jambes ouvertes y grec ou pairle Et des vapeurs pleins de mouchoirs
descendent
le Rhin Sur l’autre rive et en rampant s’enfuit
ions, Car, c’est moi seul, nuit, qui t’étoile. * Sirènes, enfin, je
descends
Dans une grotte avide. J’aime Vos yeux. Les degré
e Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent. * Je
descends
, et, le firmament S’est changé très vite en médus
lations, Car c’est moi seul, nuit, qui t’étoile. Sirènes, enfin, je
descends
Dans une grotte avide. J’aime Vos yeux. Les degré
ise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent. Je
descends
, et le firmament S’est changé très vite en méduse
rrible main de gloire. Le pendu, le beau masque et cet homme altéré
Descendent
dans l’enfer que je creuse moi-même Et l’enfer c’
t variable aussi bien que l’Euripe. Tu regardais le banc des nuages
descendre
Avec le paquebot orphelin vers les fièvres future
épandaient. Je m’en souviens, je m’en souviens encore. Un soir je
descendis
dans une auberge triste Auprès de Luxembourg : Da
de Dieu quelle allure nom de Dieu quelle allure cependant que la nuit
descend
[Notre-Dame] souvenirs de Paris avant la guerre i
a bouche les roses m’apparaissent Si je songe à tes seins le Paraclet
descend
O double colombe de ta poitrine
veille du quatorze Juillet Vers les quatre heures de l’après-midi Je
descendis
dans la rue pour aller voir les saltimbanques C
eille du quatorze juillet, Vers les quatre heures de l’après-midi, Je
descendis
dans la rue pour aller voir les saltimbanques.