/ 13
1 (1914) La Chaste Lise « La Chaste Lise »
soir Mais la maison nous attend Avec la bonne soupe qui fume Et dès l’ aube demain Le dur labeur Nous reprendra       Hélas B
2 (1909) Aubade chantée à Lætare un an passé « Aubade chantée à Lætare un an passé »
uette, Te promener au bois joli. Les poules dans la cour caquètent, L’ aube au ciel fait de roses plis, L’amour chemine à ta
3 (1903) Avenir « Avenir »
amours fécondes, La douceur des yeux bleus que le sang assouvit, Et l’ aube qui va poindre et la fraîcheur des ondes, Le bonh
onneur d’obéir, ni le son du canon, Ni le passé, car les clartés de l’ aube neuve Ne feront plus vibrer la statue de Memnon.
4 (1913) Ispahan « Ispahan »
elui Qui luit Partout ailleurs Et tes musiques qui s’accordent avec l’ aube Sont désormais pour moi La mesure de l’art D’aprè
5 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
ai que ma douleur pour émouvoir Caron Et vivant je mendie de chaque aube à la brune Et je cesse ma plainte quand le jour s
6 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
Dans une onde mauvaise à boire ? Avons-nous assez divagué De la belle aube au triste soir ?… Adieu, faux amour confondu Av
s d’autres nébuleuses ? Je me souviens d’une autre année, C’était l’ aube d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée
7 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
t pâle L’ombre agile   d’un soir d’été qui meurt Immense désir   et l’ aube émerge des eaux si lumineuses Je vis nos yeux   d
8 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ux. Gonfle-toi vers la nuit, ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’ aube ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de j
9 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ux. Gonfle-toi vers la nuit, ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’ aube ont guetté, de loin, avidement, Des cadavres de j
10 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
u temps de notre jeunesse, Fumant tous deux et mal vêtus, attendant l’ aube , Épris, épris des mêmes paroles dont il faudra ch
11 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
avec un râle inattendu. Et je marche, je fuis. O jour, l’émoi de l’ aube Ferma le regard fixe et doux de vieux rubis Des h
12 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
bleues, Que secoue le cyprès où niche l’oiseau bleu. Une Madone, à l’ aube , a pris les églantines ; Elle viendra, demain, cu
13 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
uetés par les ivres oiseaux De ma gloire attendaient la vendange de l’ aube Un soir passant le long des quais déserts et so
/ 13