rdement un matin à New York les lucioles et tous les souvenirs O quel
bonheur
que ce bleu ne soit pas mort encore
e surtout [cœur] un cœur plein de tous les printemps [hors motifs] le
bonheur
et le malheur marchent de compagnie/ Ecoutez-moi
en de races qui forlignent Des Tyndarides aux vipères ardentes de mon
bonheur
, Et les serpents ne sont ils que les cous des cyg
banc de pierre Et que par malheur j’eusse été allemand Mais que par
bonheur
j’eusse été près de vous Nous aurions parlé d’amo
sang assouvit, Et l’aube qui va poindre et la fraîcheur des ondes, Le
bonheur
des enfants et l’éternelle vie. Mais nous ne di
en de races qui forlignent Des Tyndarides aux vipères ardentes de mon
bonheur
Et les serpents ne sont-ils que les cous des cygn
en de races qui forlignent Des Tyndarides aux vipères ardentes de mon
bonheur
, Et les serpents ne sont-ils que les cous des cyg
de ta bleusaille Non parce que j’imagine qu’il y aura jamais plus de
bonheur
ou de malheur en ce monde Mais parce que comme to
s’était passé, Mais les vivants en gardaient le souvenir. C’était un
bonheur
inespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient poin
s’était passé, Mais les vivants en gardaient le souvenir. C’était un
bonheur
inespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient poin