ur est un hibou Qu’on cloue, qu’on décloue, qu’on recloue. De sang, d’
ardeur
, il est à bout. Tous ceux qui m’aiment je les lou
Le Brasier II Je flambe dans le brasier à l’
ardeur
adorable, Et les mains des croyants m’y rejettent
es chevaux Au Zenith au Nadir aux 4 points cardinaux Et dans l’unique
ardeur
de cette veillée d’armes Et ce serait sans doute
e est le soleil Et la lune, son cou tranché. Je voudrais éprouver une
ardeur
infinie. Monstre de mon ouïe, tu rugis et tu pleu
e tourne, ô belle, ô belle nuit. Liens déliés par une libre flamme,
ardeur
Que mon souffle éteindra, ô morts, à quarantaine.
ui rendent les pierres agiles. II Je flambe dans le pyrée à l’
ardeur
adorable Et les mains des croyants m’y rejettent
rendent les pierres agiles. II Je flambe dans le brasier à l’
ardeur
adorable Et les mains des croyants m’y rejettent
oir la beauté qu’on appelle antique Et qui est la noblesse la force l’
ardeur
l’âme l’usure De ce qui est neuf et qui sert Surt
ouissons de tout même de nos souffrances Notre humeur est charmante l’
ardeur
vient quand il faut Nous sommes narquois car nous
hrist est nu. Jetez, jetez sur lui La robe sans couture. Eteignez les
ardeurs
. Au puits vont se noyer tant de tintements d’heur
igne obscène Belphégor le soleil le silence ou le chien Cette furtive
ardeur
des serpents qui s’entr’aiment Et le larron des f