hale Vaincu S’affale. — Sens-tu Mon phalle Aigu ? — Quel mâle !… Le
chien
Me crève !… Quel rêve !… … Tiens bien ! Hercule
hale Vaincu S’affale. — Sens-tu Mon phalle Aigu ? — Quel mâle !… Le
chien
Me crève !… Quel rêve !… … Tiens bien ! Hercule
s rois Devinez qui a la fève ? Le regret confine au Dédain Il y a des
chiens
singuliers qui ont l’air de savoir faire un chape
Où je m’en allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa
chienne
en laisse Il n’y en a plus tu n’as plus ton petit
petit mirliton La cheminée fume loin de moi des cigarettes russes La
chienne
aboie contre les lilas Et la veilleuse consumée S
Où je m’en allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa
chienne
en laisse J’avais un mirliton que je n’aurais pas
petit mirliton La cheminée fume loin de moi des cigarettes russes La
chienne
aboie contre les lilas Et la veilleuse consumée S
. Sur le chemin du bord du fleuve, lentement, Un ours, un singe, un
chien
menés par des tsiganes Suivaient une roulotte tra
fantôme pareil à la réalité, Mais le passeur aura voué mon corps aux
chiennes
, Mon spectre juste aux gueules du tricapité Et
antassins qui s’en vont à l’arrière en lisant un journal * * * Le
chien
du brancardier revient avec une pipe dans sa gueu
ité des ossuaires. En neige et repliés gisaient là des suaires Et des
chiens
aboyaient aux passants morfondus. « Il est mort
rsqu’il fut de retour enfin Dans sa patrie, le sage Ulysse, Son vieux
chien
de lui se souvint ; Près d’un tapis de haute liss
es, Le parfum des fleurs dans les jardins publics, L’odeur d’un petit
chien
, ô Corneille Agrippa, m’eût suffi Pour décrire ex
urs lueurs comme des yeux d’escargots Et les obus en tombant sont des
chiens
qui jettent de la terre avec leurs pattes après a
cte adorent-ils un signe obscène Belphégor le soleil le silence ou le
chien
Cette furtive ardeur des serpents qui s’entr’aime
e adorent-ils la vie obscène : Belphégor, le soleil, le silence ou le
chien
, Parce qu’il est bien d’êre obscènes quand on s’a