fois de toi fera le tour Toutes tes mains à la dérive Maigre comme un
cou
de vautour Maisons deviennent des lumières Des
out à coup Comme l’amour dans ces ruines. Du Rhin, là-bas, sortent le
cou
, Des niebelungs et des ondines. Ne craignons ri
ui éclosent la nuit O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton
cou
penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Sign
osent la nuit O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton
cou
penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Sign
vipères ardentes de mon bonheur, Et les serpents ne sont ils que les
cous
des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas
ui ressemblant — C’était son regard d’inhumaine, La cicatrice à son
cou
nu, — Sortit saoule d’une taverne Au moment où je
. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés : L’aîné portait au
cou
une chaîne de fer, Le plus jeune mettait ses chev
e aux saisons, Il vit décapité, sa tête est le soleil Et la lune, son
cou
tranché. Je voudrais éprouver une ardeur infinie.
s »] Au tournant d’une rue, je vis des matelots Qui dansaient, le
cou
nu, au son d’un accordéon. J’ai tout donné au sol
x vipères ardentes de mon bonheur Et les serpents ne sont-ils que les
cous
des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas
vipères ardentes de mon bonheur, Et les serpents ne sont-ils que les
cous
des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas
pans, les feux follets, Et les destins damnés ou faustes, La corde au
cou
comme à Calais, Sur ma douleur quel holocauste !
Christ inférieurs des obscures espérances Adieu Adieu Soleil levant
cou
tranché GUILLAUME APOLLINAIRE.
Christ inférieurs des obscures espérances Adieu adieu Soleil levant
cou
tranché Guillaume Apollinaire