des déments, Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands. Les
astres
assez bien figurent les abeilles De ce miel lumin
ante les tours que l’on va faire. Le ciel sans teinte est constellé D’
astres
pâles comme du lait. Sur les tréteaux l’Arlequi
Vante les tours que l’on va faire Le Ciel sans teinte est constellé D’
astres
pâles comme du lait Sur les tréteaux l’Arlequin
urs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les
astres
qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes,
fatal Aux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les pioches. Comme un
astre
éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté t
ux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les pioches. * * * Comme un
astre
éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté t
l Aux créneaux aux créneaux laissez-là les pioches * * * Comme un
astre
éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté t
ute la vie. Là-haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les
astres
dont se nourrit le vide. Et voici le spectacle
mps du waguemestre On est bien plus serré que dans les autobus Et des
astres
passaient que singeaient les obus Quand dans la n
mps du vaguemestre On est bien plus serré que dans les autobus Et des
astres
passaient que singeaient les obus Quand dans la n
« Aux créneaux, aux créneaux ! Laissez-là les pioches ! » Comme un
astre
éperdu qui cherche ses saisons, Cœur obus éclaté
temps du vaguemestre On était plus serrés que dans les autobus Et des
astres
passaient que singeaient les obus Quand dans la n
urs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les
astres
qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes.
ute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les
astres
dont se nourrit le vide. Et voici le spectacle
urs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les
astres
qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes.
ute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les
astres
dont se nourrit le vide. Et voici le spectacle
pas moins fort que le mien Je ne chante pas ce monde ni les autres
astres
Je chante toutes les possibilités de moi-même hor
Je chante toutes les possibilités de moi-même hors de ce monde et des
astres
Je chante la joie d’errer et le plaisir d’en mour
vigne où les pampres Répandaient leur clarté sur la ville et là-haut
Astres
mûrs becquetés par les ivres oiseaux De ma gloire
l vers le brûlant soleil Les suivirent dans l’onde où s’enfoncent les
astres
Lorsque la nuit revint couverte d’yeux ouverts Er
ntenait les mers les animaux les plantes Les cités les destins et les
astres
qui chantent Les hommes à genoux sur la rive du c
e d’existence, Criant : « Depuis cent ans j’espérais ton appel. « Les
astres
de ta vie influaient sur ma danse ; « Morgane reg
oignerai, m’illuminant au milieu d’ombres Et d’alignements d’yeux des
astres
bien-aimés. Oiseau tranquille, au vol inverse,
âme et mon corps incertain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des
astres
, des fleurs du matin ! Malheur, dieu pâle aux y
nvisible est une belle nuit constellée Et chacun de nos hommes est un
astre
merveilleux O nuit, o nuit ébloui
trueux m’a pénétré, m’empoisonne, Mes yeux nagent loin de moi, Et les
astres
intacts sont mes maîtres sans épreuve. La bête de
eraude ou de diamant, Seront plus clairs, plus clairs encore, Que les
astres
du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos
eraude ou de diamant, Seront plus clairs, plus clairs encore, Que les
astres
du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos