordre et la prospérit
5 (1912) Marie-Sybille « Marie-Sibylle »
Shangaï. Je connais gens de toutes sortes, Ils n’égalent pas leurs destins , Indécis comme feuilles mortes Leurs yeux sont de
6 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
violons Font danser notre race humaine Sur la descente, à reculons. Destins , destins impénétrables, Rois secoués par la folie
ont danser notre race humaine Sur la descente, à reculons. Destins, destins impénétrables, Rois secoués par la folie… Et ces
7 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
our, vos baisers florentins Avaient une saveur amère Qui a rebuté nos destins . Ses regards laissaient une traîne D’étoiles da
Les satyres et les pyraustes, Les êgypans, les feux follets, Et les destins damnés ou faustes, La corde au cou comme à Calais
à Calais, Sur ma douleur quel holocauste ! Douleur qui doubles les destins , La licorne et le capricorne — Mon âme et mon cor
8 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
nom tremblant, c’est Paline ; Sa lame, un ciel d’hiver neigeant ; Son destin sanglant, gibeline ; Vulcain mourut en la forgean
9 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
gnes vont les misères des âges. Leur sillage s’efface aussitôt. Les destins Rient dans les moissons d’or et dans le sein des
10 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
re Vous, mendiants morts saouls de bière, Vous, les aveugles comme le destin Vous, les beaux gars morts à la guerre Et vous, p
11 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ait la poitrine en s’écriant : « Rival ! « O mon être glacé dont le destin m’accable, « Dont ce soleil de chair grelotte, ve
12 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
le visage dans les mains Aux doigts semblables aux descendants de son destin Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe
13 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
le visage dans les mains Aux doigts semblables aux descendants de son destin , Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe,
14 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
tei ITALIE Ne te borne point à prendre les terres irrédentes Mets ton destin dans la balance où est le nôtre Les réflecteurs
15 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
s ce vin Qui contenait les mers les animaux les plantes Les cités les destins et les astres qui chantent Les hommes à genoux su
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