Voyage à Paris Ah ! la charmante chose Quitter un pays morose     Pour Paris     P

   Pour Paris     Paris joli     Qu’un jour Dut créer l’Amour Ah ! la charmante chose Quitter un pays morose     Pour Paris

râce exilée Va-t’en va-t’en mon arc-en-ciel Allez-vous-en couleurs charmantes Cet exil t’est essentiel Infante aux écharpes cha

e Mensonge de l’annonciade La Noël fut la Passion Et qu’elle était charmante et sade Cette renonciation Si la colombe poigna

ales Les elfes rire au vent ou corner aux rafales Attys, Attys, Attys charmant et débraillé C’est ton nom qu’en la nuit les elfe

n acier ») À André Rouveyre.  Feu d’artifice en acier Qu’il est charmant cet éclairage   Artifice d’artificier Mêler quelq

acier ») À André Rouveyre.   Feu d’artifice en acier Qu’il est charmant cet éclairage     Artifice d’artificier Mêler que

s, Les elfes rire au vent ou corner aux rafales. Attys, Attys, Attys, charmant et débraillé, C’est ton nom qu’en la nuit les elf

er ») à André Rouveyre.         Feu d’artifice en acier… Qu’il est charmant , cet éclairage !         Artifice d’artificier :

es ceps de vigne J’envoie mes bouteilles partout comme les obus d’une charmante artillerie La nuit est blonde ô vin blond Un vign

omme un vêtement Partant, à l’amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles.

jaunes bleus verts et rouges Où je m’en allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en laisse Il n’y en a

jaunes bleus verts et rouges Où je m’en allais à la campagne avec une charmante cheminée tenant sa chienne en laisse J’avais un m

Une fois là il me présente un gros bonhomme Qui me dit écoutez c’est charmant A Smyrne à Naples en Tunisie Mais nom de Dieu où

m’attire ainsi qu’un fer l’aimant                    Elle a l’aspect charmant                    D’une adorable rousse Ses ch

omme un vêtement Partant, à l’amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je fla

me un vêtement : Partant, à l’Amphion, docile, Tu subis tous les tons charmants Qui rendent les pierres agiles. II Je fla

ées Nous jouissons de tout même de nos souffrances Notre humeur est charmante l’ardeur vient quand il faut Nous sommes narquois

naient A la petite troupe des morts récents. Tous étaient si gais, Si charmants , si bien portants Que bien malin qui aurait pu Di

ient A la petite troupe des morts récents. Tous étaient si gais, Si charmants , si bien portants Que bien malin qui aurait pu Di