Anvers Anvers on bâtit une tour Ville trompée un prince
arrive
Dix fois de toi fera le tour Toutes tes mains à l
ux était blonde aux yeux doux Mais pas d’ici Seigneur que votre règne
arrive
Mangez les tartines comme du pain béni Que la m
ariée soit soûle comme une grive Je me souviens Amour que votre règne
arrive
On ne respire plus Bonsoir la compagnie Bonsoir
qui voient de loin, Nous envoient des baisers sans nombre. La nuit
arrive
tout à coup Comme l’amour dans ces ruines. Du Rhi
ons Je suis dispos Et content de pouvoir me laver ce qui ne m’est pas
arrivé
depuis trois jours Suis lavé je vais me faire ras
seaux Dans les citronniers Et de la cuisine
arrive
La chanson vive du beurre sur le feu Un rayon tra
J’aurais mis mon habit espagnol Pour aller sur la route par laquelle
Arrive
dans son vieux carrosse Ma grand’mère qui se refu
lieu de sourire debout, Les mannequins grimaçaient pour l’éternité.
Arrivé
à Munich depuis quinze ou vingt jours, J’étais en
ins tremblent, Je pleure et je voudrais mourir. Les barques étaient
arrivées
A un endroit où les chevau-légers Savaient qu’un
Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en
arrive
Dans les glaciers de la mémoire A se confondre av
lieu de sourire debout, Les mannequins grimaçaient pour l’éternité.
Arrivé
à Munich depuis quinze ou vingt jours, J’étais en
ins tremblent, Je pleure et je voudrais mourir. Les barques étaient
arrivées
A un endroit où les chevau-légers Savaient qu’un
Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en
arrive
Dans les glaciers de la mémoire A se confondre av
nes-gens Caméléons des autos-canons Et vous classe 15 Craquements des
arrivées
ou bien flottaison blanche dans les cieux J’étais
A tire d’aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux D’Afrique
arrivent
les ibis les flamants les marabouts L’oiseau Roc
out de son ardente cendre Les sirènes laissant les périlleux détroits
Arrivent
en chantant bellement toutes trois Et tous aigle
A tire d’aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux D’Afrique
arrivent
les ibis les flamants les marabouts L’oiseau Roc
out de son ardente cendre Les sirènes laissant les périlleux détroits
Arrivent
en chantant bellement toutes trois Et tous aigles
est quand jadis le roi s’en allait à Vincennes Quand les ambassadeurs
arrivaient
à Paris Quand le maigre Suger se hâtait vers la S
terre dans la zône des armées J’atteignais l’âge mûr quand la guerre
arriva
Et dans ce jour d’août 1915 le plus chaud de l’an
revenus pour m’adorer, Et j’espérais la fin du monde, Mais la mienne
arrive
en sifflant comme un ouragan. * * * [« J’ai