des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui
battent
comme les fleurs battent au vent dément. Le gardi
filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs
battent
au vent dément. Le gardien du troupeau chantonne
me des mères, Filles de leurs filles, et sont comme tes paupières Qui
battent
, comme les fleurs battent au vent dément. Le gard
urs filles, et sont comme tes paupières Qui battent, comme les fleurs
battent
au vent dément. Le gardien du troupeau chantonne
vous êtes triste, En robe de comtesse, à côté du Dauphin ? Mon cœur
battait
, battait très fort à sa parole, Quand je dansais
triste, En robe de comtesse, à côté du Dauphin ? Mon cœur battait,
battait
très fort à sa parole, Quand je dansais dans le f
vous êtes triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur
battait
, battait très fort à sa parole, Quand je dansais
s triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait,
battait
très fort à sa parole, Quand je dansais dans le f
vous êtes triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur
battait
, battait très fort à sa parole, Quand je dansais
s triste, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœur battait,
battait
très fort à sa parole, Quand je dansais dans le f
Des poulpes grouillent partout où se tiennent les murailles Entendez
battre
leur triple cœur et leur bec cogner aux vitres
uets et de singes. » Les mannequins, pour lui, s’étant déshabillés,
Battirent
leurs habits, puis les lui essayèrent. Le vêtemen
out noirs, vaincus des cieux qui pleuvent, Quand la femme du diable a
battu
son amant. Puis, dans un port d’automne aux feu
uets et de singes. » Les mannequins, pour lui, s’étant déshabillés,
Battirent
leurs habits, puis les lui essayèrent. Le vêtemen
tout noirs, vaincus des cieux qui pleuvent Quand la femme du diable a
battu
son amant. Puis, dans un port d’automne aux feu
e bœuf Je me promène seul le soir de 5 à 9 Je selle mon cheval nous
battons
la campagne Je te salue au loin belle rose ô tour
tes, tiriez aux mers la langue En dansant devant leurs chevaux, Puis,
battiez
de vos ailes d’anges, Et, j’écoutai ces cœurs riv
es, tiriez aux mers la langue En dansant devant leurs chevaux ; Puis,
battiez
de vos ailes d’anges, Et j’écoutai ces chœurs riv
gs discours Nobles et joyeux Je revois mon père qui se
battit
Contre les Achantis au service des Anglais Ca
gs discours Nobles et joyeux Je revois mon père qui se
battit
Contre les Achantis au service des Anglais Ca
ec les clartés de ses profondeurs Coulait, sang de mes veines et fait
battre
mon cœur. Puis, sur terre il venait mille peuplad
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