rté d’amour de la femme — Fumer comme un condamné à mort — Le cyclope
aveugle
à qui on a crevé son œil dit Je suis borgne
endu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales. L’
aveugle
berce un bel enfant ; La biche passe avec ses fao
tendu, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales L’
aveugle
berce un bel enfant La biche passe avec ses faons
ées plâtrées maquillées aux gestes étranges Il vint des estropiés des
aveugles
des culs de jatte des manchots des boiteux Il vin
nt à de pauvres marins Ailés et tournoyants comme Icare le faux Des
aveugles
gesticulant comme des fourmis Se miraient sous la
d les gens stupides et tranquilles A l’Institut des jeunes
aveugles
on a demandé N’avez-vous point ici de jeune aveug
titut des jeunes aveugles on a demandé N’avez-vous point ici de jeune
aveugle
ailé O Bouches l’homme est à la recherche d’un
ns le beau cimetière Vous, mendiants morts saouls de bière, Vous, les
aveugles
comme le destin Vous, les beaux gars morts à la g
ntes avec les autres tandis que les phonographes galopent Où sont les
aveugles
où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie
ntes avec les autres tandis que les phonographes galopent Où sont les
aveugles
où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie
ntes avec les autres tandis que les phonographes galopent Où sont les
aveugles
où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie
— « Gertrude et son voisin Martin enfin s’épousent. » Le rossignol
aveugle
essaya de chanter Mais l’effraie ululant il tremb
ais, Avec l’argent gagné dans les prairies lyriques, Guider mon ombre
aveugle
en ces rues que j’aimais ; Car revenir, c’est b
ais. Avec l’argent gagné dans les prairies lyriques, Guider mon ombre
aveugle
en ces rues que j’aimais ; Car revenir, c’est b
es vaisseaux des armateurs, la plume de mes confrères, La monnaie des
aveugles
, les mains des muets, Ou bien encore, à cause du