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1 (1917) Un poème « Un poème »
poème Il est entré Il s’est assis Il ne regarde pas le pyrogène à cheveux rouges L’allumette flambe Il est parti Guillaum
2 (1908) La Chèvre du Thibet « La Chèvre du Thibet »
ux d’or pour qui prit tant de peine Jason, ne valent rien au prix Des cheveux dont je suis épris.
3 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune, sept femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs pieds. Debout, cha
s’y refléter. La voix chante toujours, à en râle-mourir, Ces fées aux cheveux verts qui incantent l’été. Mon verre s’est bris
4 (1912) Veille (incipit : « Pipes de nuit pipes du jour ») « Veille (incipit : « Pipes de nuit pipes du jour ») »
jour ») Pipes de nuit pipes du jour Tout l’opium ô chevelures Les cheveux bruns de mon amour Et ces lenteurs tandis que dur
5 (1911) Marie « Marie »
puis encor que sais-je                    Sais-je où s’en iront tes cheveux                    Crêpus comme mer qui moutonne
s comme mer qui moutonne                    Sais-je où s’en iront tes cheveux                    Et tes mains feuilles de l’aut
6 (1912) Marie « Marie »
t puis encore que sais-je !               Sais-je où s’en iront tes cheveux               Crépus comme mer qui montonne ?    
épus comme mer qui montonne ?               Sais-je où s’en iront tes cheveux               Et tes mains, feuilles de l’automne
7 (1912) Clotilde « Clotilde »
elles disparaîtra. Les déités des eaux vives Laissent couler leurs cheveux … Passe ! Il faut que tu poursuives Cette belle om
8 (1916) La Boucle retrouvée « La Boucle retrouvée »
La Boucle retrouvée Il retrouve dans sa mémoire La boucle de cheveux châtains T’en souvient-il à n’y point croire De n
9 (1918) L'enfant d'or « L’enfant d’or »
squelettes Cherront au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs de cheveux roux et de rames flottant Parmi les troupes de
10 (1902) La Fuite « La Fuite »
squelettes Coulés au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs, de cheveux roux et de rames flottant Parmi les troupes de
11 (1913) Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») « Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») »
D’aller passer votre Dimanche à Garches Il fait un peu lourd et vos cheveux sont longs O bon petit poète un peu bête et trop
12 (1902) La Loreley « La Loreley »
u couvent des vierges et des veuves. — Là-haut, le vent tordait ses cheveux déroulés. Les chevaliers criaient : « Loreley ! L
avoir vu dans l’eau, la belle Loreley, Ses yeux couleur du Rhin, ses cheveux , de soleil. Bacharach, Mai 1902
13 (1916) Fusée « Fusée »
Fusée La boucle des cheveux noirs de ta nuque est mon trésor Ma pensée te rej
14 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
eux anneaux d’or près des sandales Au soleil se sont allumés Mais tes cheveux sont le trolley A travers l’Europe vêtue de petit
15 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
neaux d’or près des sandales Au soleil se sont allumés Tandis que tes cheveux sont comme le trolley A travers l’Europe vêtue de
16 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
le a l’aspect charmant                    D’une adorable rousse Ses cheveux sont d’or on dirait Un bel éclair qui durerait Ou
17 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient en ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaien
18 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
 : L’aîné portait au cou une chaîne de fer, Le plus jeune mettait ses cheveux blonds en tresse. Ouvrez-moi cette porte où je
19 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
Les vents de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient dans ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaien
20 (1911) Cortège « Cortège »
e ces gens à milliers. De voir leurs pieds paniques, un seul de leurs cheveux , Ou leur langue quand il me plaît de faire le méd
21 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
rons une belle noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dans vos cheveux , Un beau sermon à l’église, De longs discours apr
22 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
rons une belle noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dans vos cheveux . Un beau sermon à l’église, De longs discours apr
23 (1912) Zône « Zône »
beau lys que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle
24 (1913) Zône « Zône »
beau lys que malgré tout nous tous nous cultivons C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le vent C’est le fils pâle
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