a richesse, Pauvres poètes, travaillons ! La chenille en peinant sans
cesse
Devient le riche papillon.
émouvoir Caron Et vivant je mendie de chaque aube à la brune Et je
cesse
ma plainte quand le jour s’éteint ; Je reviendrai
L’Amour dit Reste ici mais là-bas les obus Epousent ardemment et sans
cesse
les buts J’attends que le printemps commande qu
r une âme qui s’est creusée qui est vide On dirait qu’on y tombe sans
cesse
et sans trouver de fond Et qu’il n’y a rien pour
Mais pour noyer, comme des poux, Ces tisseuses têtues qui, sans
cesse
, interrogent, Il se maria com
Mais pour noyer, comme des poux, Ces tisseuses têtues qui, sans
cesse
, interrogent, Il se maria comm
agnie au long des longs boyaux Quelques cris de flamme annoncent sans
cesse
ma présence J’ai creusé le lit où je coule en me
la roue comme un grand paon Ecoutez renaître les oracles qui avaient
cessé
Le grand Pan est ressuscité Champagne viril qui é
saltimbanque fit la roue Avec tant d’audacieuse harmonie Que l’orgue
cessa
de jouer Et que l’organiste se cacha le visage da
saltimbanque fit la roue Avec tant d’audacieuse harmonie Que l’orgue
cessa
de jouer Et que l’organiste se cacha le visage da
ut à coup les cloches de Saint-Merry se mirent à sonner Le musicien
cessa
de jouer et but à la fontaine Qui se trouve au co