Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») Le
chemin
qui mène aux étoiles Est pur, sans ombre et sans
Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’aimer en
chemin
Nous fait penser main dans la main A ce qu’a préd
Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’aimer en
chemin
Nous fait penser, main dans la main, A ce qu’a pr
i tant aimée ; Les pétales flétris sont comme ses paupières. Sur le
chemin
du bord du fleuve, lentement, Un ours, un singe,
si douces mains Dont chaque matin nous sépare : « Adieu, voilà votre
chemin
. » Les coqs s’épuisaient en fanfares. Et la sep
, les maisons qui s’effondrent, Les cadavres tout nus couchés par les
chemins
, Nous irons contempler le sourire des morts. No
a bien mon fils, mon ouvrage immortel « Le front nimbé de feu, sur le
chemin
de Rome « Il marchera tout seul en regardant le c
e homme tenait une rose à la main Et le langage qu’ils inventaient en
chemin
Je l’appris de leur bouche et je le parle encore.
’ai dormi au sol des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au bout de mes
chemins
La ville m’apparut, très grave, au son des cloche