Hôtel Ma chambre a la forme d’une cage Le soleil passe son
bras
par la fenêtre Mais moi qui veux fumer pour faire
Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») IV Un monsieur en
bras
de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant
Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») IV Un monsieur en
bras
de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant
les jours de la semaine Ni les peintres ni Maupassant ne se promènent
Bras
nus sur leurs canots avec des femmes à grosse poi
le afin de tout voir Poids formidables Villes de Belgique soulevées à
bras
tendus par un ouvrier russe de Longwy Haltères no
omme portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons Les
bras
, les bras partout montaient la garde Le second sa
it-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons Les bras, les
bras
partout montaient la garde Le second saltimbanque
l’enfant Les saltimbanques soulevèrent les grosses haltères à bout de
bras
Ils jonglèrent avec les poids Mais chaque spectat
afin de tout voir. Poids formidables, Villes de Belgique soulevées à
bras
tendu par un ouvrier russe de Longwy, Haltères no
e portait-il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons. Les
bras
, les bras, partout montaient la garde. Le secon
il ainsi sur le dos La teinte ignoble de ses poumons. Les bras, les
bras
, partout montaient la garde. Le second saltimba
l’enfant. Les saltimbanques soulevèrent les gros haltères à bout de
bras
, Ils jonglèrent avec les poids, Mais chaque spec
s fées et les enchanteurs. Ayant décroché une étoile, Il la manie à
bras
tendu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mes
fées et les enchanteurs ! Ayant décroché une étoile Il la manie, à
bras
tendu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mes
çons aux vêtements maculés de plâtre Il vint des garçons bouchers aux
bras
teints de sang Des mitrons pâles de la farine qui
ns dans les mains, restons face à face Tandis que sous le pont de nos
bras
passe Des éternels regards l’onde si lasse.
çon imprécise Presque toujours en français Et pendue éperdument à mon
bras
Vous m’auriez écouté vous parler de Pythagoras En
est changé très vite en méduse, Puisque je flambe atrocement, Que mes
bras
seuls sont les excuses Et les torches de mon tour
’est changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement, Que mes
bras
seuls sont les excuses Et les torches de mon tour
r regarder Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards pour yeux
bras
et cœurs J’ai reconnu ton sourire et ta vivacité
à coup, Je les invitai à une promenade Loin de l’obituaire. Et tous
bras
dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militai
s invitai à une promenade Loin de l’obituaire. Et tous bras dessus,
bras
dessous, Fredonnant des airs militaires, (Oui, to
es invitai à une promenade Loin des arcades de leur Maison. Et tous
bras
dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militai
une promenade Loin des arcades de leur Maison. Et tous bras dessus,
bras
dessous, Fredonnant des airs militaires, (Oui, to
ins De ceux qui les tendaient et m’adoraient ensemble Quelle oasis de
bras
m’accueillera demain Connais-tu cette joie de voi
ère Mais nous qui mourons de vivre loin l’un de l’autre Tendons nos
bras
et sur ces rails roule un long train de marchandi