s, leurs aînés Qui sont de grands poètes, Ils se savent prédestinés A
briller
plus que des planètes A briller doucement, chan
poètes, Ils se savent prédestinés A briller plus que des planètes A
briller
doucement, changés En étoiles et enneigés. Aux No
e la chaise où s’assied la mère Il y a la fenêtre
Briller
sous le soleil Les caps aux feuillages sombres de
ntrépide bleusaille Les 3 servants assis dodelinent leurs fronts Où
brillent
leurs yeux clairs comme mes éperons Un bel aprè
au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où notre sol
brille
déjà, Baisse ta deuxième paupière, la terre t’ébl
anquille, au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où
brille
déjà ma mémoire, Baisse ta deuxième paupière Ni à
il flotte parfois en l’air de vagues nuages de craie Sur la planche
brillent
des fusées détonateurs joyaux dorés à tête émaill
des lueurs légères Et puis aucun de nous ne croirait tes récits Il
brillait
et attirait comme la pantaure Que n’avait-il la v
des lueurs légères Et puis aucun de nous ne croirait tes récits. Il
brillait
et attirait comme la pantaure. Que n’avait-il la
ssez, repoussez cet amour défendu, Je suis mariée. Voyez l’anneau qui
brille
, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mo
ssez, repoussez cet amour défendu. Je suis mariée. Voyez l’anneau qui
brille
, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mo
▲