beau L’oise perchéau Sur ton chapeau Il a vécu En Amérique Ce petit
cul
Or nithologique Or J’en ai assez Je v
ts yeux tout ronds pareils aux yeux des Huns Dame de mes pensées au
cul
de perle fine Dont ni perle ni cul n’égale l’Orie
des Huns Dame de mes pensées au cul de perle fine Dont ni perle ni
cul
n’égale l’Orient Qui donc attendez-vous Mes plus
maquillées aux gestes étranges Il vint des estropiés des aveugles des
culs
de jatte des manchots des boiteux Il vint même de
tondité sans sexe de la terre, La lune, chaque mois, si vaine de son
cul
, Et de tes yeux jaillit, même quand tu les voiles
tondité sans sexe de la terre, La lune, chaque mois, si vaine de son
cul
, Et de tes yeux jaillit, même quand tu les voiles
e l’artillerie l’artillerie ne s’est pas aperçu qu’elle avait mal au [
cul
] Les 3 serveants bras dessus bras dessous se so
i resourient les yeux humides. Et moi j’ai le cœur aussi gros Qu’un
cul
de dame damascène. O mon amour, je t’aimais trop,
z, flagellez les nuées du coucher Qui tendent sans espoir de si jolis
culs
roses. Et, c’est le soir, les fleurs de jour déjà