ille Jeanne Houhou la très gentille Est morte entre des draps très
blancs
Pas seule Bébert dit l’Anguille Narcisse et Huber
me des anges Elle riait elle riait Les yeux très bleus les dents très
blanches
Si vous saviez si vous saviez Tout ce que nous fe
a aussi Ce cœur Une créole à la Havane Le teint
blanc
Sauvée par Dieu l’amour la damne
Un soir d’Eté Le Rhin Qui coule Un train Qui roule Des nixes
blanches
Sont en prière Dans la bruyère Toutes les fille
Chevaux de frise Pendant le
blanc
et nocturne novembre Alors que les arbres déchiqu
anouissent Les fleurs de l’amour Pendant le
blanc
et nocturne novembre Tandis que chantaient épouva
En troupeau de jolis chevaux pies Qui vont vers toi comme de
blanches
vagues Sur la Méditerrané
s jeunes Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate
blanche
Tu soulèveras le rideau Et maintenant voilà que s
tons Raclent les pelleteries Étincelant diamant Vancouver Où le train
blanc
de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Pari
s jeunes Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate
blanche
Tu soulèveras le rideau Et maintenant voilà que s
tons Raclent les pelleteries Étincelant diamant Vancouver Où le train
blanc
de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Pari
Qu’est sa beauté Les
blancs
y sont Un clair de lune
d’abord la cantilène du brancardier blessé Le sol est
blanc
la nuit l’azure Saigne la crucifixio
acier s’envole aussi Je suis seul sur le chant de bataille Tranchée
blanche
bois vert et roux L’obus miaule Je
-canons Et vous classe 15 Craquements des arrivées ou bien flottaison
blanche
dans les cieux J’étais content pourtant ça brûlai
Boyaux et rumeur du canon Sur cette mer aux
blanches
vagues Fou stoïque comme Zénon
Voie lactée, ô sœur lumineuse »] Voie lactée, ô sœur lumineuse Des
blancs
ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amou
lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps
blancs
des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-nous d’ah
hâteau sans châtelaine, La barque aux barcarols chantants, Sur un lac
blanc
et sous l’haleine Des vents qui tremblent au prin
O Montagnarde Toi qui glisses en ski sur les pontes
blanches
Italie Dont les jeunes gens
sonnages familiers, une mouche sur un morceau de sucre, un bouledogue
blanc
, un oiseau dans une cage une écuyère dans un cirq
al De ta voix Mais ce regret A peine une infirmière plus
blanche
que l’hiver Eblouissant tandis qu’à l’horizon déc
Tous les amoureux qu’un seul lien a liés D’autres liens plus ténus
Blancs
rayons de lumière Cordes et Concorde J’écris se
2e acte de mon drame Grâce à vous deviendront de bons petits français
Blancs
et roses ainsi que vous êtes Madame
N’exprime plus qu’injuste et très vaine fureur Je t’avais crue si
blanche
et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô
ne des prés va fleurir Une petite hutte dans la forêt Là-bas plus
blanche
est la blessure [à gauche, verticalement] On ti
s prés va fleurir Une petite hutte dans la forêt Là-bas plus
blanche
est la blessure [à gauche, verticalement] On ti
Nous n’irons pas à tes sabbats. » Voie lactée, ô sœur lumineuse Des
blancs
ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amou
lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps
blancs
des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-nous d’ah
n petit enfant candide ? Je ne veux jamais l’oublier Ma colombe, ma
blanche
rade, O marguerite exfoliée Mon île au loin, ma D
e moi-même… … L’hiver est mort tout enneigé ; On a brûlé les ruches
blanches
. Dans les jardins et les vergers Les oiseaux chan
Tout le peuple se précipita sur la place publique Il vint des hommes
blancs
des nègres des jaunes et quelques rouges Il vint
s Et s’extasient d’ouïr le plain-chant des cantiques Des petits anges
blancs
dans le ciel entassés. Les trois dames et l’enf
ue me fait ton amour, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins
blancs
comme des petits suisses Fera l’honneur abject de
e me fait ton amour, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins
blancs
comme de petits suisses Fera l’honneur abject des
graves magiciens Incantent le ciel, quand il tonne. Des rangées de
blancs
chérubins Remplacent l’hiver, les sapins Et balan
ui ressemble A ces jeunes marchands barbus Abrités sous leur ombrelle
blanche
Je suis ici le frère des peupliers Reconnaiss
au bord du fleuve sur qui volent Les obscures migrations des oiseaux
blancs
Je me lamenterai faute de ton obole Au passage de
plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux
blancs
: « Mon bateau partira demain pour l’Amérique
journées veuves, Les vendredis sanglants et lents d’enterrements, Des
blancs
et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent,
gne Et que je ne reverrai plus ! Voie lactée, ô sœur lumineuse, Des
blancs
ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amou
actée, ô sœur lumineuse, Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps
blancs
des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-nous d’ah
plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux
blancs
: « Mon bateau partira demain pour l’Amérique
journées veuves, Les vendredis sanglants et lents d’enterrements. Des
blancs
et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent
La Farce du Miroir J’étais indigne un jour dans la chambre au lit
blanc
Où Linda dans la glace admirait sa figure Et j’em
ique, Ton nom est le drapeau des fiers Indépendants Et dans le marbre
blanc
, issu du Pentélique, On sculptera ta face, orguei
ant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si
blanc
. Mais quand reverrons-nous une femme, une chambre
ant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si
blanc
. Mais quand reverrons-nous une femme, une chambre
a résine qui rend amer le vin de Chypre Ma bouche aux agapes d’agneau
blanc
l’éprouva Sur les genoux pointus du monarque ad
lanchi du coup Secteur 59 je ne peux pas dire où Pourquoi donc être
blanc
est-ce mieux qu’être noir Pourquoi ne pas dan
lanchi du coup Secteur 59 je ne peux pas dire où Pourquoi donc être
blanc
est-ce mieux qu’être noir Pourquoi ne pas dan
olie, va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne vêtue de noir et
blanc
. — Puis ils s’en allèrent sur la route, tous le
. J’attends celle qui me tendra ses doigts menus. Combien de signes
blancs
aux ongles ? Les paresses, Les mensonges. Pourtan
es des deux mains. Cité, j’ai ri de tes palais tels que des truffes
Blanches
, au sol fouillé de clairières bleues. Or, mes dés
fade à tes lèvres Mais l’outre en peau de bouc maintient frais le vin
blanc
Par ironie veux-tu qu’on serve un plat de fèves O
e un œil Les puiseurs d’eau barbus coiffés de bandelettes Noires et
blanches
contre les maux et les sorts Revenaient de l’Euph
ison. Je le revis au bord du fleuve sur lequel flottait Ophélie, Qui,
blanche
, flotte encore entre les nénuphars. Il s’en allai
ade à tes lèvres, Mais l’outre en peau de bouc maintient frais le vin
blanc
. Par ironie, veux-tu qu’on serve un plat de fèves
un œil. Les puiseurs d’eau barbus, coiffés de bandelettes Noires et
blanches
contre les maux et les sorts Revenaient de l’Euph
« Et d’effrayer les fantômes avant-coureurs. « J’ai fait des gestes
blancs
parmi les solitudes, « Des lémures couraient peup
u’on a sous la main Dans ce palais souterrain creusé dans la craie si
blanche
et si neuve Et deux marches neuves
es et fait battre mon cœur. Puis, sur terre il venait mille peuplades
blanches
Dont chaque homme tenait une rose à la main Et le
ys qui meurt au Vatican La plaine est infinie et les tranchées sont
blanches
Les avions bourdonnent ainsi que des abeilles Sur
soir leurs feux dans nos deux eaux Dans ces belles maisons nettement
blanches
et noires Sans savoir que tu es la réalité chante
n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de
blanc
Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes ca
n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de
blanc
Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes ca
▲