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1 (1911) L'Adieu « L’Adieu »
s sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t’ attends
2 (1903) L'Adieu « L'Adieu »
rre. » — « J’ai mis sur mon cœur la bruyère, Et souviens-toi que je t’ attends . »
3 (1914) La Chaste Lise « La Chaste Lise »
s sur le château enchanté Nous sommes las ce soir Mais la maison nous attend Avec la bonne soupe qui fume Et dès l’aube demain
4 (1915) Madeleine « Madeleine »
iens de votre voix de votre voix Votre petite Fée   Photographie tant attendue   [bombe et canons croisés] Far tiz rose
5 (1915) Madeleine « Madeleine »
iens de votre voix de votre voix Votre petite Fée   Photographie tant attendue   [bombe et canons croisés] Far tiz rose
6 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
s pleurâmes ; c’était quand nous venions de naître Et les yeux secs j’ attends . Si Thanatos m’aimait ! Puisque tu veux nier la
e et drape l’oripeau. Va. L’histrion tire la langue aux attentives. J’ attends que passe Thanatos et son troupeau. [Guillaume A
7 (1916) L'Avenir « L’Avenir »
Avenir Soulevons la paille Regardons la neige Ecrivons des lettres Attendons des ordres Fumons la pipe En songeant à l’amour
8 (1917) [Calligramme (lunettes)] « [Calligramme (lunettes)] »
il en a exprimé la vie par le moyen de quelques ombres humaines il n’ attend pas que le temps donne de l’originalité à ses sen
9 (1913) Rolandseck « Rolandseck »
tes Enfin lasses qui gardaient les princesses légendaires Et rêvant j’ attendais le bac rectangulaire Des gens descendant venaie
10 (1917) Chef de section « Chef de section »
Elle te le murmure de loin Tandis que les yeux fixés sur la montre j’ attends la minute prescrite pour l’assaut Mars 1916 G
11 (1914) Tour de Pise « Tour de Pise »
guit les Pisanes penchées Comme leur Tour et par la mort effarouchées Attendent cependant l’amour qui va venir.
12 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
imiez, oubliez-moi ! Laissez-moi seule, triste et noire, dans la gare Attendre , les yeux secs, l’heure de mon départ, Puisque, v
13 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
s ciels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie, J’ose à peine regard
14 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
ci mais là-bas les obus Epousent ardemment et sans cesse les buts J’ attends que le printemps commande que s’en aille Vers le
15 (1911) Cortège « Cortège »
int qu’il deviendra un jour l’unique lumière. Un jour, Un jour je m’ attendais moi-même, Je me disais, Guillaume, il est temps q
ux-là pour me croire le droit De ressusciter les autres. Un jour je m’ attendais moi-même. Je me disais, Guillaume, il est temps q
16 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
s au cul de perle fine Dont ni perle ni cul n’égale l’Orient Qui donc attendez -vous Mes plus belles voisines De rêveuses pensées
17 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
Gaîté Un matin doux de verduresse                    Les matelots l’ attendent                    Et fixent l’horizon           
18 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
de la Gaîté Un matin doux de verduresse              Les matelots l’ attendent              Et fixent l’horizon              Où
19 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
Soleil c’est le temps de la Raison ardente                      Et j’ attends Pour la suivre toujours la forme noble et douce Q
20 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
eux chien de lui se souvint ; Près d’un tapis de haute lisse Sa femme attendait qu’il revînt. L’époux royal de Sacontale, Las d
21 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
des doigts. Seigneur, faites, Seigneur, qu’un jour je m’énamoure. J’ attends celle qui me tendra ses doigts menus. Combien de
de signes blancs aux ongles ? Les paresses, Les mensonges. Pourtant j’ attends qu’elle les dresse Ses mains enamourées devant mo
22 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
es ciels mobiles L’avenir masqué flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. J’ose à peine regard
23 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
es                Petites forêts de sapins                La nichée attend la becquée                Pointe-t-il des nez de
24 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
iels mobiles, L’avenir masqué flambe en traversant les cieux ‒ Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie. ‒ J’ose à peine re
25 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
udiant, Agenouillé à ses pieds, Lui parler de fiançailles : — Je vous attendrai Dix ans, vingt ans, s’il le faut. Votre volonté s
s, vingt ans, s’il le faut. Votre volonté sera la mienne. — — Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte. Des enfants
26 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
tudiant Agenouillé à ses pieds, Lui parler de fiançailles : ‒ Je vous attendrai Dix ans, vingt ans s’il le faut. Votre volonté se
ans, vingt ans s’il le faut. Votre volonté sera la mienne. ‒ Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte. Des enfants
27 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
Rome « Il marchera tout seul en regardant le ciel. « La dame qui m’ attend se nomme Viviane « Et vienne le printemps des nou
28 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ntrai les saltimbanques La foule les entourait muette et résignée à attendre Je me fis une place dans ce cercle afin de tout v
29 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
nt des fusées détonateurs joyaux dorés à tête émaillée Funambules qui attendent leur tour de passer sur les trajectoires Et font
30 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
rai les saltimbanques. La foule les entourait, muette et résignée à attendre . Je me fis une place dans ce cercle afin de tout
31 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
glants, Faisaient pleurer nos fées marraines. Mais, en vérité, je t’ attends Avec mon cœur, avec mon âme, Et sur le pont des R
32 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
t nous ITALIE Il y a des patelins pleins de femmes Et près de toi m’ attend celle que j’adore                              
33 (1911) Le Larron « Le Larron »
ts mûrs Mais ce n’est pas l’exil que je viens simuler Et sachez que j’ attends de moyennes tortures Injustes si je rends tout ce
34 (1903) Le Larron « Le Larron »
s mûrs, Mais ce n’est pas l’exil que je viens simuler Et sachez que j’ attends de moyennes tortures, Injustes si je rends tout c
35 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
e et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres oiseaux De ma gloire attendaient la vendange de l’aube Un soir passant le long d
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