u’elle M’a annoncé s’est vérifié dans le temps qu’elle indiquait J’ai
connu
un sciomancien mais je n’ai pas voulu qu’il
ancien mais je n’ai pas voulu qu’il Interrogeât mon ombre Je
connais
un sourcier c’est le peintre norvégien Diriks M
on en a pris son parti et que nul n’a même l’idée De se demander s’il
connaît
l’avenir ou non Il n’y a pas d’esprit religieux d
qui fument des cigarettes pour passer le temps/ pardonne à celui qui
connaît
la source neuve et sait encore l’heure où elle ta
Que penses-tu des hommes de ton enfance [à droite] Tu
connais
la bravoure et la ruse [transversalement] Tu as v
ge barbu vous êtes en réalité Un poète lyrique d’Allemagne Qui voulez
connaître
Paris Vous connaissez de son pavé Ces raies sur l
réalité Un poète lyrique d’Allemagne Qui voulez connaître Paris Vous
connaissez
de son pavé Ces raies sur lesquelles il ne faut p
ail Et l’avait, venant de Formose, Tirée d’un bordel de Shangaï. Je
connais
gens de toutes sortes, Ils n’égalent pas leurs de
é et dans le petit jour je salue La fameuse Nancéenne que je n’ai pas
connue
[trompette] As-tu connu la putain de Nancy
La fameuse Nancéenne que je n’ai pas connue [trompette] As-tu
connu
la putain de Nancy qui a foutu la vxxxxx à toute
O poulpes aux becs pâles Autour de la maison il y a cet océan que tu
connais
Et qui ne se repose jamais Décembre 1915
té Ombre vous rampez près de moi Mais vous ne m’entendez plus Vous ne
connaîtrez
plus les poèmes divins que je chante Tandis que m
Moins sauvage que notre Cagnat de Canonniers servants J’ai
connu
l’affût au bord des marécages Où la gira
Moins sauvage que notre Cagnat de Canonniers servants J’ai
connu
l’affût au bord des marécages Où la gira
que tu viennes Pour que je sache enfin celui-là que je suis, Moi qui
connais
les autres. Je les connais par les cinq sens et q
sache enfin celui-là que je suis, Moi qui connais les autres. Je les
connais
par les cinq sens et quelques autres. Il me suffi
vêtements Pour ne pas douter si l’on est frileux ou non O gens que je
connais
, Il me suffit d’entendre le bruit de leurs pas Po
teurs morts Des châtrés enrhumés en métal ces ténors Qui n’ont jamais
connu
la vie ce féminin La noce de la ville en face à
serveuse rousse a été enlevée par un libraire Un journaliste que je
connais
d’ailleurs très vaguement Ecoute Jacques c’est
de l’univers extasié Puis je pense que je l’imagine en vain Je ne la
connais
par aucun sens Ni même par les mots Et mon goût d
lein de sens Connaissant de la vie et de la mort ce qu’un vivant peut
connaître
Ayant éprouvé les douleurs et les joies de l’amou
ie Double raison qui est au delà de la beauté Et que la Grèce n’a pas
connue
ni l’Orient Double raison de la Bretagne où lame
ans le vin que je t’offre et qui a La saveur du sang pur de celui qui
connaît
Une autre liberté végétale dont tu Ne sais pas qu
t qui nous ressemblez Je vous ai bu et ne fus pas désaltéré Mais je
connus
dès lors quelle saveur a l’univers Je suis ivre d
e du motif circulaire] TSF [bas de l’image] Bonjour Anomo Anora Tu ne
connaîtras
jamais bien les Mayas [deuxième image] T
ueux mal blessés par l’épurge dansaient. Etoiles de l’éveil ! je n’en
connais
aucune. Les becs de gaz pissaient leur flamme au
e ma mémoire. Pardonnez-moi mon ignorance ; Pardonnez-moi de ne plus
connaître
l’ancien jeu des vers. Je ne sais plus rien et j’
ent et m’adoraient ensemble Quelle oasis de bras m’accueillera demain
Connais
-tu cette joie de voir des choses neuves
n de Saint-Merry J’ai enfin le droit de saluer des êtres que je ne
connais
pas Ils passent devant moi et s’accumulent au loi
invoques personne Crois-tu donc au hasard qui coule au sablier Voleur
connais
-tu mieux les lois malgré les hommes Veux-tu le ta
ques personne, Crois-tu donc au hasard qui coule au sablier ? Voleur,
connais
-tu mieux les lois malgré les hommes ? Veux-tu le