mains Vers les iris fées gardés par les grenouilles. Et pour moi les
cyprès
n’étaient que des quenouilles, Et mon jardin, un
venant Ils ont demandé tant de ces bouteilles longues Comme les longs
cyprès
d’un grand jardin rhénan Un phonographe énamour
quième, Sainte-Fabeau, C’est la plus belle des quenouilles ; C’est un
cyprès
sur un tombeau Où les quatre vents s’agenouillent
Élégie Le ciel et les oiseaux venaient se reposer Sur deux
cyprès
que le vent tiède enlaçait presque Comme un coupl
Qui sourient du concert joué par les grenouilles. Elles ont envie des
cyprès
, grandes quenouilles, Et, le soleil, miroir des r
Qui sourient du concert joué par les grenouilles Elles ont envie des
cyprès
grandes quenouilles Et le soleil miroir des roses
saya de chanter Mais l’effraie ululant il trembla dans sa cage : « Ce
cyprès
là-bas a l’air du pape en voyage Sous la neige. »
ouviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages ? Les
cyprès
projetaient sous la lune leurs ombres ; J’écoutai
ures, Et laisse feuilloler longtemps les plumes bleues, Que secoue le
cyprès
où niche l’oiseau bleu. Une Madone, à l’aube, a