s sur le château enchanté Nous sommes las ce soir Mais la maison nous
attend
Avec la bonne soupe qui fume Et dès l’aube demain
iens de votre voix de votre voix Votre petite Fée Photographie tant
attendue
[bombe et canons croisés] Far tiz rose
iens de votre voix de votre voix Votre petite Fée Photographie tant
attendue
[bombe et canons croisés] Far tiz rose
s pleurâmes ; c’était quand nous venions de naître Et les yeux secs j’
attends
. Si Thanatos m’aimait ! Puisque tu veux nier la
e et drape l’oripeau. Va. L’histrion tire la langue aux attentives. J’
attends
que passe Thanatos et son troupeau. [Guillaume A
Avenir Soulevons la paille Regardons la neige Ecrivons des lettres
Attendons
des ordres Fumons la pipe En songeant à l’amour
il en a exprimé la vie par le moyen de quelques ombres humaines il n’
attend
pas que le temps donne de l’originalité à ses sen
tes Enfin lasses qui gardaient les princesses légendaires Et rêvant j’
attendais
le bac rectangulaire Des gens descendant venaie
Elle te le murmure de loin Tandis que les yeux fixés sur la montre j’
attends
la minute prescrite pour l’assaut Mars 1916 G
guit les Pisanes penchées Comme leur Tour et par la mort effarouchées
Attendent
cependant l’amour qui va venir.
imiez, oubliez-moi ! Laissez-moi seule, triste et noire, dans la gare
Attendre
, les yeux secs, l’heure de mon départ, Puisque, v
s ciels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux. Nous
attendons
ton bon plaisir, ô mon amie, J’ose à peine regard
ci mais là-bas les obus Epousent ardemment et sans cesse les buts J’
attends
que le printemps commande que s’en aille Vers le
int qu’il deviendra un jour l’unique lumière. Un jour, Un jour je m’
attendais
moi-même, Je me disais, Guillaume, il est temps q
ux-là pour me croire le droit De ressusciter les autres. Un jour je m’
attendais
moi-même. Je me disais, Guillaume, il est temps q
s au cul de perle fine Dont ni perle ni cul n’égale l’Orient Qui donc
attendez
-vous Mes plus belles voisines De rêveuses pensées
Soleil c’est le temps de la Raison ardente Et j’
attends
Pour la suivre toujours la forme noble et douce Q
eux chien de lui se souvint ; Près d’un tapis de haute lisse Sa femme
attendait
qu’il revînt. L’époux royal de Sacontale, Las d
des doigts. Seigneur, faites, Seigneur, qu’un jour je m’énamoure. J’
attends
celle qui me tendra ses doigts menus. Combien de
de signes blancs aux ongles ? Les paresses, Les mensonges. Pourtant j’
attends
qu’elle les dresse Ses mains enamourées devant mo
es ciels mobiles L’avenir masqué flambe en traversant les cieux. Nous
attendons
ton bon plaisir, ô mon amie. J’ose à peine regard
iels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux ‒ Nous
attendons
ton bon plaisir, ô mon amie. ‒ J’ose à peine re
udiant, Agenouillé à ses pieds, Lui parler de fiançailles : — Je vous
attendrai
Dix ans, vingt ans, s’il le faut. Votre volonté s
s, vingt ans, s’il le faut. Votre volonté sera la mienne. — — Je vous
attendrai
Toute votre vie… Répondait la morte. Des enfants
tudiant Agenouillé à ses pieds, Lui parler de fiançailles : ‒ Je vous
attendrai
Dix ans, vingt ans s’il le faut. Votre volonté se
ans, vingt ans s’il le faut. Votre volonté sera la mienne. ‒ Je vous
attendrai
Toute votre vie… Répondait la morte. Des enfants
Rome « Il marchera tout seul en regardant le ciel. « La dame qui m’
attend
se nomme Viviane « Et vienne le printemps des nou
ntrai les saltimbanques La foule les entourait muette et résignée à
attendre
Je me fis une place dans ce cercle afin de tout v
nt des fusées détonateurs joyaux dorés à tête émaillée Funambules qui
attendent
leur tour de passer sur les trajectoires Et font
rai les saltimbanques. La foule les entourait, muette et résignée à
attendre
. Je me fis une place dans ce cercle afin de tout
glants, Faisaient pleurer nos fées marraines. Mais, en vérité, je t’
attends
Avec mon cœur, avec mon âme, Et sur le pont des R
ts mûrs Mais ce n’est pas l’exil que je viens simuler Et sachez que j’
attends
de moyennes tortures Injustes si je rends tout ce
s mûrs, Mais ce n’est pas l’exil que je viens simuler Et sachez que j’
attends
de moyennes tortures, Injustes si je rends tout c
e et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres oiseaux De ma gloire
attendaient
la vendange de l’aube Un soir passant le long d