Ville et
cœur
La ville sérieuse avec ses girouettes Sur le c
ses girouettes Sur le chaos figé du toit de ses maisons Ressemble au
cœur
figé, mais divers, du poète Avec les tournoiement
te Avec les tournoiements stridents des déraisons. O ville comme un
cœur
tu es déraisonnable. Contre ma paume j’ai senti l
sonnable. Contre ma paume j’ai senti les battements De la ville et du
cœur
: de la ville imprenable Et de mon cœur surpris d
battements De la ville et du cœur : de la ville imprenable Et de mon
cœur
surpris de vie, énormément. Wilhelm Kostrowitzk
Cœur
couronne et miroir A M. Siéglier-Pascal [
Cœur couronne et miroir A M. Siéglier-Pascal [
cœur
] Mon Cœur semblable à une flamme renversée [couro
Cœur couronne et miroir A M. Siéglier-Pascal [cœur] Mon
Cœur
semblable à une flamme renversée [couronne] Les r
e renversée [couronne] Les rois qui meurent tour à tour renaissent au
cœur
des poètes [miroir] Dans ce miroir je suis enclos
sous nos fronts C’est la chanson des rêveurs Qui s’étaient arraché le
cœur
Et le portaient dans la main droite
Et du retour joyeux des heureux émigrants De ce
cœur
il coulait du sang Et le rêveur allait pensant A
qui sont les effets d’autres causes Mon pauvre
cœur
mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les hommes
qui sont les effets d’autres causes Mon pauvre cœur mon
cœur
brisé Pareil au cœur de tous les hommes
t les effets d’autres causes Mon pauvre cœur mon cœur brisé Pareil au
cœur
de tous les hommes Voici
at] je me souviens de la Provence du danseur du Nord Hélas où est ton
cœur
[périscope] pour te faire un enfer artificiel ne
scope] pour te faire un enfer artificiel ne sois pas fragile surtout [
cœur
] un cœur plein de tous les printemps [hors motifs
ur te faire un enfer artificiel ne sois pas fragile surtout [cœur] un
cœur
plein de tous les printemps [hors motifs] le bonh
L'Adieu « J’ai cueilli ce brin de bruyère. Mets-le sur ton
cœur
plus longtemps Nous ne nous verrons plus sur terr
longtemps Nous ne nous verrons plus sur terre. » — « J’ai mis sur mon
cœur
la bruyère, Et souviens-toi que je t’attends. »
uin] et laissez le mystère de cette jambe d’Arlequin vous torturer le
cœur
nte souffrance Comme le ver luisant tient son corps enflammé Comme au
cœur
du soldat Il palpite la France Et comme au cœur d
rps enflammé Comme au cœur du soldat Il palpite la France Et comme au
cœur
du lys le pollen parfumé
rgent et casse l’or l’amour Ternit mes yeux brisa aussi Ce
cœur
Une créole à la Havane Le teint blanc
Le Hibou Mon pauvre
cœur
est un hibou Qu’on cloue, qu’on décloue, qu’on re
Des soldats passent et que n’ai-je Un
cœur
à moi ce cœur changeant Change
es soldats passent et que n’ai-je Un cœur à moi ce
cœur
changeant Changeant et puis en
pusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du
cœur
à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenan
nt, Des soldats passent et que n’ai-je Un
cœur
à moi, ce cœur changeant, Changeant
Des soldats passent et que n’ai-je Un cœur à moi, ce
cœur
changeant, Changeant et puis encore
n pays lointain, Faites-moi donc mourir puisque je n’aime rien. Mon
cœur
me fait si mal, il faut bien que je meure Si je m
ien que je meure Si je me regardais Il faudrait que j’en meure. Mon
cœur
me fait si mal depuis qu’il n’est plus là Mon cœu
j’en meure. Mon cœur me fait si mal depuis qu’il n’est plus là Mon
cœur
me fit si mal du jour où il s’en alla. L’évêque
une nacelle. Et mon amant s’y tient, il m’a vue, il m’appelle. Mon
cœur
devient si doux. C’est mon amant qui vient. — Ell
Madeleine Dans le village arabe [étoile] Des Souvenirs [
cœur
] mais il y a d’autres chansons moins douces [lett
pusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du
cœur
à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenan
Madeleine Dans le village arabe [étoile] Des Souvenirs [
cœur
] mais il y a d’autres chansons moins douces [lett
pusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du
cœur
à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenan
our chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les roses Nos
cœurs
pendaient ensemble au même grenadier Et les fleur
our chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les roses Nos
cœurs
pendaient ensemble au même grenadier Et les fleur
chante sur Le rosier de ton corps dont j’ai cueilli les roses Nos
cœurs
pendent ensemble au même grenadier Et les fleur
urd’hui Je sais bien qu’elle est double au moins grâce à la glace Mon
cœur
par la raison où son amour l’induit Est parjure à
glace accepte un pur mirage La grâce de Linda le visage miré Mais mon
cœur
pour élire a manqué de courage Si parjure toujo
nne Une chanson d’amour et d’infidélité Qui parle d’une bague et d’un
cœur
que l’on brise. Oh ! l’automne, l’automne a fai
r Qu’est-ce qu’on y met dans la case d’armons espèce de poilu de mon
Cœur
Pan pan pan perruque perruque Pan pan pan Perru
cis comme feuilles mortes Leurs yeux sont des feux mal éteints, Leurs
cœurs
bougent comme leurs portes.
r Qu’est-ce qu’on y met dans la case d’armons espèce de poilu de mon
Cœur
Pan pan pan perruque perruque Pan pan pan Perru
Fagues [Fagnes] Tant de tristesses plénières Prirent mon
cœur
aux fagues désolées Très las j’ai déposé dans les
Fagnes de Wallonie Tant de tristesses plénières Prirent mon
cœur
aux fagnes désolées Quand las j’ai reposé dans le
a montre] la beauté de la vie passe la douleur de mourir [heures] Mon
cœur
les yeux l’enfant Agla la main Tircis semaine l’i
lent partout où se tiennent les murailles Entendez battre leur triple
cœur
et leur bec cogner aux vitres
Allons plus vite La bouche en
cœur
Pauline honteuse
de douceur et de séduction Les anges de ma bouche trôneront dans ton
cœur
Les soldats de ma bouche te prendront d’assaut Le
pleurer nos fées marraines. Mais, en vérité, je t’attends Avec mon
cœur
, avec mon âme, Et sur le pont des Reviens-t’en Si
ais revient cette femme, Je lui dirai : « Je suis content ! » … Mon
cœur
et ma tête se vident, Tout le ciel s’écoule par e
er aux pauvres gens Qui resourient les yeux humides. Et moi j’ai le
cœur
aussi gros Qu’un cul de dame damascène. O mon amo
pt épées de mélancolie Sans morfil, ô claires douleurs, Sont dans mon
cœur
et la folie Veut raisonner pour mon malheur, Comm
e salle de bains Berger suivi de son troupeau mordoré Mais où est un [
cœur
] et le [svastica] Aÿ Ancien nom
e salle de bains Berger suivi de son troupeau mordoré Mais où est un [
cœur
] et le [svastica] Aÿ Ancien nom
Il est des loups de toute sorte Je connais le plus inhumain Et mon
cœur
le diable l’emporte Et qu’il le dépose à sa porte
âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes, Nos
cœurs
pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’
quoi vous êtes triste, En robe de comtesse, à côté du Dauphin ? Mon
cœur
battait, battait très fort à sa parole, Quand je
qui m’avez donné la force de le dire. Et cette lyre accorde et mon
cœur
et ses yeux ; Lyre, trop vieille image, mot délic
issez là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons
Cœur
obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille s
les pioches. * * * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons
Cœur
obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille s
à les pioches * * * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons
Cœur
obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille s
rquoi vous êtes triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon
cœur
battait, battait très fort à sa parole, Quand je
rquoi vous êtes triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon
cœur
battait, battait très fort à sa parole, Quand je
z-là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons,
Cœur
obus éclaté tu sifflais ta romance [étoiles]
s chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud L’amour blessait au
cœur
les fous comme les sages As-
agues Fou stoïque comme Zénon Pilote du
cœur
tu zigzagues Petites forêts de s
Pur comme le jour qui s’écoule Pur comme mon
cœur
triomphant Disait en mettant sa ca
leurs chevaux, Puis, battiez de vos ailes d’anges, Et, j’écoutai ces
cœurs
rivaux. * Une arme, ô ma tête inquiète ! J’agit
nt à peine des chevaux de frise Entourés de vagues de fils de fer Mon
cœur
renaissait comme un arbre au printemps Un arbre f
A nos pieds roulaient des châtaignes Dont les bogues étaient Comme le
cœur
blessé de la madone Dont on doute si elle eut la
e et silencieux délire, J’erre à travers mon beau Paris Sans avoir le
cœur
d’y mourir. Les dimanches s’y éternisent Et les
de café, Lenchen, s’il te plaît. » — « Lotte, es-tu triste ? O petit
cœur
! » — « Je crois qu’elle aime. » — « Dieu garde !
hiverné dans mon passé. Revienne le soleil de Pâques Pour chauffer un
cœur
plus glacé Que les quarante de Sébaste Moins que
er Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards pour yeux bras et
cœurs
J’ai reconnu ton sourire et ta vivacité C’est aus
en vain l’hématidrose. J’écoutais à genoux toquer les battements Du
cœur
. Le sang, toujours, roulait en ses artères Qui so
ais vénielles, O toi, le pur et le contrit que nous aimons, Sache nos
cœurs
, sache les jeux que nous aimons Et nos baisers qu
âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes, Nos
cœurs
pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’
âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes, Nos
cœurs
pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’
tés de ses profondeurs Coulait, sang de mes veines et fait battre mon
cœur
. Puis, sur terre il venait mille peuplades blanch
erves au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le
cœur
de la rose Epouvanté tu te vois dessiné dans le
s familles transportent un édredon rouge comme vous transportez votre
cœur
Cet édredon et nos rêves sont aussi irréels Beauc
erves au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le
cœur
de la rose Epouvanté tu te vois dessiné dans le
s familles transportent un édredon rouge comme vous transportez votre
cœur
Cet édredon et nos rêves sont aussi irréels Beauc
ages lointains sont comme leurs paupières, Et parmi les citrons leurs
cœurs
sont suspendus. * * * [« Mes amis m’ont enfi
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