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1 (1901) Ville et cœur « Ville et cœur »
Ville et cœur La ville sérieuse avec ses girouettes Sur le c
ses girouettes Sur le chaos figé du toit de ses maisons Ressemble au cœur figé, mais divers, du poète Avec les tournoiement
te Avec les tournoiements stridents des déraisons. O ville comme un cœur tu es déraisonnable. Contre ma paume j’ai senti l
sonnable. Contre ma paume j’ai senti les battements De la ville et du cœur  : de la ville imprenable Et de mon cœur surpris d
battements De la ville et du cœur : de la ville imprenable Et de mon cœur surpris de vie, énormément. Wilhelm Kostrowitzk
2 (1914) Cœur couronne et miroir « Cœur couronne et miroir »
Cœur couronne et miroir   A M. Siéglier-Pascal [
Cœur couronne et miroir   A M. Siéglier-Pascal [ cœur ] Mon Cœur semblable à une flamme renversée [couro
Cœur couronne et miroir   A M. Siéglier-Pascal [cœur] Mon Cœur semblable à une flamme renversée [couronne] Les r
e renversée [couronne] Les rois qui meurent tour à tour renaissent au cœur des poètes [miroir] Dans ce miroir je suis enclos
3 (1917) Sanglots « Sanglots »
sous nos fronts C’est la chanson des rêveurs Qui s’étaient arraché le cœur Et le portaient dans la main droite              
                      Et du retour joyeux des heureux émigrants De ce cœur il coulait du sang Et le rêveur allait pensant A
                       qui sont les effets d’autres causes Mon pauvre cœur mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les hommes
              qui sont les effets d’autres causes Mon pauvre cœur mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les hommes          
t les effets d’autres causes Mon pauvre cœur mon cœur brisé Pareil au cœur de tous les hommes                         Voici
4 (1917) L'Horloge de demain « L’Horloge de demain »
at] je me souviens de la Provence du danseur du Nord Hélas où est ton cœur [périscope] pour te faire un enfer artificiel ne
scope] pour te faire un enfer artificiel ne sois pas fragile surtout [ cœur ] un cœur plein de tous les printemps [hors motifs
ur te faire un enfer artificiel ne sois pas fragile surtout [cœur] un cœur plein de tous les printemps [hors motifs] le bonh
5 (1903) L'Adieu « L'Adieu »
L'Adieu « J’ai cueilli ce brin de bruyère. Mets-le sur ton cœur plus longtemps Nous ne nous verrons plus sur terr
longtemps Nous ne nous verrons plus sur terre. » — « J’ai mis sur mon cœur la bruyère, Et souviens-toi que je t’attends. »
6 (1917) [Calligramme (jambe d'Arlequin)] « [Calligramme (jambe d’Arlequin)] »
uin] et laissez le mystère de cette jambe d’Arlequin vous torturer le cœur
7 (1916) Tristesse d'une étoile « Tristesse d’une étoile »
nte souffrance Comme le ver luisant tient son corps enflammé Comme au cœur du soldat Il palpite la France Et comme au cœur d
rps enflammé Comme au cœur du soldat Il palpite la France Et comme au cœur du lys le pollen parfumé
8 (1914) Le Teint « Le Teint »
rgent et casse l’or l’amour Ternit mes yeux brisa aussi            Ce cœur Une créole à la Havane            Le teint blanc
9 (1908) Le Hibou « Le Hibou »
Le Hibou Mon pauvre cœur est un hibou Qu’on cloue, qu’on décloue, qu’on re
10 (1911) Marie « Marie »
             Des soldats passent et que n’ai-je                    Un cœur à moi ce cœur changeant                    Change
es soldats passent et que n’ai-je                    Un cœur à moi ce cœur changeant                    Changeant et puis en
11 (1917) Reconnaissance « Reconnaissance »
pusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenan
12 (1912) Marie « Marie »
nt,               Des soldats passent et que n’ai-je               Un cœur à moi, ce cœur changeant,               Changeant
   Des soldats passent et que n’ai-je               Un cœur à moi, ce cœur changeant,               Changeant et puis encore
13 (1902) La Loreley « La Loreley »
n pays lointain, Faites-moi donc mourir puisque je n’aime rien. Mon cœur me fait si mal, il faut bien que je meure Si je m
ien que je meure Si je me regardais Il faudrait que j’en meure. Mon cœur me fait si mal depuis qu’il n’est plus là Mon cœu
j’en meure. Mon cœur me fait si mal depuis qu’il n’est plus là Mon cœur me fit si mal du jour où il s’en alla. L’évêque
une nacelle. Et mon amant s’y tient, il m’a vue, il m’appelle. Mon cœur devient si doux. C’est mon amant qui vient. — Ell
14 (1915) Madeleine « Madeleine »
Madeleine   Dans le village arabe [étoile] Des Souvenirs [ cœur ] mais il y a d’autres chansons moins douces [lett
15 (1915) Reconnaissance « Reconnaissance »
pusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenan
16 (1915) Madeleine « Madeleine »
Madeleine Dans le village arabe [étoile] Des Souvenirs [ cœur ] mais il y a d’autres chansons moins douces [lett
17 (1915) Reconnaissance « Reconnaissance »
pusculaire Pâlit au seuil de l’horizon Où fuit la mesure angulaire Du cœur à l’âme et la raison Le galop bleu des souvenan
18 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
our chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les fleur
19 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
our chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les roses Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et les fleur
20 (1918) Vers le Sud « Vers le Sud »
chante sur Le rosier de ton corps dont j’ai cueilli les roses Nos cœurs pendent ensemble au même grenadier Et les fleur
21 (1914) La Farce du Miroir « La Farce du Miroir »
urd’hui Je sais bien qu’elle est double au moins grâce à la glace Mon cœur par la raison où son amour l’induit Est parjure à
glace accepte un pur mirage La grâce de Linda le visage miré Mais mon cœur pour élire a manqué de courage Si parjure toujo
22 (1905) Automne « Automne »
nne Une chanson d’amour et d’infidélité Qui parle d’une bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’automne, l’automne a fai
23 (1915) S-P « S-P- »
r Qu’est-ce qu’on y met dans la case d’armons espèce de poilu de mon Cœur   Pan pan pan perruque perruque Pan pan pan Perru
24 (1912) Marie-Sybille « Marie-Sibylle »
cis comme feuilles mortes Leurs yeux sont des feux mal éteints, Leurs cœurs bougent comme leurs portes.
25 (1915) S-P « S-P- »
r Qu’est-ce qu’on y met dans la case d’armons espèce de poilu de mon Cœur   Pan pan pan perruque perruque Pan pan pan Perru
26 (1915) Fagues [Fagnes] « Fagues [Fagnes] »
Fagues [Fagnes] Tant de tristesses plénières Prirent mon cœur aux fagues désolées Très las j’ai déposé dans les
27 (1917) Fagnes de Wallonie « Fagnes de Wallonie »
Fagnes de Wallonie Tant de tristesses plénières Prirent mon cœur aux fagnes désolées Quand las j’ai reposé dans le
28 (1914) La Cravate et la montre « La Cravate et la montre »
a montre] la beauté de la vie passe la douleur de mourir [heures] Mon cœur les yeux l’enfant Agla la main Tircis semaine l’i
29 (1918) Océan de terre « Océan de terre »
lent partout où se tiennent les murailles Entendez battre leur triple cœur et leur bec cogner aux vitres                  
30 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
                 Allons plus vite                      La bouche en cœur Pauline honteuse                                 
31 (1917) Chef de section « Chef de section »
de douceur et de séduction Les anges de ma bouche trôneront dans ton cœur Les soldats de ma bouche te prendront d’assaut Le
32 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
pleurer nos fées marraines. Mais, en vérité, je t’attends Avec mon cœur , avec mon âme, Et sur le pont des Reviens-t’en Si
ais revient cette femme, Je lui dirai : « Je suis content ! » … Mon cœur et ma tête se vident, Tout le ciel s’écoule par e
er aux pauvres gens Qui resourient les yeux humides. Et moi j’ai le cœur aussi gros Qu’un cul de dame damascène. O mon amo
pt épées de mélancolie Sans morfil, ô claires douleurs, Sont dans mon cœur et la folie Veut raisonner pour mon malheur, Comm
33 (1915) Saillant « Saillant »
e salle de bains Berger suivi de son troupeau mordoré Mais où est un [ cœur ] et le [svastica]                   Aÿ Ancien nom
34 (1915) Saillant « Saillant »
e salle de bains Berger suivi de son troupeau mordoré Mais où est un [ cœur ] et le [svastica]                   Aÿ Ancien nom
35 (1917) Lou « Lou »
Il est des loups de toute sorte Je connais le plus inhumain Et mon cœur le diable l’emporte Et qu’il le dépose à sa porte
36 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’
37 (1905) Salomé « Salomé »
quoi vous êtes triste, En robe de comtesse, à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole, Quand je
38 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
qui m’avez donné la force de le dire. Et cette lyre accorde et mon cœur et ses yeux ; Lyre, trop vieille image, mot délic
39 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
issez là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille s
40 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
les pioches. * *   * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille s
41 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
à les pioches * *   * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille s
42 (2019) Salomé « Salomé »
rquoi vous êtes triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole, Quand je
43 (1911) Salomé « Salomé »
rquoi vous êtes triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait, battait très fort à sa parole, Quand je
44 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
z-là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons, Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance [étoiles]     
45 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
s chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud L’amour blessait au cœur les fous comme les sages                      As-
46 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
agues                Fou stoïque comme Zénon                Pilote du cœur tu zigzagues                Petites forêts de s
          Pur comme le jour qui s’écoule                Pur comme mon cœur triomphant                Disait en mettant sa ca
47 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
leurs chevaux, Puis, battiez de vos ailes d’anges, Et, j’écoutai ces cœurs rivaux. * Une arme, ô ma tête inquiète ! J’agit
48 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
nt à peine des chevaux de frise Entourés de vagues de fils de fer Mon cœur renaissait comme un arbre au printemps Un arbre f
49 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
A nos pieds roulaient des châtaignes Dont les bogues étaient Comme le cœur blessé de la madone Dont on doute si elle eut la
50 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
e et silencieux délire, J’erre à travers mon beau Paris Sans avoir le cœur d’y mourir. Les dimanches s’y éternisent Et les
51 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
de café, Lenchen, s’il te plaît. » — « Lotte, es-tu triste ? O petit cœur  ! » — « Je crois qu’elle aime. » — « Dieu garde !
52 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
hiverné dans mon passé. Revienne le soleil de Pâques Pour chauffer un cœur plus glacé Que les quarante de Sébaste Moins que
53 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
er Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards pour yeux bras et cœurs J’ai reconnu ton sourire et ta vivacité C’est aus
54 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
en vain l’hématidrose. J’écoutais à genoux toquer les battements Du cœur . Le sang, toujours, roulait en ses artères Qui so
ais vénielles, O toi, le pur et le contrit que nous aimons, Sache nos cœurs , sache les jeux que nous aimons Et nos baisers qu
55 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’
56 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
âme au soleil se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’
57 (1911) Cortège « Cortège »
tés de ses profondeurs Coulait, sang de mes veines et fait battre mon cœur . Puis, sur terre il venait mille peuplades blanch
58 (1912) Zône « Zône »
erves au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Epouvanté tu te vois dessiné dans le
s familles transportent un édredon rouge comme vous transportez votre cœur Cet édredon et nos rêves sont aussi irréels Beauc
59 (1913) Zône « Zône »
erves au lieu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la rose Epouvanté tu te vois dessiné dans le
s familles transportent un édredon rouge comme vous transportez votre cœur Cet édredon et nos rêves sont aussi irréels Beauc
60 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
ages lointains sont comme leurs paupières, Et parmi les citrons leurs cœurs sont suspendus. * *  * [« Mes amis m’ont enfi
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