ieu ! que la guerre est jolie Avec ses chants ses longs loisirs Cette
bague
je l’ai polie Le vent se mêle à vos soupirs Adi
e aluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au soir d’invraisemblables
bagues
As-tu connu Guy au galop
e C’était un temps béni La guerre continue Les Servants ont limé la
bague
au long des mois Le Conducteur écoute abrité dans
paysan chantonne Une chanson d’amour et d’infidélité Qui parle d’une
bague
et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’automne, l’
On n’a pas toujours du pinard, Corniflot, tacot, cric ou gnolle ; Les
bagues
, c’est bien en retard ; Lettres aux marraines, c’
alluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au soir d’invraisemblables
bagues
As-tu connu Guy au galop
e aluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au soir d’invraisemblables
bagues
As-tu connu Guy au galop
oire comme ses ongles C’est complètement impossible Voici monsieur La
bague
en malachite Le sol est semé de sciure Alors c’es
lus anciens monuments Poétiques De l’humanité. L’étudiant passa une
bague
A l’annulaire de la jeune morte : — Voici le gage
nts, dit la fiancée, Seront plus beaux, plus beaux encore, Hélas ! la
bague
était brisée, Que s’ils étaient d’argent ou d’or,
Que vos regards mon fiancé, Auront meilleure odeur encore, Hélas ! la
bague
était brisée, Que le lilas qui vient d’éclore, Qu
lus anciens monuments Poétiques De l’humanité. L’étudiant passa une
bague
A l’annulaire de la jeune morte : Voici le gage d
nts, dit la fiancée, Seront plus beaux, plus beaux encore, Hélas ! la
bague
était brisée, Que s’ils étaient d’argent ou d’or,
Que vos regards mon fiancé, Auront meilleure odeur encore, Hélas ! la
bague
était brisée, Que le lilas qui vient d’éclore, Qu
Rosalie le canon la fusée l’hélice la pelle les chevaux Chantons les
bagues
pâles les casques Chantons ceux q