ée ; Les pétales flétris sont comme ses paupières. Sur le chemin du
bord
du fleuve, lentement, Un ours, un singe, un chien
lierre, de vigne vierge et de rosiers. Le vent du Rhin secoue, sur le
bord
, les osiers Et les roseaux jaseurs et les fleurs
ouce, le mène et, tranquille, se tait. Et l’amour qui s’en vint aux
bords
océaniques, Où le ciel serait grec si toutes étai
si tu veux bien respirer [montre, remontoir] comme l’on s’amuse bien [
bord
droit de la montre] la beauté de la vie passe la
mme a traversé le désert sans rien boire Et parvient une nuit sur les
bords
de la mer Il a plus soif encore à voir le flot am
voulez-vous maintenant que je la brode ? Son bâton refleurit sur les
bords
du Jourdain ; Et, tous les lys, quand vos soldats
ui voulez-vous qu’à présent je la brode ? Son bâton refleurit sur les
bords
du Jourdain ; Et tous les lys, quand vos soldats,
aient des bohémiennes. Un train passait, les yeux ouverts sur l’autre
bord
… Nous regardions longtemps les villes riveraines.
ui voulez-vous qu’à présent je la brode ? Son bâton refleurit sur les
bords
du Jourdain ; Et tous les lys, quand vos soldats,
roublent l’eau quand tu t’y mires. Tu marches saluant les croix, Du
bord
des routes qui poudroient. Tout rouges de ton san
rs l’estuaire Tous les regards, tous les regards de tous les yeux Les
bords
étaient déserts, herbus, silencieux Et la montagn
ntait gravement se taisant quelquefois Pour que parvînt aussi sur les
bords
de la Seine La plainte d’autres voix limpides et
vières Le vin de ton pays est meilleur que celui Qui pousse sur nos
bords
mais aux pampres du Nord Tous les grains ont mûri