mbeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est
belle
Mais je n’ai pas le droit de l’aimer Il faut que
tombeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est
belle
Mais je n’ai pas le droit de l’aimer Il faut que
Épigramme (Sur une Poétesse normande) Plus belle que la
belle
Hélène, Elle fait b…er tout Paris, Plus heureuse
ts de prix. Il y resta, s’amusant ferme, Tant qu’un
beau
jour la dame, accouchant avant terme, Mit au mond
nt qu’un beau jour la dame, accouchant avant terme, Mit au monde deux
beaux
jumeaux, dont l’un mourut. L’autre juif aussitôt
Tout habillé de bleu quand il a l’âme noire Au pied d’une potence un
beau
masque prend l’air Comme si de l’amour — ce pendu
ert — Je voulais que brûlât l’horrible main de gloire. Le pendu, le
beau
masque et cet homme altéré Descendent dans l’enfe
-je jamais une chose à mon gré Sinon l’amour, du moins une mort aussi
belle
. Dis-moi, le savais-tu, que mon âme est mortelle
ent leurs fronts Où brillent leurs yeux clairs comme mes éperons Un
bel
après-midi de garde à l’écurie J’entends sonner l
J’admire la gaîté de ce détachement Qui va rejoindre au front notre
beau
régiment Le territorial se mange une salade A l
9 Je selle mon cheval nous battons la campagne Je te salue au loin
belle
rose ô tour Magne Décembre 1914
nt brusquement d’enfants qui n’ont que le temps de mourir Comme c’est
beau
toutes ces fusées Mais ce serait bien plus beau s
de mourir Comme c’est beau toutes ces fusées Mais ce serait bien plus
beau
s’il y en avait plus encore S’il y en avait des m
complet et relatif comme les lettres d’un livre Pourtant c’est aussi
beau
que si la vie même sortait des mourants Mais ce s
ussi beau que si la vie même sortait des mourants Mais ce serait plus
beau
encore s’il y en avait plus encore Cependant je l
eumatique qui n’est ma foi pas désagréable Mais le festin serait plus
beau
encore si le ciel y mangeait avec la terre Il n’a
que ardeur de cette veillée d’armes Et ce serait sans doute bien plus
beau
Si je pouvais supposer que toutes ces choses dans
folles Devant des sites ingénus Où sous les roses qui feuillolent De
beaux
dieux roses dansent nus. Viens, ma tendresse es
ma tendresse est la régente De la floraison qui paraît. La nature est
belle
et touchante, Pan sifflote dans la forêt, Les gre
atière est vide Mets y pour deux sous de tabac mais du fin Il fait si
beau
qu’en leurs bastides Les messieurs de la ville s’
l’on entend Les chants des oliveuses sous les oliviers Le ciel est
beau
il fait tiède et je vais bien Mais je suis si vie
roue cet oiseau Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore plus
beau
, Mais se découvre le derrière.
oue, cet oiseau, Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore plus
beau
, Mais se découvre le derrière.
ntez avec excès En comparant les deux villes. » — « Tout
beau
, répond la dame aux phrases inciviles
ntez avec excès En comparant les deux villes. » — « Tout
beau
, répond la dame aux phrases inciviles
dame Thisbé Se pâme : — Bébé ! Pyrame Courbé L’entame : — Hébé ! La
belle
Dit : « Oui ! » Puis elle Jouit Tout comme Son h
dame Thisbé Se pâme : — Bébé ! Pyrame Courbé L’entame : — Hébé ! La
belle
Dit : « Oui ! » Puis elle Jouit Tout comme Son h
rêves formels sauront te chevaucher. Mon destin au char d’or sera ton
beau
cocher Qui pour brides tiendra, tendus à frénésie
iques. L’air tremble de flammes et de prières Le cimetière est un
beau
jardin Plein de saules gris et de romarins Il vou
vient souvent des amis qu’on enterre Ah ! que vous êtes bien dans le
beau
cimetière Vous, mendiants morts saouls de bière,
s morts saouls de bière, Vous, les aveugles comme le destin Vous, les
beaux
gars morts à la guerre Et vous, petits enfants, m
s, petits enfants, morts en prière. Ah ! que vous êtes bien dans le
beau
cimetière Vous, bourguemestres, vous, bateliers,
aient fidèles Comme sont les petits toutous Et les soldats amants des
belles
Galamment en souvenir d’elles Ainsi que les loups
it Images populaires Que Georgin gravait dans le bois Où sont-ils ces
beaux
militaires Neiges d’antan Où sont les guerres Où
gramme en forme de morceau de sucre Tel un contre-filet Ton
bel
entrefilet Planton, je l’apprécie Et je te
, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’aime une
belle
œuvre d’art, Une noble statue, un magique poème.
tre fière : C’est moi qui l’ai conçue et faite tout entière. Ainsi,
belle
œuvre d’art, nos amours ont été Et seront l’ornem
, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’aime une
belle
œuvre d’art, Une noble statue, un magique poème.
tre fière : C’est moi qui l’ai conçue et faite tout entière. Ainsi,
belle
œuvre d’art, nos amours ont été Et seront l’ornem
he vite et chacun danse à sa manière lorsque la journée est
belle
[à droite, verticalement de droite à gauche] Or
que la fit citer. D’avance il l’absolvit à cause de sa beauté : — O
belle
Loreley, aux yeux pleins de pierreries De quel ma
ez aux flammes cette sorcellerie. — — Je flambe dans ces flammes, ô
belle
Loreley Qu’un autre te condamne, tu m’as ensorcel
issez-moi monter sur ce rocher si haut, Pour voir une fois encore mon
beau
château, Pour me mirer une fois encore dans le
se penche alors et tombe dans le Rhin. Pour avoir vu dans l’eau, la
belle
Loreley, Ses yeux couleur du Rhin, ses cheveux, d
érature Je suis phoque de mon état Et comme il faut qu’on se marie Un
beau
jour j’épouserai Lota Du matin au soir l’Otarie
lles A la fontaine J’ai tant de peine J’ai tant d’amour Dit la plus
belle
Qu’il soit fidèle Et moi je l’aime Dit sa marra
c’est pourquoi suscitant les alarmes J’ai parlé Vous étiez sur votre
beau
cheval Vous représentiez l’ordre et par mont et p
aissent couler leurs cheveux… Passe ! Il faut que tu poursuives Cette
belle
ombre que tu veux. GUILLAUME APOLLINAIRE.
Vulcain mourut en la forgeant. La seconde, nommée Noubosse, Est un
bel
arc-en-ciel joyeux ; Les dieux s’en servent à leu
de rameurs s’y traînent. La cinquième, Sainte-Fabeau, C’est la plus
belle
des quenouilles ; C’est un cyprès sur un tombeau
s pour choisir j’ai douté Ce n’est pas qu’au miroir la dame soit plus
belle
Mais parce qu’elle est rare et j’aime ô rareté Ce
e ouvrage La farce du miroir trompa plus d’un amant Qui crut aimer sa
belle
et n’aima qu’un mirage. Guillaume Apollinaire.
Un rayon traverse un verre presque plein de vin mélangé d’eau Oh ! le
beau
rubis que font du vin rouge et du soleil
Sans dégoût de ce qui est matériel Songeant que les repas sont
beaux
, sont sacrés Qui font vivre les homm
ut [train] où va donc ce train qui meurt au loin dans les vals et les
beaux
bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce
ut [train] où va donc ce train qui meurt au loin dans les vals et les
beaux
bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce
de boriquée… et je la recommande… » Le client, trépignant, répond : «
Belle
demande ! Je m’en fous bigrement, car c’est pour
de boriquée… et je la recommande… » Le client, trépignant, répond : «
Belle
demande ! Je m’en fous bigrement, car c’est pour
te un chapeau rose Comme Hébé que les dieux servait N’en eut jamais ô
belles
choses Carnaval chapeau rose Ave ! A Rome à Nic
dressé par un fous de philosophe les Muses aux portes de ton corps le
bel
inconnu et le vers dantesque luisant et cadavériq
ait la grenade qu’égrène Aux échos des récifs le chœur des matelots
Belles
chairs de cristal, les joyaux les squelettes Cher
Dans ton bel Orient où les lys Se changent en palmiers qui de leurs
belles
mains Me font signe de venir La fusée s’épanouit
des pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales. L’aveugle berce un
bel
enfant ; La biche passe avec ses faons ; Le nain
des pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales L’aveugle berce un
bel
enfant La biche passe avec ses faons Le nain rega
’or On a pendu la mort à la lisière du bois On a pendu la mort Et ses
beaux
seins dorés Se montrent tour à tour O rose toujou
’or On a pendu la mort à la lisière du bois On a pendu la mort Et ses
beaux
seins dorés Se montrent tour à tour O rose toujou
Dont ni perle ni cul n’égale l’Orient Qui donc attendez-vous Mes plus
belles
voisines De rêveuses pensées en marche à l’Orient
ortèrent les viandes Des rôtis de pensées mortes dans mon cerveau Mes
beaux
rêves mort-nés en tranches bien saignantes Et mes
] Le balai de verdure T’en souviens-tu Il est roi dans les pierres Du
beau
royaume dévasté [à droite] Grain de blé Mais la
] Le balai de verdure T’en souviens-tu Il est roi dans les pierres Du
beau
royaume dévasté [à droite] Grain de blé Mais la
ge sans civilité Le raclement aspiré du crachement ferait aussi une
belle
consonne Les divers pets labiaux rendraient aussi
A travers nos mémoires Nous n’aimons pas assez la joie De voir de
belles
choses neuves O mon amie hâte-toi,
s chemins de fer qui circulent Sortiront bientôt de la vie Ils seront
beaux
et ridicules Deux lampes brûlent devant moi Com
des sapins ensongés Aux longues branches langoureuses. Les sapins,
beaux
musiciens, Chantent des noëls anciens Au vent des
« J’ai l’âme jeune en un vieux corps, J’aime me rappeler ce
beau
péché, mon père. » L’abbé de Thélème.
âme Des violes d’amour vibrer le dernier son Et l’heure va venir ô
belles
délicates Ne sera-ce pas l’heure enfin d’avoir so
ombrelle blanche Je suis ici le frère des peupliers Reconnaissez
beaux
peupliers au fils d’Europe O mes frères tremblant
nce Ne nous feront oublier nos promesses. Et un jour, nous aurons une
belle
noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dan
le noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dans vos cheveux, Un
beau
sermon à l’église, De longs discours après le ban
musique, De la musique. — — Nos enfants, dit la fiancée, Seront plus
beaux
, plus beaux encore, Hélas ! la bague était brisée
la musique. — — Nos enfants, dit la fiancée, Seront plus beaux, plus
beaux
encore, Hélas ! la bague était brisée, Que s’ils
et ce fut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient, Et par couples aux
belles
bouches, Marchaient à distances inégales. Les mor
nce Ne nous feront oublier nos promesses. Et un jour, nous aurons une
belle
noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dan
le noce, Des touffes de myrte A nos vêtements et dans vos cheveux. Un
beau
sermon à l’église, De longs discours après le ban
musique, De la musique. ‒ Nos enfants, dit la fiancée, Seront plus
beaux
, plus beaux encore, Hélas ! la bague était brisée
la musique. ‒ Nos enfants, dit la fiancée, Seront plus beaux, plus
beaux
encore, Hélas ! la bague était brisée, Que s’ils
et ce fut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient, Et par couples aux
belles
bouches, Marchaient à distances inégales. Les mor
ynagogue, l’un après l’autre Ils baiseront la thora en soulevant leur
beau
chapeau. Parmi les feuillards de la fête des caba
ntrer dans Ithaque — Couche-toi sur la paille et songe un
beau
remords Qui pur effet de l’art, soit aphro
ntrer dans Ithaque — Couche-toi sur la paille et songe un
beau
remords Qui pur effet de l’art, soit aphro
rs pour rentrer dans Ithaque — Couche-toi sur la paille et songe un
beau
remords Qui par effet de l’art soit aphrodisiaque
* * * O vieux monde du XIX e siècle plein de hautes cheminées si
belles
et si pures * * * Virilités du siècle où nous
glacé Que les quarante de Sébaste Moins que ma vie, martyrisés… Mon
beau
navire, ô ma mémoire, Avons-nous assez navigué Da
vigué Dans une onde mauvaise à boire ? Avons-nous assez divagué De la
belle
aube au triste soir ?… Adieu, faux amour confon
tes Et trois fois courageux devenaient trismégistes Que Paris était
beau
à la fin de septembre Chaque nuit devenait une vi
oir Tu boiras à longs traits tout le sang de l’Europe Parce que tu es
beau
et que seul tu es noble Parce que c’est dans toi
e c’est dans toi que Dieu peut devenir Et tous mes vignerons dans ces
belles
maisons Qui reflètent le soir leurs feux dans nos
maisons Qui reflètent le soir leurs feux dans nos deux eaux Dans ces
belles
maisons nettement blanches et noires Sans savoir
é en ce vin pur Dont Paris avait soif Me fut alors présenté Actions
belles
journées sommeils terribles Végétation accoupleme
enon New-York et les Antilles La fenêtre s’ouvre comme une orange Le
beau
fruit de la lumière Guillaume APOLLINAIRE
ur rentrer dans Ithaque ! — Couche-toi sur la paille & songe un
beau
remords qui, pur effet de l’art, soit aphrodisiaq
épreuve. La bête des fumées a la tête fleurie ; Et le monstre le plus
beau
, Ayant la saveur du laurier, se désole. * * *
uis Le désirable feu qui pour vous se dévoue, Et la girande tourne, ô
belle
, ô belle nuit. Liens déliés par une libre flamm
sirable feu qui pour vous se dévoue, Et la girande tourne, ô belle, ô
belle
nuit. Liens déliés par une libre flamme, ardeur
Issu de l’écume des mers comme Aphrodite Sois docile puisque tu es
beau
naufragé Vois les sages te font des gestes socrat
e isocèle ouvert au mors des chapes Pallas et chantaient l’hymne à la
belle
mais noire Les chevaucheurs nous jetèrent dans
eussent aimé comme on l’aima puisqu’en effet Il était pâle il était
beau
comme un roi ladre Que n’avait-il la voix et les
èrent les viandes : Des rôtis de pensées mortes dans mon cerveau, Mes
beaux
rêves morts-nés en tranches bien saignantes, Et,
aux trauchées glorieuses [obus] j’entends chanter l’oiseau le
bel
oiseau rapace Guillaume Apollinaire.
re du soleil elle était le clairon Les Directeurs les Ouvriers et les
belles
sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soi
améthyste Tourne à jamais la flamboyante gloire du Christ C’est le
beau
lys que malgré tout nous tous nous cultivons C’es
r du Japon Te voici à Amsterdam avec une jeune fille que tu trouves
belle
et qui est laide Elle doit se marier avec un étud
vre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’une
belle
métive C’est Ferdine la fausse ou Léa l’attentive
re du soleil elle était le clairon Les Directeurs les Ouvriers et les
belles
sténodactylographes Du lundi matin au samedi soir
améthyste Tourne à jamais la flamboyante gloire du Christ C’est le
beau
lys que malgré tout nous tous nous cultivons C’es
r du Japon Te voici à Amsterdam avec une jeune fille que tu trouves
belle
et qui est laide Elle doit se marier avec un étud
vre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’une
belle
métive C’est Ferdine la fausse ou Léa l’attentive
pour les sirènes. L’amour est mort, j’en suis tremblant, J’adore de
belles
idoles : Les souvenirs lui ressemblant ; Comme la
on cours vers d’autres nébuleuses ? Regret des jeux de la putain Et
belle
comme une panthère ! Amour, vos baisers florentin
Il y a ton image Elle pousse entre les bouleaux de la Finlande Ce
beau
nègre en acier La plus grande tristesse C’est q
Il y a ton image Elle pousse entre les bouleaux de la Finlande Ce
beau
nègre en acier La plus grande tristesse C’est q
Il y a ton image Elle pousse entre les tombaux de la Finlande Le
beau
nègre en acier La plus grande tristesse C’est q
Issu de l’écume des mers comme Aphrodite, Sois docile, puisque tu es
beau
, naufragé ! Vois, les sages te font des gestes so
isocèle ouvert au mors des chapes, Pallas, et chantaient l’hymne à la
belle
, mais noire. Les chevaucheurs nous jetèrent dan
ssent aimé comme on l’aima, puisqu’en effet Il était pâle, il était
beau
comme un roi ladre. Que n’avait-il la voix et les
s doigts endoloris. Triste et silencieux délire, J’erre à travers mon
beau
Paris Sans avoir le cœur d’y mourir. Les dimanc
D’une adorable rousse Ses cheveux sont d’or on dirait Un
bel
éclair qui durerait Ou ces flammes qui se pavanen
gneur que t’ai-je fait ? Vois, je suis unicorne. Pourtant, malgré son
bel
effroi concupiscent, Comme un poupon chéri, mon s
du vieil ange qui n’est point venu De vol très indolent me tendre un
beau
calice. J’ai ri de l’aile grise et j’ôte mon cili
mémoire venir et m’aimer, ma semblable, « Et quel fils malheureux et
beau
je veux avoir ? » Son geste fit crouler l’orgue
Amine Et toi Mia et toi Simone et toi Mavise Et toi Colette et toi la
belle
Geneviève Elles ont passé tremblantes et vaines E
pattes après avoir fait leurs besoins Notre armée invisible est une
belle
nuit constellée Et chacun de nos hommes est un as