Salomé Pour que sourie encore une fois Jean-Baptiste, Sire, je
danserais
mieux que les séraphins. Ma mère, dites-moi pourq
Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole, Quand je
dansais
dans le fenouil, en écoutant Et je brodais des ly
creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des fleurs et
danserons
en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai perdu ma jarre
Apollinaire Pour que sourie encore une fois Jean-Baptiste, Sire, je
danserais
mieux que les séraphins. Ma mère, dites-moi, pour
Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole, Quand je
dansais
dans le fenouil, en écoutant. Et je brodais des l
creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des fleurs et
danserons
en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai perdu ma jarre
Salomé Pour que sourie encore une fois Jean-Baptiste, Sire, je
danserais
mieux que les séraphins. Ma mère, dites-moi, pour
Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole, Quand je
dansais
dans le fenouil, en écoutant. Et je brodais des l
creuserons un trou et l’y enterrerons. Nous planterons des fleurs et
danserons
en rond Jusqu’à l’heure où j’aurai perdu ma jarre
Marie Vous y
dansiez
petite fille Y danserez-vous m
Vous y dansiez petite fille Y
danserez
-vous mère grand C’est la Marlo
Marie Vous y
dansiez
, petite fille, Y danserez-vous. mèr
Marie Vous y dansiez, petite fille, Y
danserez
-vous. mère-grand ! C’est la màclott
oilés tournés vers le nord Que je songe au village africain Où l’on
dansait
où l’on chantait Où l’on faisait l’amour
sait C’était donc une tête d’argent Là-haut c’était la lune qui
dansait
C’était donc une tête d’argent Et moi dan
ourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être noir Pourquoi ne pas
danser
et discourir Manger et puis dormir Et n
oilés tournés vers le nord Que je songe au village africain Où l’on
dansait
où l’on chantait Où l’on faisait l’amour
sait C’était donc une tête d’argent Là-haut c’était la lune qui
dansait
C’était donc une tête d’argent Et moi dan
ourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être noir Pourquoi ne pas
danser
et discourir Manger et puis dormir Et n
… De ce puits sortit l’Espérance. L’amour lourd comme un ours privé
Dansa
debout quand nous voulûmes Et l’oiseau bleu perdi
De ce puits sortit l’Espérance. L’amour, lourd comme un ours privé,
Dansa
debout quand nous voulûmes ; Et l’oiseau bleu per
sites ingénus Où sous les roses qui feuillolent De beaux dieux roses
dansent
nus. Viens, ma tendresse est la régente De la f
il vous garde Vous qui m’aimez assez pour ne jamais me quitter Et qui
dansez
au soleil sans faire de poussière Ombre encre du
urions emportaient le vinaigre, Et les gueux mal blessés par l’épurge
dansaient
. Etoiles de l’éveil ! je n’en connais aucune. Les
is des matelots »] Au tournant d’une rue, je vis des matelots Qui
dansaient
, le cou nu, au son d’un accordéon. J’ai tout donn
titude, oiseau feint, peint, quand vous tombiez, Le soleil et l’amour
dansaient
dans le village. Et tes enfants galants, bien ou
Le chant du firmament nous mènent. A sons perdus, leurs violons Font
danser
notre race humaine Sur la descente, à reculons.
sse. » — « Pierre mène son furet chasser les lapins » Le vent faisait
danser
en rond tous les sapins. « Lotte, l’amour rend tr
r leur propre cime et se penchent pour regarder Ce sont des dames qui
dansent
avec leurs regards pour yeux bras et cœurs J’ai r
Plus tard, dans un bal champêtre, Les couples mains sur les épaules,
Dansèrent
au son aigre des cithares. Ils n’avaient pas ou
s’amusa à faire des ricochets, Avec des cailloux plats, Sur l’eau qui
dansait
à peine. Des barques étaient amarrées Dans un hav
Plus tard, dans un bal champêtre, Les couples, mains sur les épaules,
Dansèrent
au son aigre des cithares. Ils n’avaient pas ou
s’amusa à faire des ricochets Avec des cailloux plats, Sur l’eau qui
dansait
à peine. Des barques étaient amarrées Dans un h
; « Morgane regardait du haut du mont Gibel. « Ah ! qu’il fait doux
danser
quand pour vous se déclare « Un mirage, incertain
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