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1 (1918) A Luigi Amaro « À Luigi Amaro »
éral Galliéni                                    Aux Parisiens Vous chantez Galliéni                               Avec cet
s en fleurs d’éclatements                 Amaro écoutez La Russie chante la Marseillaise        L’Amérique au nom de tou
tous les français sont illustres                Et vous Amaro vous chantez Tous les soldats français en chantant le grand
2 (1909) Aubade chantée à Lætare un an passé « Aubade chantée à Lætare un an passé »
Aubade chantée à Lætare un an passé C’est le printemps, viens
lle et touchante, Pan sifflote dans la forêt, Les grenouilles humides chantent .
3 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
es Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs pieds. Debout, chantez plus haut en dansant une ronde, Que je n’entende
irent. Tout l’or des nuits tombe, en tremblant, s’y refléter. La voix chante toujours, à en râle-mourir, Ces fées aux cheveux
4 (1916) Les Grenadines repentantes « Les Grenadines repentantes »
ange en un œuf coché Puisqu’il en naît des coqs Infante Entends-les chanter leurs dédains Et que la grenade est touchante Dan
5 (1917) à Luigi Amaro « A Luigi Amaro »
lamation du général Galliéni                     Aux Parisiens Vous chantez Galliéni                     Avec cette simplicit
                                   Amaro écoutez            La Russie chante la Marseillaise                     L’Amérique a
6 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
d’un grand jardin rhénan Un phonographe énamouré pour dix pfenings Chanta l’amour à quatre voix de chanteurs morts Des chât
nie j’entends un bruit de rames Dans la nuit sur le Rhin et le coucou chanter Puis j’ai jasé d’amour de l’amour regretté Avec t
7 (1915) Loin du Pigeonnier « Loin du Pigeonnier »
urène 75 Canteraine O gerbes des 305 en déroute dans la Forêt où nous chantons
8 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
biche du silence éperdu passait vite Un rossignol meurtri par l’amour chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les ro
9 (1915) [Envoie autographe] « Loin du Pigeonnier »
urène 75 Canteraine O gerbes des 305 en déroute dans la Forêt où nous chantons
10 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
biche du silence éperdu passait vite Un rossignol meurtri par l’amour chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les ro
11 (1914) Plongeon « Plongeon »
ige ou pleuve Dans l’eau d’acier ton ombre te précèdera Les vents chantent Jouhé les cors cornent Trara Tête en bas les ye
12 (1918) Vers le Sud « Vers le Sud »
biche du silence éperdu passe vite Un rossignol meurtri par l’amour chante sur Le rosier de ton corps dont j’ai cueilli le
13 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
Les Fenêtres Du rouge au vert tout le jaune se meurt Quand chantent les aras dans les forêts natales Abatis de pihis
Puits Arbres creux qui abritent les Câpresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie
14 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
es A Robert Delaunay Du rouge au vert tout le jaune se meurt Quand chantent les aras dans les forêts natales Abatis de pi-his
Puits Arbres creux qui enlacent les Capresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie
15 (1909) Crépuscule « Crépuscule »
se lamentent Parce qu’ils n’ont pas assez bu… Ecoutons les muses qui chantent . Honnef , 1901.
16 (1918) Océan de terre « Océan de terre »
                     Saison rapide                         Saison qui chante                 Les avions pondent des œufs    
17 (1915) Echelon « Echelon »
se à boutons Embaume les espoirs d’une armée qui halète   Le Loriot chante   N’est-ce pas rigolo Enfin une plume d’épervier
18 (1915) Echelon « Echelon »
boutons Embaume les espoirs d’une armée qui halète       Le Loriot chante       N’est-ce pas rigolo Enfin une plume d’éperv
19 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
m’est inconnu Et leur espoir n’est pas moins fort que le mien Je ne chante pas ce monde ni les autres astres Je chante toute
fort que le mien Je ne chante pas ce monde ni les autres astres Je chante toutes les possibilités de moi-même hors de ce mo
toutes les possibilités de moi-même hors de ce monde et des astres Je chante la joie d’errer et le plaisir d’en mourir Le 21
es pas Il s’arrêta au coin de la rue Saint-Martin Jouant l’air que je chante et que j’ai inventé Les femmes qui passaient s’ar
20 (1903) Avenir « Avenir »
die des cités, l’écroulement des murs Et comme lui, indolemment, nous chanterons . Nous chanterons le feu, la noblesse des forges
roulement des murs Et comme lui, indolemment, nous chanterons. Nous chanterons le feu, la noblesse des forges, La force des gran
21 (1915) Saillant « Saillant »
tica]                   Aÿ Ancien nom du renom             Le crapaud chantait les saphirs nocturnes [crapauds] LOU LOU LOU
22 (1915) Saillant « Saillant »
tica]                   Aÿ Ancien nom du renom             Le crapaud chantait les saphirs nocturnes [crapauds] LOU LOU LOU
23 (1917) Ombre « Ombre »
s ne m’entendez plus Vous ne connaîtrez plus les poèmes divins que je chante Tandis que moi je vous entends je vous vois encor
24 (1917) Chant d'amour « Chant d’amour »
victorieux que les premiers rayons du soleil                ont fait chanter à Memnon l’immobile Il y a le cri des Sabines au
25 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
Et ce soldat blessé toujours debout Arras               Et maintenant chantons ceux qui sont morts               Ceux qui vivent
 Les flingots Rosalie le canon la fusée l’hélice la pelle les chevaux Chantons les bagues pâles les casques                 Chan
lle les chevaux Chantons les bagues pâles les casques                  Chantons ceux qui sont morts                 Chantons la t
casques                 Chantons ceux qui sont morts                  Chantons la terre qui bâille d’ennui                 Chant
                Chantons la terre qui bâille d’ennui                  Chantons et rigolons                 Durant des années    
26 (1909) La Vierge à la fleur de haricot à Cologne « La Vierge à la fleur de haricot à Cologne »
peintre ayant vu de hauts vols de cigognes Peignit les séraphins qui chantent maintenant. Et c’est la Vierge la plus douce du
27 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
uais déserts et sombres En rentrant à Auteuil j’entendis une voix Qui chantait gravement se taisant quelquefois Pour que parvînt
aisin le plus doux de la terre Ces grains miraculeux qui aux treilles chantèrent Et Rennes répondit avec Quimper et Vannes Nou
Paris nous voici boissons vivantes Les viriles cités où dégoisent et chantent Les métalliques saints de nos saintes usines Nos
aimaient ces oiseaux-là Il ne tournera plus sur l’écueil de Scylla Où chantaient les trois voix suaves et sereines Le détroit tout
maisons nettement blanches et noires Sans savoir que tu es la réalité chantent ta gloire Mais nous liquides mains jointes pour l
mers les animaux les plantes Les cités les destins et les astres qui chantent Les hommes à genoux sur la rive du ciel Et le doc
28 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
gés Aux longues branches langoureuses. Les sapins, beaux musiciens, Chantent des noëls anciens Au vent des soirs d’automne Ou
29 (1917) Le Vigneron champenois « Le Vigneron champenois »
d’une charmante artillerie La nuit est blonde ô vin blond Un vigneron chantait courbé dans sa vigne Un vigneron sans bouche au f
30 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
on voisin Martin enfin s’épousent. » Le rossignol aveugle essaya de chanter Mais l’effraie ululant il trembla dans sa cage :
brode une étole Pour la fête du curé. » La forêt là-bas Grâce au vent chantait à voix grave de grand orgue. Le songe, Herr Traum
31 (1917) Sanglots « Sanglots »
orgueil de tous ces souvenirs                         Des marins qui chantaient comme des conquérants                          De
32 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
regard d’homme, ô cordes de ma lyre, C’est vous qui résonnez quand je chante  ; c’est vous, La cause de l’impossible amour que
33 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
uffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont
34 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
uffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont
35 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
ouffle nage au fleuve où le sang va tarir Les obus miaulaient entends chanter les nôtres Pourpre Amour salué par ceux qui vont
36 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
me souviens d’une autre année, C’était l’aube d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée, Chanté l’amour à voix virile
ée, C’était l’aube d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée, Chanté l’amour à voix virile Au moment d’amour de l’anné
37 (1909) Élégie « Élégie »
s Et notre amour ainsi se mêlait à la mort. Au loin, près d’un feu, chantaient des bohémiennes. Un train passait, les yeux ouver
38 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
des mois Le Conducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait cette étoile inconnue                As-tu con
39 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
des mois Le Conducteur entend bien caché dans les bois La chanson que chantait cette étoile inconnue                As-tu conn
40 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
ffle nage au fleuve où le sang va tarir, Les obus miaulaient… entends chanter les nôtres. Pourpre amour salué par ceux qui vont
41 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
derhannes     A Marius-Ary Leblond Dans la forêt, avec sa bande Chante Schinderhannes armé. Le brigand près de sa brigan
42 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
muaient ainsi que les yeux des chevaux Le bon chanteur Girault nous chante après 9 heures Un grand air d’opéra toi l’écoutan
43 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
pensée se recueille aux trauchées glorieuses   [obus] j’entends chanter l’oiseau le bel oiseau rapace Guillaume Apollin
44 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
fleurs de l’amour Pendant le blanc et nocturne novembre Tandis que chantaient épouvantablement les obus Et que les fleurs morte
45 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
ont jouer Dans le cimetière Martin Gertrude Hans et Henri Nul coq n’a chanté aujourd’hui Kikiriki. Les vieilles femmes Tout en
46 (1913) Arbre « Arbre »
Arbre Tu chantes avec les autres tandis que les phonographes galop
47 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
au                     Sur l’épaule d’un ange                     Ils chantent la louange                     Du gentil Rousseau
48 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
out petit oiseau              Sur l’épaule d’un ange              Ils chantent la louange              Du gentil Rousseau     
49 (1916) Arbre « Arbre »
Arbre Tu chantes avec les autres tandis que les phonographes galop
50 (1917) Arbre « Arbre »
Arbre Poème inédit par GUILLAUME APPOLLINAIRE PARIS Tu chantes avec les autres tandis que les phonographes galop
51 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
rs le nord Que je songe au village africain   Où l’on dansait où l’on chantait       Où l’on faisait l’amour           Et de lon
52 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
rs le nord Que je songe au village africain   Où l’on dansait où l’on chantait       Où l’on faisait l’amour           Et de lon
53 (1912) Zône « Zône »
sser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la pro
ement En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dans les tavernes chanter des chansons tchèques Te voici à Marseille au m
sous parmi les malheureux Tu es la nuit dans un grand restaurant On chante on danse on boit du champagne Ces femmes ne sont
54 (1913) Zône « Zône »
sser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la pro
ement En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dans les tavernes chanter des chansons tchèques Te voici à Marseille au m
sous parmi les malheureux Tu es la nuit dans un grand restaurant On chante on danse on boit du champagne Ces femmes ne sont
55 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
e verruquée Voici les nez des soldats invisibles Horizon invisible je chante Que les civils et les femmes écoutent les chanson
56 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
e vie… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux paroles absurdes et lyriques Qu
ans leurs sifflets de viorne, Ou de sureau, Tandis que les militaires Chantaient des tyroliennes En se répondant comme on le fait
57 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
e vie… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chantaient de ces rondes Aux paroles absurdes et lyriques Qu
ans leurs sifflets de viorne, Ou de sureau, Tandis que les militaires Chantaient des tyroliennes En se répondant comme on le fait
58 (1917) La Victoire « La Victoire »
La Victoire Un coq chante je rêve et les feuillards agitent Leurs feuilles
59 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
rûlé les ruches blanches. Dans les jardins et les vergers Les oiseaux chantent sur les branches, Le printemps clair, l’avril lég
60 (1911) Le Larron « Le Larron »
ans le savoir Au triangle isocèle ouvert au mors des chapes Pallas et chantaient l’hymne à la belle mais noire Les chevaucheurs
61 (1903) Le Larron « Le Larron »
le savoir, Au triangle isocèle ouvert au mors des chapes, Pallas, et chantaient l’hymne à la belle, mais noire. Les chevaucheur
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