tous les français sont illustres Et vous Amaro vous
chantez
Tous les soldats français en chantant le grand
es Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs pieds. Debout,
chantez
plus haut en dansant une ronde, Que je n’entende
irent. Tout l’or des nuits tombe, en tremblant, s’y refléter. La voix
chante
toujours, à en râle-mourir, Ces fées aux cheveux
ange en un œuf coché Puisqu’il en naît des coqs Infante Entends-les
chanter
leurs dédains Et que la grenade est touchante Dan
d’un grand jardin rhénan Un phonographe énamouré pour dix pfenings
Chanta
l’amour à quatre voix de chanteurs morts Des chât
nie j’entends un bruit de rames Dans la nuit sur le Rhin et le coucou
chanter
Puis j’ai jasé d’amour de l’amour regretté Avec t
biche du silence éperdu passait vite Un rossignol meurtri par l’amour
chantait
sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les ro
biche du silence éperdu passait vite Un rossignol meurtri par l’amour
chantait
sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les ro
ige ou pleuve Dans l’eau d’acier ton ombre te précèdera Les vents
chantent
Jouhé les cors cornent Trara Tête en bas les ye
biche du silence éperdu passe vite Un rossignol meurtri par l’amour
chante
sur Le rosier de ton corps dont j’ai cueilli le
Les Fenêtres Du rouge au vert tout le jaune se meurt Quand
chantent
les aras dans les forêts natales Abatis de pihis
Puits Arbres creux qui abritent les Câpresses vagabondes Les Chabins
chantent
des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie
es A Robert Delaunay Du rouge au vert tout le jaune se meurt Quand
chantent
les aras dans les forêts natales Abatis de pi-his
Puits Arbres creux qui enlacent les Capresses vagabondes Les Chabins
chantent
des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie
se à boutons Embaume les espoirs d’une armée qui halète Le Loriot
chante
N’est-ce pas rigolo Enfin une plume d’épervier
boutons Embaume les espoirs d’une armée qui halète Le Loriot
chante
N’est-ce pas rigolo Enfin une plume d’éperv
m’est inconnu Et leur espoir n’est pas moins fort que le mien Je ne
chante
pas ce monde ni les autres astres Je chante toute
fort que le mien Je ne chante pas ce monde ni les autres astres Je
chante
toutes les possibilités de moi-même hors de ce mo
toutes les possibilités de moi-même hors de ce monde et des astres Je
chante
la joie d’errer et le plaisir d’en mourir Le 21
es pas Il s’arrêta au coin de la rue Saint-Martin Jouant l’air que je
chante
et que j’ai inventé Les femmes qui passaient s’ar
die des cités, l’écroulement des murs Et comme lui, indolemment, nous
chanterons
. Nous chanterons le feu, la noblesse des forges
roulement des murs Et comme lui, indolemment, nous chanterons. Nous
chanterons
le feu, la noblesse des forges, La force des gran
s ne m’entendez plus Vous ne connaîtrez plus les poèmes divins que je
chante
Tandis que moi je vous entends je vous vois encor
victorieux que les premiers rayons du soleil ont fait
chanter
à Memnon l’immobile Il y a le cri des Sabines au
Et ce soldat blessé toujours debout Arras Et maintenant
chantons
ceux qui sont morts Ceux qui vivent
Les flingots Rosalie le canon la fusée l’hélice la pelle les chevaux
Chantons
les bagues pâles les casques Chan
peintre ayant vu de hauts vols de cigognes Peignit les séraphins qui
chantent
maintenant. Et c’est la Vierge la plus douce du
uais déserts et sombres En rentrant à Auteuil j’entendis une voix Qui
chantait
gravement se taisant quelquefois Pour que parvînt
aisin le plus doux de la terre Ces grains miraculeux qui aux treilles
chantèrent
Et Rennes répondit avec Quimper et Vannes Nou
Paris nous voici boissons vivantes Les viriles cités où dégoisent et
chantent
Les métalliques saints de nos saintes usines Nos
aimaient ces oiseaux-là Il ne tournera plus sur l’écueil de Scylla Où
chantaient
les trois voix suaves et sereines Le détroit tout
maisons nettement blanches et noires Sans savoir que tu es la réalité
chantent
ta gloire Mais nous liquides mains jointes pour l
mers les animaux les plantes Les cités les destins et les astres qui
chantent
Les hommes à genoux sur la rive du ciel Et le doc
gés Aux longues branches langoureuses. Les sapins, beaux musiciens,
Chantent
des noëls anciens Au vent des soirs d’automne Ou
d’une charmante artillerie La nuit est blonde ô vin blond Un vigneron
chantait
courbé dans sa vigne Un vigneron sans bouche au f
on voisin Martin enfin s’épousent. » Le rossignol aveugle essaya de
chanter
Mais l’effraie ululant il trembla dans sa cage :
brode une étole Pour la fête du curé. » La forêt là-bas Grâce au vent
chantait
à voix grave de grand orgue. Le songe, Herr Traum
regard d’homme, ô cordes de ma lyre, C’est vous qui résonnez quand je
chante
; c’est vous, La cause de l’impossible amour que
uffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends
chanter
les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont
uffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends
chanter
les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont
ouffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient entends
chanter
les nôtres Pourpre Amour salué par ceux qui vont
me souviens d’une autre année, C’était l’aube d’un jour d’avril. J’ai
chanté
ma joie bien-aimée, Chanté l’amour à voix virile
ée, C’était l’aube d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée,
Chanté
l’amour à voix virile Au moment d’amour de l’anné
s Et notre amour ainsi se mêlait à la mort. Au loin, près d’un feu,
chantaient
des bohémiennes. Un train passait, les yeux ouver
des mois Le Conducteur entend bien caché dans les bois La chanson que
chantait
cette étoile inconnue As-tu con
des mois Le Conducteur entend bien caché dans les bois La chanson que
chantait
cette étoile inconnue As-tu conn
ffle nage au fleuve où le sang va tarir, Les obus miaulaient… entends
chanter
les nôtres. Pourpre amour salué par ceux qui vont
derhannes A Marius-Ary Leblond Dans la forêt, avec sa bande
Chante
Schinderhannes armé. Le brigand près de sa brigan
muaient ainsi que les yeux des chevaux Le bon chanteur Girault nous
chante
après 9 heures Un grand air d’opéra toi l’écoutan
pensée se recueille aux trauchées glorieuses [obus] j’entends
chanter
l’oiseau le bel oiseau rapace Guillaume Apollin
fleurs de l’amour Pendant le blanc et nocturne novembre Tandis que
chantaient
épouvantablement les obus Et que les fleurs morte
ont jouer Dans le cimetière Martin Gertrude Hans et Henri Nul coq n’a
chanté
aujourd’hui Kikiriki. Les vieilles femmes Tout en
Arbre Poème inédit par GUILLAUME APPOLLINAIRE PARIS Tu
chantes
avec les autres tandis que les phonographes galop
rs le nord Que je songe au village africain Où l’on dansait où l’on
chantait
Où l’on faisait l’amour Et de lon
rs le nord Que je songe au village africain Où l’on dansait où l’on
chantait
Où l’on faisait l’amour Et de lon
sser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui
chantent
tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la pro
ement En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dans les tavernes
chanter
des chansons tchèques Te voici à Marseille au m
sous parmi les malheureux Tu es la nuit dans un grand restaurant On
chante
on danse on boit du champagne Ces femmes ne sont
sser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui
chantent
tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la pro
ement En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dans les tavernes
chanter
des chansons tchèques Te voici à Marseille au m
sous parmi les malheureux Tu es la nuit dans un grand restaurant On
chante
on danse on boit du champagne Ces femmes ne sont
e verruquée Voici les nez des soldats invisibles Horizon invisible je
chante
Que les civils et les femmes écoutent les chanson
e vie… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre
Chantaient
de ces rondes Aux paroles absurdes et lyriques Qu
ans leurs sifflets de viorne, Ou de sureau, Tandis que les militaires
Chantaient
des tyroliennes En se répondant comme on le fait
e vie… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre
Chantaient
de ces rondes Aux paroles absurdes et lyriques Qu
ans leurs sifflets de viorne, Ou de sureau, Tandis que les militaires
Chantaient
des tyroliennes En se répondant comme on le fait
rûlé les ruches blanches. Dans les jardins et les vergers Les oiseaux
chantent
sur les branches, Le printemps clair, l’avril lég
ans le savoir Au triangle isocèle ouvert au mors des chapes Pallas et
chantaient
l’hymne à la belle mais noire Les chevaucheurs
le savoir, Au triangle isocèle ouvert au mors des chapes, Pallas, et
chantaient
l’hymne à la belle, mais noire. Les chevaucheur