là qui luit Comme ils cueillaient la rose ardente Leurs yeux tout à
coup
ont fleuri Et quel soleil la bouche errante A qui
loin, Nous envoient des baisers sans nombre. La nuit arrive tout à
coup
Comme l’amour dans ces ruines. Du Rhin, là-bas, s
op sûrs d’eux Trop enfoncés sous terre déjà enterrés Ca ta clac des
coups
qui meurent en s’éloignant En y veillant tard d
ote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entendre les
coups
Et tel obus siffler de la démence Ou le tac tac t
op sûrs d’eux Trop enfoncés sous terre déjà enterrés Ca ta clac des
coups
qui meurent en s’éloignant En y veillant tard d
ote Entends la terre véhémente Vois les lueurs avant d’entendre les
coups
Et tel obus siffler de la démence Ou le tac tac t
sachant qu’un enfant venait de naître Près de là Sur le
coup
de minuit d’un jour alcyonien Se mirent tous en r
On m’a donné vingt ans Je suis soldat français on m’a blanchi du
coup
Secteur 59 je ne peux pas dire où Pourquoi donc
On m’a donné vingt ans Je suis soldat français on m’a blanchi du
coup
Secteur 59 je ne peux pas dire où Pourquoi donc
eurs. Laissant sa mule, à petits pas, s’en vint l’amante ; A petits
coups
, le vent défripait ses atours. Puis les pâles ama
e, Une brume qui vient d’obscurcir les lanternes, Une main qui tout à
coup
, se pose devant les yeux, Une voûte entre vous et
s’arrêtaient près de lui Il en venait de toutes parts Lorsque tout à
coup
les cloches de Saint-Merry se mirent à sonner L
ITALIE Entends braire l’âne boche Faisons la guerre à
coups
de fouets Faits avec les rayons du soleil
cordialité, Tant de tendresse même, Que les prenant en amitié Tout à
coup
, Je les invitai à une promenade Loin de l’obituai
cordialité, Tant de tendresse même, Que les prenant en amitié Tout à
coup
, Je les invitai à une promenade Loin des arcades