ytilène Le fil de fer est là qui luit Comme ils cueillaient la rose
ardente
Leurs yeux tout à coup ont fleuri Et quel soleil
[Calligramme (jet d’eau)] [jet d’eau] la lune
ardente
et toujours neuve un bouton de rose doux comme un
plus grand qu’aucun âme ait jamais celé Et je porte avec moi cette
ardente
souffrance Comme le ver luisant tient son corps e
O mémoire, combien de races qui forlignent Des Tyndarides aux vipères
ardentes
de mon bonheur, Et les serpents ne sont ils que l
De l’ombre où jusqu’au jour les lucioles sont Les larmes d’un regret
ardent
comme une flamme Tandis que vous sentez dans la n
res Entre les vêtements multicolores de la vitrine Entre les charbons
ardents
du marchand de marrons Entre deux vaisseaux norvé
res Entre les vêtements multicolores de la vitrine Entre les charbons
ardents
du marchand de marrons Entre deux vaisseaux norvé
rres Entre les vétements multicolors de la vitrine Entre les charbons
ardents
du marchant de marrons Entre deux vaisseaux norvé
dormir inerte, Face tournée au ciel changeant… … Juin, ton soleil,
ardente
lyre, Brûle mes doigts endoloris. Triste et silen
est morte ainsi que le printemps O Soleil c’est le temps de la Raison
ardente
Et j’attends Pour la suivre
O mémoire, combien de races qui forlignent Des Tyndarides aux vipères
ardentes
de mon bonheur Et les serpents ne sont-ils que le
O mémoire, combien de races qui forlignent Des Tyndarides aux vipères
ardentes
de mon bonheur, Et les serpents ne sont-ils que l
moi Comme deux femmes qui rient Je courbe tristement la tête Devant l’
ardente
moquerie Ce rire se répand
on. D’autres jours ont pleuré avant de mourir dans des tavernes, Où d’
ardents
bouquets rouaient, Aux yeux d’une mûlatresse qui
phénix ce bûcher qui soi-même s’engendre Un instant voile tout de son
ardente
cendre Les sirènes laissant les périlleux détroit
phénix ce bûcher qui soi-même s’engendre Un instant voile tout de son
ardente
cendre Les sirènes laissant les périlleux détroit