tout votre avoir Apprenez du nouveau car il faut tout savoir Lorsque
crie
un prophète il faut que l’alliez voir Et faites d
uaires En danse macabre aux plis de mon cervelet. Et, tous ces mets
criaient
des choses nonpareilles,
vives mastiquaient à qui mieux mieux. Ah, nom de Dieu ! qu’ont donc
crié
ces entrecôtes, Ces grands pâtés, os à la moelle
ssuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet Et tous ces mets
criaient
des choses non pareilles
convives mastiquaient à qui mieux mieux Ah nom de Dieu qu’ont donc
crié
ces entrecôtes Ces grands pâtés os à la moelle et
Et les coteaux où les vignes rougissent là-bas. Ils se disputent et
crient
des choses qu’on ose à peine traduire « Bâtard co
fie qu’il faut prendre garde à bien des choses * * * Le mégaphone
crie
« allongez le tir » * * * Allongez le tir amo
i romanesque. Avec ses grandes fenêtres, son toit pointu Sur lequel
criait
, par instants, la girouette Au vent qui demandait
pousse une fausse note Quand Schulz vient portant un baquet. Hannes
crie
en versant des larmes : « Baquet plein de vin par
t plus intense de minute en minute Nuit des hommes seulement Nuit qui
criait
comme une femme qui accouche
ntable cri profond devenait plus intense de minute en minute Nuit qui
criait
comme une femme qui accouche Nu
verse Picasso, Buvons-les donc, puisque c’est l’heure de les boire En
criant
tous en chœur : « Vive ! Vive Rousseau ! » O pe
ortées De rails, leur folie de machines. Les cafés gonflés de fumée
Crient
tout l’amour de leurs tziganes, De tous leurs sip
es. — Là-haut, le vent tordait ses cheveux déroulés. Les chevaliers
criaient
: « Loreley ! Loreley ! » — Tout là-bas sur le
t cacher leurs noms Œil du Breton blessé couché sur la civière Et qui
criait
aux morts aux sapins aux canons Priez pour moi Bo
t leur seul laps d’amour. Elle balla, mimant un rythme d’existence,
Criant
: « Depuis cent ans j’espérais ton appel. « Les a
L’Ermite Un ermite déchaux, près d’un crâne blanchi,
Cria
: « Je vous maudis martyres et détresses, Trop de
furtive ardeur des serpents qui s’entr’aiment Et le larron des fruits
cria
Je suis chrétien Ah Ah les colliers tinteront c
l est bien d’êre obscènes quand on s’aime ? » Et le larron des fruits
cria
: « Je suis chrétien ! » — « Ah ! Ah ! les coll
tête pour le regarder Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils
crient
s’il sait voler qu’on l’appelle voleur Les anges
tête pour le regarder Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils
crient
s’il sait voler qu’on l’appelle voleur Les anges