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1 (1910) Hercule et Omphale « Hercule et Omphale »
hale Vaincu S’affale. — Sens-tu Mon phalle Aigu ? — Quel mâle !… Le chien Me crève !… Quel rêve !… … Tiens bien ! Hercule
2 (1910) Hercule et Omphale « Hercule et Omphale »
hale Vaincu S’affale. — Sens-tu Mon phalle Aigu ? — Quel mâle !… Le chien Me crève !… Quel rêve !… … Tiens bien ! Hercule
3 (1917) [Calligramme (sphère)] « [Calligramme (sphère)] »
s rois Devinez qui a la fève ? Le regret confine au Dédain Il y a des chiens singuliers qui ont l’air de savoir faire un chape
4 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
Où je m’en allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en laisse Il n’y en a plus tu n’as plus ton petit
petit mirliton La cheminée fume loin de moi des cigarettes russes La chienne aboie contre les lilas Et la veilleuse consumée S
5 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
Où je m’en allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en laisse J’avais un mirliton que je n’aurais pas
petit mirliton La cheminée fume loin de moi des cigarettes russes La chienne aboie contre les lilas Et la veilleuse consumée S
6 (1902) Mai « Mai »
. Sur le chemin du bord du fleuve, lentement, Un ours, un singe, un chien menés par des tsiganes Suivaient une roulotte tra
7 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
fantôme pareil à la réalité, Mais le passeur aura voué mon corps aux chiennes , Mon spectre juste aux gueules du tricapité Et
8 (1916) Fusée « Fusée »
antassins qui s’en vont à l’arrière en lisant un journal * *   * Le chien du brancardier revient avec une pipe dans sa gueu
9 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
ité des ossuaires. En neige et repliés gisaient là des suaires Et des chiens aboyaient aux passants morfondus. « Il est mort
10 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
rsqu’il fut de retour enfin Dans sa patrie, le sage Ulysse, Son vieux chien de lui se souvint ; Près d’un tapis de haute liss
11 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
ne la blessure              Du soldat de Promission              Un chien jappait l’obus miaule              La lueur muett
12 (1911) Cortège « Cortège »
es, Le parfum des fleurs dans les jardins publics, L’odeur d’un petit chien , ô Corneille Agrippa, m’eût suffi Pour décrire ex
13 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
urs lueurs comme des yeux d’escargots Et les obus en tombant sont des chiens qui jettent de la terre avec leurs pattes après a
14 (1911) Le Larron « Le Larron »
cte adorent-ils un signe obscène Belphégor le soleil le silence ou le chien Cette furtive ardeur des serpents qui s’entr’aime
15 (1903) Le Larron « Le Larron »
e adorent-ils la vie obscène : Belphégor, le soleil, le silence ou le chien , Parce qu’il est bien d’êre obscènes quand on s’a
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