é depuis trois jours Suis lavé je vais me faire raser Ensuite bleu de
ciel
je me confonds avec l’horizon jusqu’à la nuit et
ible qui le fait puis-qu’une fois boutonné tout bleu confondu dans le
ciel
je deviens invisible Guillaume Apollinaire.
Attention à l’encre que l’on jette Il serait bon que vous vinssiez du
ciel
Le chèvrefeuille du ciel grimpe Les poulpes terre
’on jette Il serait bon que vous vinssiez du ciel Le chèvrefeuille du
ciel
grimpe Les poulpes terrestres palpitent Et puis n
sus est blond comme elle l’est ; Ses yeux sont bleus et purs comme le
ciel
ou l’onde Et l’on conçoit qu’elle ait conçu du Pa
t d’ouïr le plain-chant des cantiques Des petits anges blancs dans le
ciel
entassés. Les trois dames et l’enfant vivaient
et puis mourut Et depuis j’ai scruté longtemps la vieille crainte Du
ciel
mobile et me suis nourri d’herbes crues Les ora
leil brûle divinement Mon corps qu’être divin voulut mon ignorance Et
ciel
Humains je tourne en l’éblouissement Bateliers
face tournée vers le soleil splendide Deux ailes feuillolent sous le
ciel
d’Ionie.
ur Queval et moi Laisse passer nos bagages en franchise à la porte du
ciel
Nous t’apporterons des pinceaux des couleurs des
de Rude S’est changé en constellation Il combat pour nous au
ciel
Mais cela signifie surtout Qu’il faut êtr
de Rude S’est changé en constellation Il combat pour nous au
ciel
Mais cela signifie surtout Qu’il faut ê
s d’un soldat blessé un jet d’eau la queue d’un paon un soir de neige
ciel
constellé un bombardement un matin à New York les
à la porte du
ciel
Nous t’
ille, se tait. Et l’amour qui s’en vint aux bords océaniques, Où le
ciel
serait grec si toutes étaient nues, Y pleure d’êt
au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [
ciel
] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est
au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [
ciel
] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est
te en elle des millions d’oiseaux qui donnent une couleur inconnue au
ciel
de la région où vivent ses personnages familiers,
ui dégoutte des treilles. Car, voici que tout doux et leur tombant du
ciel
Chaque rayon de lune est un rayon de miel. Or, ca
e promener au bois joli. Les poules dans la cour caquètent, L’aube au
ciel
fait de roses plis, L’amour chemine à ta conquête
t partout l’on entend Les chants des oliveuses sous les oliviers Le
ciel
est beau il fait tiède et je vais bien Mais je su
y sont restés Ma pipe essayait de faire des nuages Au
ciel
Qui restait pur obstinément Je n’ai confié aucu
Une étoile de sang me couronne à jamais La raison est mon fond et le
ciel
est mon faîte Du chef où dès longtemps Déesse tu
s y sont restés Ma pipe essayait de faire des nuages Au
ciel
Qui restait pur obstinément Je n’ai confié aucu
s. Un charlatan crépusculaire Vante les tours que l’on va faire. Le
ciel
sans teinte est constellé D’astres pâles comme du
vient et les lys meurent Regarde ma douleur beau
ciel
qui me l’envoyes
s Sur chaque tombe catholique. Les voiles des vieilles, Les nuages du
ciel
Sont comme les barbes de biques. L’air tremble
ourd’hui Avec ces morts, leurs enfants et les vieilles femmes Sous le
ciel
sans soleil Au cimetière plein de flammes, Puis,
Ainsi, belle œuvre d’art, nos amours ont été Et seront l’ornement du
ciel
et de la terre, O toi, ma créature et ma divinité
Ainsi, belle œuvre d’art, nos amours ont été Et seront l’ornement du
ciel
et de la terre, O toi, ma créature et ma divinité
vec nous Agitant auprès du
ciel
de notre drapeau AMARO
ens Au vent des soirs d’automne Ou bien graves magiciens Incantent le
ciel
, quand il tonne. Des rangées de blancs chérubin
alie est venue avec nous Agitant auprès du
ciel
de notre drapeau AMARO LE VERT QUI EST
aux faïences bleues Comme si l’on t’avait Faite avec Des morceaux de
ciel
et de terre En laissant au milieu Un grand trou d
La Nuit d’Avril 1915 A L de C C Le
ciel
est étoilé par les obus des Boches La forêt merve
La Nuit d’Avril 1915 A L de C C Le
ciel
est étoilé par les obus des Boches La forêt merve
La Nuit d’Avril 1915 A L de S S Le
ciel
est étoilé par les obus des Boches La forêt merve
chantent Les métalliques saints de nos saintes usines Nos cheminées à
ciel
ouvert engrossent les nuées Comme fit autrefois l
la Et Lyon répondit tandis que les anges de Fourvières Tissaient un
ciel
nouveau avec la soie des prières Désaltère-toi
du sang de la terre et du sel Les voici pour ta soif ô Paris sous le
ciel
Obscurci de nuées faméliques Que caresse Ixion le
impérieuse O Rome Maudire d’un seul coup mes anciennes pensées Et ce
ciel
où l’amour guide les destinées Les feuillards r
destins et les astres qui chantent Les hommes à genoux sur la rive du
ciel
Et le docile fer notre bon compagnon Le feu qu’il
e est toute d’argent Et son nom tremblant, c’est Paline ; Sa lame, un
ciel
d’hiver neigeant ; Son destin sanglant, gibeline
Élégie Le
ciel
et les oiseaux venaient se reposer Sur deux cyprè
es hauteurs où pense la lumière Jardins rouant plus haut que tous les
ciels
mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les
Nuit d’avril : 1915 Le
ciel
est étoilé par les obus des boches, La forêt merv
là, s’étalait comme un ventre Maternel, qui saignait lentement sur le
ciel
; La lumière est ma mère, ô lumière sanglante ! L
de feu, sur le chemin de Rome « Il marchera tout seul en regardant le
ciel
. « La dame qui m’attend se nomme Viviane « Et v
j’ai cueilli des bouquets Tu dois en avoir assez de faire peur à ce
ciel
nt dans la myrtaie L’Eros et l’Antéros en larmes Je suis le
ciel
de la cité Ecoutez la mer
bijou d’or cuit. « Pendez vos têtes aux patères par les tresses. « Le
ciel
presque nocturne a des lueurs d’aiguilles. » Su
st un bijou d’or cuit Pendez vos têtes aux patères par les tresses Le
ciel
presque nocturne a des lueurs d’aiguilles On en
onnez pas parmi cette foule de femmes au marché Ispahan s’est fait un
ciel
de carreaux émaillés de bleu Et je remonte avec v
onnez pas parmi cette foule de femmes au marché Ispahan s’est fait un
ciel
de carreaux émaillés de bleu Et je remonte avec v
onnez pas parmi cette foule de femmes au marché Ispahan s’est fait au
ciel
de carreaux émaillés de bleu Et je remont avec vo
s’en revint en surnageant Sur la rive dormir inerte, Face tournée au
ciel
changeant… … Juin, ton soleil, ardente lyre, Br
s eaux si lumineuses Je vis nos yeux diamants enfermer le reflet du
ciel
vert et J’entendis sa voix qui dorait les forêt
s ombres sans amour qui se traînaient par terre Et des mains, vers le
ciel
plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefoi
e rendirent si malheureux. Regrets sur quoi l’enfer se fonde, Qu’un
ciel
d’oubli s’ouvre à mes vœux ! Pour son baiser les
s ombres sans amour qui se traînaient par terre Et des mains, vers le
ciel
plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefoi
t ma foi pas désagréable Mais le festin serait plus beau encore si le
ciel
y mangeait avec la terre Il n’avale que des âmes
es hauteurs où pense la lumière Jardins rouant plus haut que tous les
ciels
mobiles L’avenir masqué flambe en traversant les
s hauteurs où pense la lumière, Jardins rouant plus haut que tous les
ciels
mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les
oire, Les yeux se rallumèrent De cellule vitrée en cellule vitrée, Le
ciel
se peupla d’une apocalypse Vivace Et la terre, pl
s leur visage et leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le
ciel
et la terre perdirent Leur aspect fantasmagorique
oire. Les yeux se rallumèrent De cellule vitrée en cellule vitrée, Le
ciel
se peupla d’une apocalypse Vivace Et la terre, pl
s leur visage et leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le
ciel
et la terre perdirent Leur aspect fantasmagorique
s casaques bleues des cravates bleues des vareuses bleues Morceaux du
ciel
tissus des souvenirs les plus purs Et il flotte p
rt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Christ qui monte au
ciel
mieux que les aviateurs Il détient le record du m
en élevant l’hostie L’avion se pose enfin sans refermer les ailes Le
ciel
s’emplit alors de millions d’hirondelles A tire d
rt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Christ qui monte au
ciel
mieux que les aviateurs Il détient le record du m
en élevant l’hostie L’avion se pose enfin sans refermer les ailes Le
ciel
s’emplit alors de millions d’hirondelles A tire d
ai : « Je suis content ! » … Mon cœur et ma tête se vident, Tout le
ciel
s’écoule par eux ; O mes tonneaux des Danaïdes, C
te science Que m’imposent mes sens. L’un est pareil aux montagnes, au
ciel
, Aux villes, à mon amour. Il ressemble aux saison
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