Puissent ces dieux sans figure m’épargner toujours Au demeurant je ne
crois
pas mais je regarde et j’écoute et notez Que je l
rde et j’écoute et notez Que je lis assez bien dans la main Car je ne
crois
pas mais je regarde et quand c’est possible j’éco
est prophète mon cher André Billy Mais il y a si longtemps qu’on fait
croire
aux gens Qu’ils n’ont aucun avenir qu’ils sont ig
(« Cher Y… je suis brigadier ») Cher Y… je suis brigadier Faut pas
croire
qu’ici l’on vole Ses galons. Mais un saladier Les
sa mémoire La boucle de cheveux châtains T’en souvient-il à n’y point
croire
De nos deux étranges destins Du boulevard de la
s s’apaisaient comme un midi d’été Les bergers comprenaient ce qu’ils
croyaient
entendre Car ils savaient déjà tout ce qu’ils éco
son détestable ouvrage La farce du miroir trompa plus d’un amant Qui
crut
aimer sa belle et n’aima qu’un mirage. Guillaum
ousseau, je bois à sa santé ! 1. [Note de Maurice Raynal] Le poète
croyait
alors que Rousseau avait perdu ses enfants. Or, u
donner Je partirai à 20 h. 27 Six glaces s’y dévisagent toujours Je
crois
que nous allons nous embrouiller encore davantage
d’êtres laids qui me font mal et qui viennent de je ne sais où Oui je
crois
qu’ils viennent de la vie d’une sorte de vie qui
n, s’il te plaît. » — « Lotte, es-tu triste ? O petit cœur ! » — « Je
crois
qu’elle aime. » — « Dieu garde ! » — « Pour ma pa
trempés dans du miel blond Une femme lui dit Tu n’invoques personne
Crois
-tu donc au hasard qui coule au sablier Voleur con
i Va-t’en le crépuscule a des lueurs légères Et puis aucun de nous ne
croirait
tes récits Il brillait et attirait comme la pan
ans du miel blond ? » Une femme lui dit : « Tu n’invoques personne,
Crois
-tu donc au hasard qui coule au sablier ? Voleur,
Va-t’en, le crépuscule a des lueurs légères Et puis aucun de nous ne
croirait
tes récits. Il brillait et attirait comme la pa
s la direction qu’ils ont prise. Il me suffit de tous ceux-là pour me
croire
le droit De ressusciter les autres. Un jour je m’
be noire Ont-elles vainement pleuré ? Malheur, dieu qu’il ne faut pas
croire
! Et toi, qui me suis en rampant, Dieu de mes d
nté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils
croient
en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfan
nté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils
croient
en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfan
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