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1 (1905) Automne « Automne »
Automne Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
n vont un paysan cagneux Et son bœuf, lentement, dans le brouillard d’ automne Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux. En
nfidélité Qui parle d’une bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’ automne , l’automne a fait mourir l’été. Dans le brouillar
ui parle d’une bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’automne, l’ automne a fait mourir l’été. Dans le brouillard s’en vont
2 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
Stances (Signe de l’ Automne ) Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne
Stances (Signe de l’Automne) Je suis soumis au Chef du Signe de l’ Automne , Partant, j’aime les fruits, je déteste les fleur
sers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternel, ô ma Saison mentale, Les mains des Amant
3 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
Le Signe de l’ Automne Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne,
Le Signe de l’Automne Je suis soumis au Chef du Signe de l’ Automne , Partant, j’aime les fruits, je déteste les fleur
sers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternelle, ô ma saison mentale, Les mains des ama
4 (1902) Les Colchiques « Les Colchiques »
Les Colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne . Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent.
ux sont comme cette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne.
nt les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’ automne . Neu Glück, 1902.
5 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
Les Colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne . Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent.
ux sont comme cette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne , Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne.
t, les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’ automne . Neu Glück, Septembre 1901.
6 (1911) L'Adieu « L’Adieu »
L’Adieu J’ai cueilli ce brin de bruyère L’ automne est morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus
7 (1916) La Boucle retrouvée « La Boucle retrouvée »
urmure-t-elle Du jour où j’ai franchi ton seuil Il y tomba comme un automne La boucle de ton souvenir Et notre destin qui t’é
8 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
s En pensant aussi au café qu’on prendrait Dans une demi-heure Et l’ automne eût été pareil à cet automne Que l’épine-vinette
’on prendrait Dans une demi-heure Et l’automne eût été pareil à cet automne Que l’épine-vinette et les pampres couronnent E
9 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
arfois voudraient bien revenir. Oh ! je ne veux pas que tu sortes L’ automne est plein de mains coupées Non, non, ce sont des
la madone Dont on doute si elle eut la peau Couleur des châtaignes d’ automne … Honnef , novembre 1901.
10 (1911) Marie « Marie »
s’en iront tes cheveux                    Et tes mains feuilles de l’ automne                    Que jonchent aussi nos aveux
11 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
pins, beaux musiciens, Chantent des noëls anciens Au vent des soirs d’ automne Ou bien graves magiciens Incantent le ciel, quand
12 (1912) Marie « Marie »
e où s’en iront tes cheveux               Et tes mains, feuilles de l’ automne               Que jonchent aussi nos aveux ?   
13 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
onsieur Bichon Les râles des mourants Mourant dans leurs maisons En automne avec les feuilles immences du silence          
14 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
des hommes Feront gémir un Léviathan au fond du Rhin comme une voix d’ automne Et dans la synagogue pleine de chapeaux, on agite
15 (1909) Élégie « Élégie »
e Et notre amour saignait comme les groseillers Puis étoilant ce pâle automne d’Allemagne, La nuit, pleurant des lueurs, mourai
16 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
t, Quand la femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port d’ automne aux feuilles indécises, Quand les mains de la fou
17 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
nt Quand la femme du diable a battu son amant. Puis, dans un port d’ automne aux feuilles indécises, Quand les mains de la fou
18 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
      Je l’adore comme un Parsi                Ce tout petit soleil d’ automne                Un fantassin presque un enfant  
19 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
croire ! Et toi, qui me suis en rampant, Dieu de mes dieux morts en automne , Tu mesures combien d’empans J’ai droit que la te
20 (1911) Le Larron « Le Larron »
le langage de la Chaldée Les autans langoureux dehors feignaient l’ automne Les convives c’étaient tant de couples d’amants Q
21 (1903) Le Larron « Le Larron »
le langage de la Chaldée. Les autans langoureux dehors feignaient l’ automne , Les convives c’étaient tant de couples d’amants
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