Juan des mille et trois comètes Et même sans bouger de la terre
Cherche
les forces neuves Et prend au serieux les fant
Juan des mille et trois comètes Et même sans bouger de la terre
Cherche
les forces neuves Et prend au sérieux les fant
n Il faut voyager loin en aimant sa maison Il faut chérir l’audace et
chercher
l’aventure Il faut toujours penser à la France fu
ux. Aux créneaux. Laissez là les pioches. Comme un astre éperdu qui
cherche
ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta roman
créneaux. Laissez là les pioches. * * * Comme un astre éperdu qui
cherche
ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta roman
x créneaux laissez-là les pioches * * * Comme un astre éperdu qui
cherche
ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta roman
aux créneaux ! Laissez-là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui
cherche
ses saisons, Cœur obus éclaté tu sifflais ta roma
me en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mère J’ai
cherché
longtemps sur les routes Tant d’yeux sont clos au
omme en l’air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mère J’ai
cherché
longtemps sur les routes Tant d’yeux sont clos au
s à bout de bras Ils jonglèrent avec les poids Mais chaque spectateur
cherchait
en soi l’enfant miraculeux Siècle ô siècle des nu
ppris de leur bouche et je le parle encore. Le cortège passait et j’y
cherchais
mon corps, Tous ceux qui survenaient et n’étaient
bout de bras, Ils jonglèrent avec les poids, Mais chaque spectateur
cherchait
en soi l’enfant miraculeux. Siècle, ô siècle des
e trésors. Effrayants et fardés, les poètes barbares, Troupe lâche,
cherchaient
, pour y chastes mourir, La forêt précieuse aux oi