aire ô ma maman D’être cet employé pour qui seul rien n’existe Pi-mus
couples
allant dans la profonde eau triste Anges frais dé
s qui sont tes G.V.C. La poule d’eau caquète et plonge à ton approche
Couple
des marais les turquoises Hennissements p
s qui sont tes G.V.C. La poule d’eau caquète et plonge à ton approche
Couple
des marais les turquoises Hennissements p
e reposer Sur deux cyprès que le vent tiède enlaçait presque Comme un
couple
d’amants à leur dernier baiser. La maison, près d
ucun pauvre désir ne gonfle ma poitrine Lorsque je vois, le soir, les
couples
s’enlaçant. Et je ne veux plus rien, sinon lais
enlaçant. Et je ne veux plus rien, sinon laisser se clore Mes yeux,
couple
lassé, au verger pantelant Plein du râle pompeux
ls distribuèrent aux enfants. Plus tard, dans un bal champêtre, Les
couples
mains sur les épaules, Dansèrent au son aigre des
eprit terre et ce fut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient, Et par
couples
aux belles bouches, Marchaient à distances inégal
ls distribuèrent aux enfants. Plus tard, dans un bal champêtre, Les
couples
, mains sur les épaules, Dansèrent au son aigre de
eprit terre et ce fut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient, Et par
couples
aux belles bouches, Marchaient à distances inégal
langoureux dehors feignaient l’automne Les convives c’étaient tant de
couples
d’amants Qui dirent tour à tour Voleur je te pard
angoureux dehors feignaient l’automne, Les convives c’étaient tant de
couples
d’amants Qui dirent tour à tour : « Voleur, je te
pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par
couples
Puis s’en vient la colombe esprit immaculé Qu’esc
pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par
couples
Puis s’en vient la colombe esprit immaculé Qu’e