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1 (1914) Anvers « Anvers »
fois de toi fera le tour Toutes tes mains à la dérive Maigre comme un cou de vautour Maisons deviennent des lumières Des
2 (1917) De la batterie de tir « De la batterie de tir »
     O Roses O France        Nous nous pâmons de volupté        A ton cou penché vers l’Est           Nous sommes l’Arc-en-
3 (1909) Crépuscule « Crépuscule »
out à coup Comme l’amour dans ces ruines. Du Rhin, là-bas, sortent le cou , Des niebelungs et des ondines. Ne craignons ri
4 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
ui éclosent la nuit         O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Sign
5 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
osent la nuit               O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Sign
6 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
vipères ardentes de mon bonheur, Et les serpents ne sont ils que les cous des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas
7 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
ui ressemblant — C’était son regard d’inhumaine, La cicatrice à son cou nu, — Sortit saoule d’une taverne Au moment où je
8 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés : L’aîné portait au cou une chaîne de fer, Le plus jeune mettait ses chev
9 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
e aux saisons, Il vit décapité, sa tête est le soleil Et la lune, son cou tranché. Je voudrais éprouver une ardeur infinie.
s »] Au tournant d’une rue, je vis des matelots Qui dansaient, le cou nu, au son d’un accordéon. J’ai tout donné au sol
10 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
x vipères ardentes de mon bonheur Et les serpents ne sont-ils que les cous des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas
11 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
vipères ardentes de mon bonheur, Et les serpents ne sont-ils que les cous des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas
12 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
pans, les feux follets, Et les destins damnés ou faustes, La corde au cou comme à Calais, Sur ma douleur quel holocauste !
13 (1912) Zône « Zône »
Christ inférieurs des obscures espérances Adieu Adieu Soleil levant cou tranché GUILLAUME APOLLINAIRE.
14 (1913) Zône « Zône »
Christ inférieurs des obscures espérances Adieu adieu Soleil levant cou tranché Guillaume Apollinaire
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