itre (incipit : « Ermenonville, arbres tremblants ») Ermenonville,
arbres
tremblants, Temple de la philosophie Que Rousseau
evaux de frise Pendant le blanc et nocturne novembre Alors que les
arbres
déchiquetés par l’artillerie Vieillissaient encor
frise Entourés de vagues de fils de fer Mon cœur renaissait comme un
arbre
au printemps Un arbre fruitier sur lequel s’épano
ues de fils de fer Mon cœur renaissait comme un arbre au printemps Un
arbre
fruitier sur lequel s’épanouissent
es jours mon amour à Madeleine La neige met de pâles fleurs sur les
arbres
Et toisonne d’hermine les chevaux de f
y [Maison] voici la maison où naissent les étoiles et les divinités [
Arbre
] cet arbrisseau qui se prépare à fructifier te re
t les enfants s’en vont devant, Les autres suivent en rêvant ; Chaque
arbre
fruitier se résigne Quand de très loin ils lui fo
Funambule des lianes du printemps Tu assassines les
arbres
qui sont tes G.V.C. La poule d’eau caquète et plo
Funambule des lianes du printemps Tu assassines les
arbres
qui sont tes G.V.C. La poule d’eau caquète et plo
s chérubins fous d’amour En l’honneur du Dieu des armées * * * Un
arbre
dépouillé sur une butte * * * Le bruit des tr
Tours Les Tours ce sont les rues Puits Puits ce sont les places Puits
Arbres
creux qui abritent les Câpresses vagabondes Les C
Tours Les tours ce sont les rues Puits Puits Ce sont les places Puits
Arbres
creux qui enlacent les Capresses vagabondes Les C
enfant Je me souviens du si délicat si inquiétant Fétiche dans l’
arbre
Et du double fétiche de la fécondité Plus ta
enfant Je me souviens du si délicat si inquiétant Fétiche dans l’
arbre
Et du double fétiche de la fécondité Plus ta
a vertu Ce saphir veiné il faut rire ! Rois de phosphore sous les
arbres
les bottines entre des plumes bleues La danse des
chats d’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des
arbres
pleins d’oiseaux muets et de singes. » Les mann
chats d’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des
arbres
pleins d’oiseaux muets et de singes. » Les mann
rtaient de la barbe Nouveau cri de Peau-Rouge Musique angélique des
arbres
Disparition de l’enfant Les saltimbanques soulevè
aient de la barbe, Nouveaux cris de Peau Rouge. Musique angélique des
arbres
. Disparition de l’enfant. Les saltimbanques sou
ciel où l’amour guide les destinées Les feuillards repoussés sur l’
arbre
de la croix Et même la fleur de lys qui meurt au
le vent C’est le fils pâle et vermeil de la douloureuse mère C’est l’
arbre
toujours touffu de toutes les prières C’est la do