soir Mais la maison nous attend Avec la bonne soupe qui fume Et dès l’
aube
demain Le dur labeur Nous reprendra Hélas B
uette, Te promener au bois joli. Les poules dans la cour caquètent, L’
aube
au ciel fait de roses plis, L’amour chemine à ta
amours fécondes, La douceur des yeux bleus que le sang assouvit, Et l’
aube
qui va poindre et la fraîcheur des ondes, Le bonh
onneur d’obéir, ni le son du canon, Ni le passé, car les clartés de l’
aube
neuve Ne feront plus vibrer la statue de Memnon.
elui Qui luit Partout ailleurs Et tes musiques qui s’accordent avec l’
aube
Sont désormais pour moi La mesure de l’art D’aprè
ai que ma douleur pour émouvoir Caron Et vivant je mendie de chaque
aube
à la brune Et je cesse ma plainte quand le jour s
Dans une onde mauvaise à boire ? Avons-nous assez divagué De la belle
aube
au triste soir ?… Adieu, faux amour confondu Av
s d’autres nébuleuses ? Je me souviens d’une autre année, C’était l’
aube
d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée
t pâle L’ombre agile d’un soir d’été qui meurt Immense désir et l’
aube
émerge des eaux si lumineuses Je vis nos yeux d
ux. Gonfle-toi vers la nuit, ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’
aube
ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de j
ux. Gonfle-toi vers la nuit, ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’
aube
ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de j
u temps de notre jeunesse, Fumant tous deux et mal vêtus, attendant l’
aube
, Épris, épris des mêmes paroles dont il faudra ch
avec un râle inattendu. Et je marche, je fuis. O jour, l’émoi de l’
aube
Ferma le regard fixe et doux de vieux rubis Des h
bleues, Que secoue le cyprès où niche l’oiseau bleu. Une Madone, à l’
aube
, a pris les églantines ; Elle viendra, demain, cu
uetés par les ivres oiseaux De ma gloire attendaient la vendange de l’
aube
Un soir passant le long des quais déserts et so