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1 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
s, leurs aînés Qui sont de grands poètes, Ils se savent prédestinés A briller plus que des planètes A briller doucement, chan
poètes, Ils se savent prédestinés A briller plus que des planètes A briller doucement, changés En étoiles et enneigés. Aux No
2 (1915) Le Repas « Le Repas »
e la chaise où s’assied la mère           Il y a la fenêtre            Briller sous le soleil Les caps aux feuillages sombres de
3 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
ntrépide bleusaille Les 3 servants assis dodelinent leurs fronts Où brillent leurs yeux clairs comme mes éperons Un bel aprè
4 (1911) Cortège « Cortège »
au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où notre sol brille déjà, Baisse ta deuxième paupière, la terre t’ébl
anquille, au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où brille déjà ma mémoire, Baisse ta deuxième paupière Ni à
5 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
il flotte parfois en l’air de vagues nuages de craie Sur la planche brillent des fusées détonateurs joyaux dorés à tête émaill
6 (1911) Le Larron « Le Larron »
des lueurs légères Et puis aucun de nous ne croirait tes récits Il brillait et attirait comme la pantaure Que n’avait-il la v
7 (1903) Le Larron « Le Larron »
des lueurs légères Et puis aucun de nous ne croirait tes récits. Il brillait et attirait comme la pantaure. Que n’avait-il la
8 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
ssez, repoussez cet amour défendu, Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille , Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mo
9 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
ssez, repoussez cet amour défendu. Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille , Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mo
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