904 A Strasbourg en 1904 J’arrivai pour le lundi gras A l’hôtel m’
assis
devant l’âtre Près d’un chanteur de l’Opéra Qui n
souvenir d’un meurtre et sur Laquelle bien souvent tu t’es longtemps
assise
: « Gottfried apprenti de Brühl, l’an seize cen
se nourrit le vide. Et voici le spectacle Et pour toujours je suis
assis
dans un fauteuil. Ma tête, mes genoux, mes coudes
n aille Vers le nord glorieux l’intrépide bleusaille Les 3 servants
assis
dodelinent leurs fronts Où brillent leurs yeux cl
se nourrit le vide. Et voici le spectacle Et pour toujours je suis
assis
dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes,
se nourrit le vide. Et voici le spectacle Et pour toujours je suis
assis
dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes,
des pastèques Te voici à Coblence à l’hôtel du Géant Te voici à Rome
assis
sous un néflier du Japon Te voici à Amsterdam a
Il y a surtout des juifs leurs femmes portent perruque Elles restent
assises
exsangues au fond des boutiques Tu es debout de
es pastèques Te voici à Coblence à l’hôtel du Géant Te voici à Rome
assis
sous un néflier du Japon Te voici à Amsterdam a
Il y a surtout des juifs leurs femmes portent perruque Elles restent
assises
exsangues au fond des boutiques Tu es debout deva
as et sur ces rails roule un long train de marchandises Tu pleurais
assise
près de moi au fond d’un fiacre Et maintenant T
aux fresques qui figurent L’inceste solaire et nocturne dans les nues
Assieds
-toi là pour mieux ouïr les voix ligures Au son de
fresques qui figurent L’inceste solaire et nocturne dans les nues : «
Assieds
-toi là, pour mieux ouïr les voix ligures Au son d
nnonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte,
assise
sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette, L
nnonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte,
assise
sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette, L