poème Il est entré Il s’est assis Il ne regarde pas le pyrogène à
cheveux
rouges L’allumette flambe Il est parti Guillaum
batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune, sept femmes Tordre leurs
cheveux
verts et longs jusqu’à leurs pieds. Debout, cha
s’y refléter. La voix chante toujours, à en râle-mourir, Ces fées aux
cheveux
verts qui incantent l’été. Mon verre s’est bris
jour ») Pipes de nuit pipes du jour Tout l’opium ô chevelures Les
cheveux
bruns de mon amour Et ces lenteurs tandis que dur
elles disparaîtra. Les déités des eaux vives Laissent couler leurs
cheveux
… Passe ! Il faut que tu poursuives Cette belle om
La Boucle retrouvée Il retrouve dans sa mémoire La boucle de
cheveux
châtains T’en souvient-il à n’y point croire De n
squelettes Cherront au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs de
cheveux
roux et de rames flottant Parmi les troupes de
squelettes Coulés au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs, de
cheveux
roux et de rames flottant Parmi les troupes de
D’aller passer votre Dimanche à Garches Il fait un peu lourd et vos
cheveux
sont longs O bon petit poète un peu bête et trop
u couvent des vierges et des veuves. — Là-haut, le vent tordait ses
cheveux
déroulés. Les chevaliers criaient : « Loreley ! L
avoir vu dans l’eau, la belle Loreley, Ses yeux couleur du Rhin, ses
cheveux
, de soleil. Bacharach, Mai 1902
eux anneaux d’or près des sandales Au soleil se sont allumés Mais tes
cheveux
sont le trolley A travers l’Europe vêtue de petit
neaux d’or près des sandales Au soleil se sont allumés Tandis que tes
cheveux
sont comme le trolley A travers l’Europe vêtue de
le a l’aspect charmant D’une adorable rousse Ses
cheveux
sont d’or on dirait Un bel éclair qui durerait Ou
Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient en ses
cheveux
de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaien
: L’aîné portait au cou une chaîne de fer, Le plus jeune mettait ses
cheveux
blonds en tresse. Ouvrez-moi cette porte où je
Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient dans ses
cheveux
de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaien
e ces gens à milliers. De voir leurs pieds paniques, un seul de leurs
cheveux
, Ou leur langue quand il me plaît de faire le méd
rons une belle noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dans vos
cheveux
, Un beau sermon à l’église, De longs discours apr
rons une belle noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dans vos
cheveux
. Un beau sermon à l’église, De longs discours apr
beau lys que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux
cheveux
roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle
beau lys que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux
cheveux
roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle