/ 13
1 (1914) « Tè »
rté d’amour de la femme — Fumer comme un condamné à mort — Le cyclope aveugle à qui on a crevé son œil dit Je suis borgne
2 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
endu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales. L’ aveugle berce un bel enfant ; La biche passe avec ses fao
3 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
tendu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales L’ aveugle berce un bel enfant La biche passe avec ses faons
4 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
ées plâtrées maquillées aux gestes étranges Il vint des estropiés des aveugles des culs de jatte des manchots des boiteux Il vin
5 (1917) La Victoire « La Victoire »
nt à de pauvres marins Ailés et tournoyants comme Icare le faux Des aveugles gesticulant comme des fourmis Se miraient sous la
d les gens stupides et tranquilles          A l’Institut des jeunes aveugles on a demandé N’avez-vous point ici de jeune aveug
titut des jeunes aveugles on a demandé N’avez-vous point ici de jeune aveugle ailé O Bouches l’homme est à la recherche d’un
6 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
ns le beau cimetière Vous, mendiants morts saouls de bière, Vous, les aveugles comme le destin Vous, les beaux gars morts à la g
7 (1913) Arbre « Arbre »
ntes avec les autres tandis que les phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie
8 (1916) Arbre « Arbre »
ntes avec les autres tandis que les phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie
9 (1917) Arbre « Arbre »
ntes avec les autres tandis que les phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie
10 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
— « Gertrude et son voisin Martin enfin s’épousent. » Le rossignol aveugle essaya de chanter Mais l’effraie ululant il tremb
11 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ais, Avec l’argent gagné dans les prairies lyriques, Guider mon ombre aveugle en ces rues que j’aimais ; Car revenir, c’est b
12 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ais. Avec l’argent gagné dans les prairies lyriques, Guider mon ombre aveugle en ces rues que j’aimais ; Car revenir, c’est b
13 (1911) Cortège « Cortège »
es vaisseaux des armateurs, la plume de mes confrères, La monnaie des aveugles , les mains des muets, Ou bien encore, à cause du
/ 13