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1 (1901) Lunaire « Lunaire »
des déments, Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands. Les astres assez bien figurent les abeilles De ce miel lumin
2 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
ante les tours que l’on va faire. Le ciel sans teinte est constellé D’ astres pâles comme du lait. Sur les tréteaux l’Arlequi
3 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
Vante les tours que l’on va faire Le Ciel sans teinte est constellé D’ astres pâles comme du lait Sur les tréteaux l’Arlequin
4 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
urs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes,
5 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
fatal Aux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté t
6 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
ux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les pioches. * *   * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté t
7 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
l Aux créneaux aux créneaux laissez-là les pioches * *   * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté t
8 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
ute la vie. Là-haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les astres dont se nourrit le vide. Et voici le spectacle
9 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
mps du waguemestre On est bien plus serré que dans les autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la n
10 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
mps du vaguemestre On est bien plus serré que dans les autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la n
11 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
« Aux créneaux, aux créneaux ! Laissez-là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons, Cœur obus éclaté
12 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
temps du vaguemestre On était plus serrés que dans les autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la n
13 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
urs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes.
ute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les astres dont se nourrit le vide. Et voici le spectacle
14 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
urs pendent aux citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes.
ute la vie, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide Comme les astres dont se nourrit le vide. Et voici le spectacle
15 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
pas moins fort que le mien Je ne chante pas ce monde ni les autres astres Je chante toutes les possibilités de moi-même hor
Je chante toutes les possibilités de moi-même hors de ce monde et des astres Je chante la joie d’errer et le plaisir d’en mour
16 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
vigne où les pampres Répandaient leur clarté sur la ville et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres oiseaux De ma gloire
l vers le brûlant soleil Les suivirent dans l’onde où s’enfoncent les astres Lorsque la nuit revint couverte d’yeux ouverts Er
ntenait les mers les animaux les plantes Les cités les destins et les astres qui chantent Les hommes à genoux sur la rive du c
17 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
e d’existence, Criant : « Depuis cent ans j’espérais ton appel. « Les astres de ta vie influaient sur ma danse ; « Morgane reg
18 (1911) Cortège « Cortège »
oignerai, m’illuminant au milieu d’ombres Et d’alignements d’yeux des astres bien-aimés. Oiseau tranquille, au vol inverse,
19 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
âme et mon corps incertain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres , des fleurs du matin ! Malheur, dieu pâle aux y
20 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
nvisible est une belle nuit constellée Et chacun de nos hommes est un astre merveilleux               O nuit, o nuit ébloui
21 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
trueux m’a pénétré, m’empoisonne, Mes yeux nagent loin de moi, Et les astres intacts sont mes maîtres sans épreuve. La bête de
22 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
eraude ou de diamant, Seront plus clairs, plus clairs encore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos
23 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
eraude ou de diamant, Seront plus clairs, plus clairs encore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos
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