Chef de section Ma bouche aura des ardeurs de géhenne Ma bouche te sera un

Chef de section Ma bouche aura des ardeurs de géhenne Ma bouche te sera un enfer de douceur et de séduction Les a

Ma bouche te sera un enfer de douceur et de séduction Les anges de ma bouche trôneront dans ton cœur Les soldats de ma bouche

tion Les anges de ma bouche trôneront dans ton cœur Les soldats de ma bouche te prendront d’assaut Les prêtres de ma bouche en

cœur Les soldats de ma bouche te prendront d’assaut Les prêtres de ma bouche encenseront ta beauté Ton âme s’agitera comme une

s’est amassé dans les regards de l’humanité depuis qu’elle existe Ma bouche sera une armée contre toi une armée pleine de dis

eur qui sait varier ses métamorphoses L’orchestre et les chœurs de ma bouche te diront mon amour Elle te le murmure de loin Ta

t la rose ardente Leurs yeux tout à coup ont fleuri Et quel soleil la bouche errante A qui la bouche avait souri

yeux tout à coup ont fleuri Et quel soleil la bouche errante A qui la bouche avait souri

Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») II Bouche ouverte sur une harmonium C’était une voix faite

Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») II Bouche ouverte sur un harmonium C’était une voix faite d

ux heures. Je la surnommai Rosemonde Voulant pouvoir me rappeler Sa bouche fleurie en Hollande Puis lentement je m’en allai

mine à ta conquête. Mars et Vénus sont revenus ; Ils s’embrassent à bouches folles Devant des sites ingénus Où sous les roses

                           Allons plus vite                      La bouche en cœur Pauline honteuse                         

dépit d’Avinain, Que me fait ton amour, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins blancs comme des petits suisses Fera

dépit d’Avinain, Que me fait ton amour, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins blancs comme de petits suisses Fera l

vin blond Un vigneron chantait courbé dans sa vigne Un vigneron sans bouche au fond de l’horizon Un vigneron qui était lui-mê

and je vous le jure Lorsque vous m’auriez surpris embrassant à pleine bouche Cette servante rousse Vous m’auriez pardonné da

rter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands cris Vos terribles bouches muettes. * Il y a là-bas la merveille. Au prix

rter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands cris Vos terribles bouches muettes. Il y a là-bas la merveille. Au prix d’

ire [Tour Eiffel] salut monde dont je suis la langue éloquente que sa bouche ô Paris tire et tirera toujours aux Allemands U

Si je songe à tes yeux je songe aux sources fraîches Si je pense à ta bouche les roses m’apparaissent Si je songe à tes seins

essé du couchant le troua La résine qui rend amer le vin de Chypre Ma bouche aux agapes d’agneau blanc l’éprouva Sur les gen

nt, sirène. Un jour, le roi, dans l’eau d’argent, Se noya, puis, la bouche ouverte, Il s’en revint en surnageant Sur la rive

ention                     De l’Ordre et de l’Aventure Vous dont la bouche est faite à l’image de celle de Dieu Bouche qui e

C’est un banquet que s’offre la terre Elle a faim et ouvre de longues bouches pâles La terre a faim et voici son festin de Balt

Ce rose là se niche surtout dans les plis qu’entourent souvent leur bouche Ou près des narines C’est un rose plein de traitr

a main Et le langage qu’ils inventaient en chemin Je l’appris de leur bouche et je le parle encore. Le cortège passait et j’y

Ce rose-là se niche surtout dans les plis qui entourent souvent leur bouche , Ou près des narines. C’est un rose plein de tr

ut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient, Et par couples aux belles bouches , Marchaient à distances inégales. Les morts avaie

ut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient, Et par couples aux belles bouches , Marchaient à distances inégales. Les morts avaie

rd des yeux de celle que j’aime tant Les fleurs qui s’écrient hors de bouches Et tout ce que je ne sais pas dire Tout ce que je

ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’une belle métive C’e

ventre J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’une belle métive C’e