Automne
Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
n vont un paysan cagneux Et son bœuf, lentement, dans le brouillard d’
automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux. En
nfidélité Qui parle d’une bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’
automne
, l’automne a fait mourir l’été. Dans le brouillar
ui parle d’une bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’automne, l’
automne
a fait mourir l’été. Dans le brouillard s’en vont
Stances (Signe de l’
Automne
) Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne
Stances (Signe de l’Automne) Je suis soumis au Chef du Signe de l’
Automne
, Partant, j’aime les fruits, je déteste les fleur
sers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon
Automne
éternel, ô ma Saison mentale, Les mains des Amant
Le Signe de l’
Automne
Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne,
Le Signe de l’Automne Je suis soumis au Chef du Signe de l’
Automne
, Partant, j’aime les fruits, je déteste les fleur
sers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon
Automne
éternelle, ô ma saison mentale, Les mains des ama
Les Colchiques Le pré est vénéneux mais joli en
automne
. Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent.
ux sont comme cette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet
automne
Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne.
nt les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’
automne
. Neu Glück, 1902.
Les Colchiques Le pré est vénéneux mais joli en
automne
. Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent.
ux sont comme cette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet
automne
, Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne.
t, les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’
automne
. Neu Glück, Septembre 1901.
L’Adieu J’ai cueilli ce brin de bruyère L’
automne
est morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus
urmure-t-elle Du jour où j’ai franchi ton seuil Il y tomba comme un
automne
La boucle de ton souvenir Et notre destin qui t’é
s En pensant aussi au café qu’on prendrait Dans une demi-heure Et l’
automne
eût été pareil à cet automne Que l’épine-vinette
’on prendrait Dans une demi-heure Et l’automne eût été pareil à cet
automne
Que l’épine-vinette et les pampres couronnent E
arfois voudraient bien revenir. Oh ! je ne veux pas que tu sortes L’
automne
est plein de mains coupées Non, non, ce sont des
la madone Dont on doute si elle eut la peau Couleur des châtaignes d’
automne
… Honnef , novembre 1901.
s’en iront tes cheveux Et tes mains feuilles de l’
automne
Que jonchent aussi nos aveux
pins, beaux musiciens, Chantent des noëls anciens Au vent des soirs d’
automne
Ou bien graves magiciens Incantent le ciel, quand
e où s’en iront tes cheveux Et tes mains, feuilles de l’
automne
Que jonchent aussi nos aveux ?
onsieur Bichon Les râles des mourants Mourant dans leurs maisons En
automne
avec les feuilles immences du silence
des hommes Feront gémir un Léviathan au fond du Rhin comme une voix d’
automne
Et dans la synagogue pleine de chapeaux, on agite
e Et notre amour saignait comme les groseillers Puis étoilant ce pâle
automne
d’Allemagne, La nuit, pleurant des lueurs, mourai
t, Quand la femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port d’
automne
aux feuilles indécises, Quand les mains de la fou
nt Quand la femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port d’
automne
aux feuilles indécises, Quand les mains de la fou
Je l’adore comme un Parsi Ce tout petit soleil d’
automne
Un fantassin presque un enfant
croire ! Et toi, qui me suis en rampant, Dieu de mes dieux morts en
automne
, Tu mesures combien d’empans J’ai droit que la te
le langage de la Chaldée Les autans langoureux dehors feignaient l’
automne
Les convives c’étaient tant de couples d’amants Q
le langage de la Chaldée. Les autans langoureux dehors feignaient l’
automne
, Les convives c’étaient tant de couples d’amants
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