ilas des yeux Et les canons des indolences Tirent mes songes vers les cieux Avril 1915

Et la musique est si lointaine               Qu’elle semble venir des cieux . Oui, je veux vous aimer, mais vous aimer à peine

Les brebis s’en vont dans la neige,               Flocons de laine et cieux d’argent,               Des soldats passent et qu

nt mes songes vers                       les                           Cieux                                     — ———      

nt mes songes vers                       les                           Cieux                                     — ———      

musique est si lointaine                    Qu’elle semble venir des cieux Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine   

onquérants                          Des gouffres de Thulé des tendres cieux d’ Ophir                         Des malades maud

que tous les ciels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux . Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie, J’os

Le Dépôt Je me suis engagé sous le plus beau des cieux Dans Nice la Marine au nom victorieux Perdu par

nts et lents d’enterrements, Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent, Quand la femme du diable a battu so

nts et lents d’enterrements. Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent Quand la femme du diable a battu son

t que tous les ciels mobiles L’avenir masqué flambe en traversant les cieux . Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. J’os

lasse 15 Craquements des arrivées ou bien flottaison blanche dans les cieux J’étais content pourtant ça brûlait la paupière L

que tous les ciels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux ‒ Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. ‒

et je vois de grands yeux S’ouvrir tragiquement. O nuit, je vois tes cieux L’étoiler calmement de splendides pilules. Un s