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1 (1914) L'Anguille « L’Anguille »
ille Jeanne Houhou la très gentille Est morte entre des draps très blancs Pas seule Bébert dit l’Anguille Narcisse et Huber
me des anges Elle riait elle riait Les yeux très bleus les dents très blanches Si vous saviez si vous saviez Tout ce que nous fe
2 (1914) Le Teint « Le Teint »
a aussi            Ce cœur Une créole à la Havane            Le teint blanc Sauvée par Dieu l’amour la damne
3 (1914) Un soir d'Eté « Un soir d’Eté »
Un soir d’Eté Le Rhin Qui coule Un train Qui roule Des nixes blanches Sont en prière Dans la bruyère Toutes les fille
4 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
Chevaux de frise Pendant le blanc et nocturne novembre Alors que les arbres déchiqu
anouissent                         Les fleurs de l’amour Pendant le blanc et nocturne novembre Tandis que chantaient épouva
         En troupeau de jolis chevaux pies Qui vont vers toi comme de blanches vagues                         Sur la Méditerrané
5 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
s jeunes Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche Tu soulèveras le rideau Et maintenant voilà que s
tons Raclent les pelleteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Pari
6 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
s jeunes Turinaises Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche Tu soulèveras le rideau Et maintenant voilà que s
tons Raclent les pelleteries Étincelant diamant Vancouver Où le train blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Pari
7 (1917) Photographie « Photographie »
                        Qu’est sa beauté                          Les blancs y sont                          Un clair de lune
8 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
d’abord la cantilène du brancardier blessé              Le sol est blanc la nuit l’azure              Saigne la crucifixio
acier s’envole aussi Je suis seul sur le chant de bataille Tranchée blanche bois vert et roux L’obus miaule                Je
-canons Et vous classe 15 Craquements des arrivées ou bien flottaison blanche dans les cieux J’étais content pourtant ça brûlai
           Boyaux et rumeur du canon                Sur cette mer aux blanches vagues                Fou stoïque comme Zénon    
9 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
Voie lactée, ô sœur lumineuse »] Voie lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amou
lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-nous d’ah
hâteau sans châtelaine, La barque aux barcarols chantants, Sur un lac blanc et sous l’haleine Des vents qui tremblent au prin
10 (1917) A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») « A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») »
                  O Montagnarde Toi qui glisses en ski sur les pontes blanches                      Italie Dont les jeunes gens
11 (1917) [Calligramme (oiseau)] « [Calligramme (oiseau)] »
sonnages familiers, une mouche sur un morceau de sucre, un bouledogue blanc , un oiseau dans une cage une écuyère dans un cirq
12 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
al              De ta voix Mais ce regret A peine une infirmière plus blanche que l’hiver Eblouissant tandis qu’à l’horizon déc
13 (1913) Liens « Liens »
Tous les amoureux qu’un seul lien a liés D’autres liens plus ténus Blancs rayons de lumière Cordes et Concorde J’écris se
14 (1917) à Yeta Daesslé « à Yeta Daesslé »
2e acte de mon drame Grâce à vous deviendront de bons petits français Blancs et roses ainsi que vous êtes Madame              
15 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
N’exprime plus qu’injuste et très vaine fureur Je t’avais crue si blanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô
16 (1915) Echelon « Echelon »
ne des prés va fleurir     Une petite hutte dans la forêt Là-bas plus blanche est la blessure [à gauche, verticalement] On ti
17 (1915) Echelon « Echelon »
s prés va fleurir          Une petite hutte dans la forêt Là-bas plus blanche est la blessure [à gauche, verticalement] On ti
18 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
Nous n’irons pas à tes sabbats. » Voie lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amou
lactée, ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-nous d’ah
n petit enfant candide ? Je ne veux jamais l’oublier Ma colombe, ma blanche rade, O marguerite exfoliée Mon île au loin, ma D
e moi-même… … L’hiver est mort tout enneigé ; On a brûlé les ruches blanches . Dans les jardins et les vergers Les oiseaux chan
19 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
Tout le peuple se précipita sur la place publique Il vint des hommes blancs des nègres des jaunes et quelques rouges Il vint
20 (1909) La Vierge à la fleur de haricot à Cologne « La Vierge à la fleur de haricot à Cologne »
s Et s’extasient d’ouïr le plain-chant des cantiques Des petits anges blancs dans le ciel entassés. Les trois dames et l’enf
21 (1910) Sonnet « Sonnet »
ue me fait ton amour, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins blancs comme des petits suisses Fera l’honneur abject de
22 (1910) Sonnet « Sonnet »
e me fait ton amour, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins blancs comme de petits suisses Fera l’honneur abject des
23 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
graves magiciens Incantent le ciel, quand il tonne. Des rangées de blancs chérubins Remplacent l’hiver, les sapins Et balan
24 (1913) Ispahan « Ispahan »
ui ressemble A ces jeunes marchands barbus Abrités sous leur ombrelle blanche Je suis ici le frère des peupliers Reconnaiss
25 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
au bord du fleuve sur qui volent Les obscures migrations des oiseaux blancs Je me lamenterai faute de ton obole Au passage de
26 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blancs  : « Mon bateau partira demain pour l’Amérique  
journées veuves, Les vendredis sanglants et lents d’enterrements, Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent,
27 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
gne Et que je ne reverrai plus ! Voie lactée, ô sœur lumineuse, Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amou
actée, ô sœur lumineuse, Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses, Nageurs morts, suivrons-nous d’ah
28 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blancs  : « Mon bateau partira demain pour l’Amérique  
journées veuves, Les vendredis sanglants et lents d’enterrements. Des blancs et de tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent
29 (1914) La Farce du Miroir « La Farce du Miroir »
La Farce du Miroir J’étais indigne un jour dans la chambre au lit blanc Où Linda dans la glace admirait sa figure Et j’em
30 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
ique, Ton nom est le drapeau des fiers Indépendants Et dans le marbre blanc , issu du Pentélique, On sculptera ta face, orguei
31 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
ant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si blanc . Mais quand reverrons-nous une femme, une chambre
32 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
ant que l’obus rapace en miaulant Abat le sapin noir ou le bouleau si blanc . Mais quand reverrons-nous une femme, une chambre
33 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
a résine qui rend amer le vin de Chypre Ma bouche aux agapes d’agneau blanc l’éprouva Sur les genoux pointus du monarque ad
34 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
lanchi du coup Secteur 59 je ne peux pas dire où   Pourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être noir     Pourquoi ne pas dan
35 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
lanchi du coup Secteur 59 je ne peux pas dire où   Pourquoi donc être blanc est-ce mieux qu’être noir     Pourquoi ne pas dan
36 (1902) La Loreley « La Loreley »
olie, va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne vêtue de noir et blanc . — Puis ils s’en allèrent sur la route, tous le
37 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
. J’attends celle qui me tendra ses doigts menus. Combien de signes blancs aux ongles ? Les paresses, Les mensonges. Pourtan
es des deux mains. Cité, j’ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches , au sol fouillé de clairières bleues. Or, mes dés
38 (1911) Le Larron « Le Larron »
fade à tes lèvres Mais l’outre en peau de bouc maintient frais le vin blanc Par ironie veux-tu qu’on serve un plat de fèves O
e un œil Les puiseurs d’eau barbus coiffés de bandelettes Noires et blanches contre les maux et les sorts Revenaient de l’Euph
39 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
ison. Je le revis au bord du fleuve sur lequel flottait Ophélie, Qui, blanche , flotte encore entre les nénuphars. Il s’en allai
40 (1903) Le Larron « Le Larron »
ade à tes lèvres, Mais l’outre en peau de bouc maintient frais le vin blanc . Par ironie, veux-tu qu’on serve un plat de fèves
un œil. Les puiseurs d’eau barbus, coiffés de bandelettes Noires et blanches contre les maux et les sorts Revenaient de l’Euph
41 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
« Et d’effrayer les fantômes avant-coureurs. « J’ai fait des gestes blancs parmi les solitudes, « Des lémures couraient peup
42 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
u’on a sous la main Dans ce palais souterrain creusé dans la craie si blanche et si neuve Et deux marches neuves               
43 (1911) Cortège « Cortège »
es et fait battre mon cœur. Puis, sur terre il venait mille peuplades blanches Dont chaque homme tenait une rose à la main Et le
44 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
ys qui meurt au Vatican La plaine est infinie et les tranchées sont blanches Les avions bourdonnent ainsi que des abeilles Sur
45 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
soir leurs feux dans nos deux eaux Dans ces belles maisons nettement blanches et noires Sans savoir que tu es la réalité chante
46 (1912) Zône « Zône »
n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes ca
47 (1913) Zône « Zône »
n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes ca
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