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1 (1914) Hôtel « Hôtel »
Hôtel Ma chambre a la forme d’une cage Le soleil passe son bras par la fenêtre Mais moi qui veux fumer pour faire
2 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section IV
Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») IV Un monsieur en bras de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant
3 (1916) Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») - section IV
Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») IV Un monsieur en bras de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant
4 (1913) La Grenouillère « La Grenouillère »
les jours de la semaine Ni les peintres ni Maupassant ne se promènent Bras nus sur leurs canots avec des femmes à grosse poi
5 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
le afin de tout voir Poids formidables Villes de Belgique soulevées à bras tendus par un ouvrier russe de Longwy Haltères no
omme portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons Les bras , les bras partout montaient la garde Le second sa
it-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons Les bras, les bras partout montaient la garde Le second saltimbanque
l’enfant Les saltimbanques soulevèrent les grosses haltères à bout de bras Ils jonglèrent avec les poids Mais chaque spectat
6 (1914) 1904 « 1904 »
flancs etc Un peu de kirsch me ravigote Que ne t’avais-je entre mes bras
7 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
afin de tout voir. Poids formidables, Villes de Belgique soulevées à bras tendu par un ouvrier russe de Longwy, Haltères no
e portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons. Les bras , les bras, partout montaient la garde. Le secon
il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons. Les bras, les bras , partout montaient la garde. Le second saltimba
l’enfant. Les saltimbanques soulevèrent les gros haltères à bout de bras , Ils jonglèrent avec les poids, Mais chaque spec
8 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
s fées et les enchanteurs. Ayant décroché une étoile, Il la manie à bras tendu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mes
9 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
fées et les enchanteurs ! Ayant décroché une étoile Il la manie, à bras tendu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mes
10 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
çons aux vêtements maculés de plâtre Il vint des garçons bouchers aux bras teints de sang Des mitrons pâles de la farine qui
11 (1911) Marie « Marie »
assais au bord de la Seine                    Un livre ancien sous le bras                    Le fleuve est pareil à ma pein
12 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
ns dans les mains, restons face à face Tandis que sous le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si lasse.    
13 (1912) Marie « Marie »
Je passais au bord de la Seine,               Un livre ancien sous le bras .               Le fleuve est pareil à ma peine,  
14 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
çon imprécise Presque toujours en français Et pendue éperdument à mon bras Vous m’auriez écouté vous parler de Pythagoras En
15 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
est changé très vite en méduse, Puisque je flambe atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tour
16 (1907) Fragment « Fragment »
’est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tour
17 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
alop je conduis le canon                                           Le bras de l’officier est mon étoile polaire Il pleut mon
18 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
r regarder Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards pour yeux bras et cœurs J’ai reconnu ton sourire et ta vivacité
19 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
à coup, Je les invitai à une promenade Loin de l’obituaire. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militai
s invitai à une promenade Loin de l’obituaire. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militaires, (Oui, to
20 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
es invitai à une promenade Loin des arcades de leur Maison. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militai
une promenade Loin des arcades de leur Maison. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militaires, (Oui, to
21 (1917) La Victoire « La Victoire »
ins De ceux qui les tendaient et m’adoraient ensemble Quelle oasis de bras m’accueillera demain Connais-tu cette joie de voi
22 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
ère Mais nous qui mourons de vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et sur ces rails roule un long train de marchandi
23 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
                   ITALIE Entends crier Louvain vois Reims tordre ses bras Et ce soldat blessé toujours debout Arras        
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