d l’air Comme si de l’amour — ce pendu jaune et vert — Je voulais que
brûlât
l’horrible main de gloire. Le pendu, le beau ma
usse * * * Notre amour est un sous les étoiles * * * Le riz a
brûlé
dans la marmite du campement Ça signifie qu’il fa
us Et je vivrai par ta chaleur et d’espérance Mais ton amour soleil
brûle
divinement Mon corps qu’être divin voulut mon ign
nte de s’élever jusqu’à chacun de mes yeux, Et porteur de soleils, je
brûle
au centre de deux nébuleuses. Qu’ai-je fait aux
signe pur du troisième mois. * * * [« Templiers flamboyants, je
brûle
parmi vous »] Templiers flamboyants, je brûle
ers flamboyants, je brûle parmi vous »] Templiers flamboyants, je
brûle
parmi vous. Prophétisons ensemble, ô grands maîtr
, Face tournée au ciel changeant… … Juin, ton soleil, ardente lyre,
Brûle
mes doigts endoloris. Triste et silencieux délire
ré cré cré cré cré cré cré [motif circulaire, rayons] et comment j’ai
brûlé
le dur avec ma gerce rue St-Isidore à La Havane ç
ou bien flottaison blanche dans les cieux J’étais content pourtant ça
brûlait
la paupière Les officiers captifs voulaient cache
rtiront bientôt de la vie Ils seront beaux et ridicules Deux lampes
brûlent
devant moi Comme deux femmes qui rient Je courbe
énéralement aux emballages Il y a un trou qui sert d’âtre et ce qui y
brûle
est un feu semblable à l’âme Tant il tourbillonne
ombre en deuil de moi-même… … L’hiver est mort tout enneigé ; On a
brûlé
les ruches blanches. Dans les jardins et les verg