automne. Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent. Le colchique
couleur
de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont com
es colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont
couleur
de tes paupières Qui battent comme les fleurs bat
La Grâce exilée Va-t’en va-t’en mon arc-en-ciel Allez-vous-en
couleurs
charmantes Cet exil t’est essentiel Infante aux é
s en franchise à la porte du ciel Nous t’apporterons des pinceaux des
couleurs
des toiles Afin que tes loisirs sacrés dans la lu
es profondes Etincelles O nous les très belles
couleurs
Mai 1915
Nous t’apporterons des pinceaux, des
couleurs
,
gne de nos origines profondes Etincelles O nous les très belles
couleurs
1914 1915 [ronde] [drape
e nos origines profondes Etincelles O nous les très belles
couleurs
1914 1915 [ronde] [drape
nez son nom elle porte en elle des millions d’oiseaux qui donnent une
couleur
inconnue au ciel de la région où vivent ses perso
Visée À MlleCarrubba [signal optique d’artillerie] 8 Chevaux
couleur
cerise limite de Zélande Des mitrailleuses d’or c
Visée À Mlle Carrubba [signal optique d’artillerie] 8 Chevaux
couleur
cerise limite de Zélande Des mitrailleuses d’or c
automne. Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent. Le colchique
couleur
de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont com
Le Voyage du Kabyle Belle
couleur
du Pobiron [à droite, verticalement de gauche à
ont des plis qu’on ne défera pas, Tapis qui sont presque entièrement
couleur
de la poussière Et où quelques taches jaunes ou v
Les saltimbanques ne bougeaient pas. Le plus vieux avait un maillot
couleur
de ce rose violâtre qu’ont aux joues certaines je
une odeur de graisse et de graillon. On eut vingt potages, dont trois
couleurs
d’urine, Et, le roi prit deux œufs pochés dans du
t Comme le cœur blessé de la madone Dont on doute si elle eut la peau
Couleur
des châtaignes d’automne… Honnef , novembre 19
t une odeur de graisse et de graillon On eut vingt potages dont trois
couleur
d’urine Et le roi prit deux œufs pochés dans du b
fleur s’offre à qui veut le cueillir Il y a là des feux nouveaux des
couleurs
jamais vues Mille phantasmes impondérables Auxque
dans le Rhin. Pour avoir vu dans l’eau, la belle Loreley, Ses yeux
couleur
du Rhin, ses cheveux, de soleil. Bacharach, Mai
i ont des plis qu’on ne défera pas Tapis qui sont presque entièrement
couleur
de la poussière Et où quelques taches jaunes ou v
o entra dans la rue Aubry-le-Boucher Jeune l’homme était brun et ce
couleur
de fraise sur les joues Homme Ah! Ariane Il jouai
sont parées de guirlandes d’éblouissements De bulles de globules aux
couleurs
insoupçonnées Nous jouissons de tout même de no
e sentais l’aorte avare éperdument. Une goutte tomba. Sueur ? et sa
couleur
? Lueur ! le sang est rouge ! et j’ai ri des damn
é mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pêcher Les citrons
couleur
d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi
mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pêcher. Les citrons
couleur
d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi
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