Maigre comme un cou de vautour Maisons deviennent des lumières Des
corps
marchent sans intellect On dira beaucoup de prièr
t vite Un rossignol meurtri par l’amour chantait sur Le rosier de ton
corps
où j’ai cueilli les roses Nos cœurs pendaient ens
t vite Un rossignol meurtri par l’amour chantait sur Le rosier de ton
corps
où j’ai cueilli les roses Nos cœurs pendaient ens
vite Un rossignol meurtri par l’amour chante sur Le rosier de ton
corps
dont j’ai cueilli les roses Nos cœurs pendent e
laient sans raison des roses dans le Rhin Qui semble une veine de Ton
Corps
si noble Sur la route bordant le fleuve et tach
orte avec moi cette ardente souffrance Comme le ver luisant tient son
corps
enflammé Comme au cœur du soldat Il palpite la Fr
infini redressé par un fous de philosophe les Muses aux portes de ton
corps
le bel inconnu et le vers dantesque luisant et ca
le jour s’exténue L’Arlequine s’est mise nue Et dans l’étang mire son
corps
. Un charlatan crépusculaire Vante les tours que
e jour s’exténue, L’Arlequine s’est mise nue Et dans l’étang mire son
corps
Un charlatan crépusculaire Vante les tours que
De ce péché sexagénaire ? » « J’ai l’âme jeune en un vieux
corps
, J’aime me rappeler ce beau péché, mon père. »
rienne Mon fantôme pareil à la réalité, Mais le passeur aura voué mon
corps
aux chiennes, Mon spectre juste aux gueules du tr
ve vert et doré ; C’est le soir quand les riveraines Y baignent leurs
corps
adorés Et des champs de rameurs s’y traînent. L
ta chaleur et d’espérance Mais ton amour soleil brûle divinement Mon
corps
qu’être divin voulut mon ignorance Et ciel Humain
bouche et je le parle encore. Le cortège passait et j’y cherchais mon
corps
, Tous ceux qui survenaient et n’étaient pas moi-m
s peuples s’entassaient, puis je parus moi-même Qu’ont formé tous les
corps
et les choses humaines. Temps passés, trépassés
Voie lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des
corps
blancs des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-no
qui doubles les destins, La licorne et le capricorne — Mon âme et mon
corps
incertain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent D
Voie lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des
corps
blancs des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-no
Voie lactée, ô sœur lumineuse, Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des
corps
blancs des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-no
re à ce point anthropophage Et qu’il fallût tant de feu pour rôtir le
corps
humain C’est pourquoi l’air a un petit goût empyr
l’aubépine en fleur « Cet avril aurait eu la pauvre confidence « D’un
corps
de vieille morte en mimant la douleur. » ……………………
insi aux quatre points cardinaux Et quand il marcha sur une boule Son
corps
mince devint une musique si délicate que nul parm
si aux quatre points cardinaux, Et quand il marcha sur une boule, Son
corps
mince devint une musique si délicate que nul parm
ur aspect fantasmagorique. Les morts se réjouissaient De voir leurs
corps
trépassés entre eux et la lumière. Ils riaient de
ur aspect fantasmagorique. Les morts se réjouissaient De voir leurs
corps
trépassés entre eux et la lumière. Ils riaient de
elon ta destinée Et toi qui te retires Méditerranée Partagez-vous nos
corps
comme on rompt les hosties Ces très-hautes amours