Chant d’
amour
Voici de quoi est fait le chant symphonique de
Chant d’amour Voici de quoi est fait le chant symphonique de l’
amour
Il y a le chant de l’amour de jadis Le bruit des
de quoi est fait le chant symphonique de l’amour Il y a le chant de l’
amour
de jadis Le bruit des baisers éperdus des amants
de jadis Le bruit des baisers éperdus des amants illustres Les cris d’
amour
des mortelles violées par les dieux Les virilités
le cri des Sabines au moment de l’enlèvement Il y a aussi les cris d’
amour
des félins dans les jongles La
tropicales Le tonnerre des artilleries qui accomplissent le terrible
amour
des peuples Les vagues de la mer où na
es de la mer où naît la vie et la beauté Il y a là le chant de tout l’
amour
du monde GUILLAUME APOLLINAIRE
ar deux une noce Nostalgie cigares pipes courbées en crosses Ci-gît m’
amour
mal culotté ô tabagie. Du dicke Du L’amour revi
bées en crosses Ci-gît m’amour mal culotté ô tabagie. Du dicke Du L’
amour
revient en boumerang L’amour revient à en vomir l
r mal culotté ô tabagie. Du dicke Du L’amour revient en boumerang L’
amour
revient à en vomir le revenant Ils ont demandé ta
nd jardin rhénan Un phonographe énamouré pour dix pfenings Chanta l’
amour
à quatre voix de chanteurs morts Des châtrés enrh
du pain béni Que la mariée soit soûle comme une grive Je me souviens
Amour
que votre règne arrive On ne respire plus Bonsoir
rames Dans la nuit sur le Rhin et le coucou chanter Puis j’ai jasé d’
amour
de l’amour regretté Avec tous les sapins changés
la nuit sur le Rhin et le coucou chanter Puis j’ai jasé d’amour de l’
amour
regretté Avec tous les sapins changés en bonnes f
Épousailles A une qui est au bord de l’Océan. L’
amour
a épousé l’absence, un soir d’été ; Si bien que m
l’Océan. L’amour a épousé l’absence, un soir d’été ; Si bien que mon
amour
pour votre adolescence Accompagne à pas lents sa
tre absence, Qui, très douce, le mène et, tranquille, se tait. Et l’
amour
qui s’en vint aux bords océaniques, Où le ciel se
Le Teint Comme le soufre qui noircit L’argent et casse l’or l’
amour
Ternit mes yeux brisa aussi Ce cœur Un
ur Une créole à la Havane Le teint blanc Sauvée par Dieu l’
amour
la damne
Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine. Et nos
amours
, faut-il qu’il m’en souvienne ? La joie venait to
t, sonne l’heure, Les jours s’en vont, je demeure. L’
amour
s’en va comme cette eau courante, L’amour s’en va
s’en vont, je demeure. L’amour s’en va comme cette eau courante, L’
amour
s’en va ; comme la vie est lente Et comme l’Espér
. Passent les jours et passent les semaines, Ni temps passé, ni les
amours
reviennent ; Sous le pont Mirabeau coule la Seine
tent des lucioles Et derrière les murs des flûtes des violes Disent l’
amour
perdu que l’on veut retrouver Puis quand les in
flamme Tandis que vous sentez dans la nuit de votre âme Des violes d’
amour
vibrer le dernier son Et l’heure va venir ô bel
r sommeil Quand passera le guet avec son cri pareil Aux plaintes de l’
amour
qui vous rendit ingrates Alors sur les perrons
ées Comme leur Tour et par la mort effarouchées Attendent cependant l’
amour
qui va venir.
Le son du Cor Mon
amour
est comme un fiévreux que seul apaise Le poison
u es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans étoile L’
amour
a incanté mes yeux tristes et las Et tout est i
i Qu’à travers ma folie jadis j’ai crue impure J’ai les yeux de l’
Amour
qui sont troubles d’émoi De veilles et de pleur
Un soir de demi-brume, à Londres, Un voyou, qui ressemblait à Mon
amour
, vint à ma rencontre, Et le regard qu’il me jeta
is le souverain d’Egypte, Sa sœur-épouse, son armée, Si tu n’es pas l’
amour
unique ! Au tournant d’une rue brûlant De tous
Sortit saoule d’une taverne Au moment où je reconnus La fausseté de l’
amour
même… Lorsqu’il fut de retour enfin Dans sa pat
e vaincre, se réjouit Lorsqu’il la retrouva plus pâle, D’attente et d’
amour
yeux pâlis, Caressant sa gazelle mâle. J’ai pen
sant sa gazelle mâle. J’ai pensé à ces rois heureux Lorsque le faux
amour
et celle Dont je suis encore amoureux, Heurtant l
s-nous assez divagué De la belle aube au triste soir ?… Adieu, faux
amour
confondu Avec la femme qui s’éloigne, Avec celle
it l’aube d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée, Chanté l’
amour
à voix virile Au moment d’amour de l’année :
i chanté ma joie bien-aimée, Chanté l’amour à voix virile Au moment d’
amour
de l’année :
Poèmes de guerre et d’
amour
Per te præsentit aruspex O mon très cher
amour
, toi, mon œuvre et que j’aime, A jamais j’allumai
départ, Tu transmettes mon nom aux hommes en retard Toi, la vie et l’
amour
, ma gloire et mon emblème ; Et je suis soucieux
ui l’ai conçue et faite tout entière. Ainsi, belle œuvre d’art, nos
amours
ont été Et seront l’ornement du ciel et de la ter
Immortalité O mon très cher
amour
, toi, mon œuvre, et que j’aime, A jamais j’alluma
départ Tu transmettes mon nom aux hommes en retard, Toi, la vie et l’
amour
, ma gloire et mon emblème ; Et je suis soucieux
ui l’ai conçue et faite tout entière. Ainsi, belle œuvre d’art, nos
amours
ont été Et seront l’ornement du ciel et de la ter
1915 1915 soldats de faïence et d’escarboucle Ô
AMOUR
1915 1915 soldats de faïence et d’escarboucle Ô
AMOUR
Voyage (incipit : « Adieu
amour
nuage qui ») A Mlle Paula Valmont [nuag
Adieu amour nuage qui ») A Mlle Paula Valmont [nuage] Adieu
amour
nuage qui fuis et n’a pas chu pluie fécondante re
Voyage (incipit : « Adieu
amour
nuage qui ») A Mlle Paula Valmont [nuage]
« Adieu amour nuage qui ») A Mlle Paula Valmont [nuage] Adieu
amour
nuage qui fuis et n’a pas chu pluie fécondante re
Sanglots Notre
amour
est réglé par les calmes étoiles
Voici voici nos mains que la vie fit esclaves Est mort d’
amour
ou c’est tout comme Est mort d’amour et le voici
e la vie fit esclaves Est mort d’amour ou c’est tout comme Est mort d’
amour
et le voici Ainsi vont toutes cho
Fiord C’est la fête de Saint Olaf On excursionne en sky D’
amour
on revient paf C’est tout à fait exquis
ns O Vie et nous vous agaçons Les obus miaulaient un
amour
à mourir Un amour qui se meurt est plus doux q
Vie et nous vous agaçons Les obus miaulaient un amour à mourir Un
amour
qui se meurt est plus doux que les autres Mon sou
sang va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre
amour
salué par ceux qui vont périr Le printemps tout
O Vie et nous vous agaçons * * * Les obus miaulaient un
amour
à mourir Un amour qui se meurt est plus doux q
us vous agaçons * * * Les obus miaulaient un amour à mourir Un
amour
qui se meurt est plus doux que les autres Mon sou
sang va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre
amour
salué par ceux qui vont périr * * * Le printe
us aimons ô Vie et nous nous agaçons * * * Les obus miaulaient un
amour
à mourir Un amour qui se meurt est plus doux que
nous nous agaçons * * * Les obus miaulaient un amour à mourir Un
amour
qui se meurt est plus doux que les autres Mon sou
sang va tarir Les obus miaulaient entends chanter les nôtres Pourpre
Amour
salué par ceux qui vont périr * * * Le printe
chat * * * Une souris verte file parmi la mousse * * * Notre
amour
est un sous les étoiles * * * Le riz a brûlé
* Le mégaphone crie « allongez le tir » * * * Allongez le tir
amour
de vos batteries * * * Balance des batteries
alance des batteries lourdes cymbales qu’agitent les chérubins fous d’
amour
En l’honneur du Dieu des armées * * * Un arbr
proche Couple des marais les turquoises Hennissements partout
Amour
sacré amour de la Patrie Le Général Il
e des marais les turquoises Hennissements partout Amour sacré
amour
de la Patrie Le Général Il était Antis
proche Couple des marais les turquoises Hennissements partout
Amour
sacré amour de la Patrie Le Général Il
e des marais les turquoises Hennissements partout Amour sacré
amour
de la Patrie Le Général Il était Antis
s, ô vie et nous vous agaçons [trait] Les obus miaulaient un
amour
à mourir — Un amour qui se meurt est plus doux qu
ous vous agaçons [trait] Les obus miaulaient un amour à mourir — Un
amour
qui se meurt est plus doux que les autres — mon s
ng va tarir, Les obus miaulaient… entends chanter les nôtres. Pourpre
amour
salué par ceux qui vont périr ! Le printemps to
ier sur lequel s’épanouissent Les fleurs de l’
amour
Pendant le blanc et nocturne novembre Tandis qu
Leurs mortelles odeurs Moi je décrivais tous les jours mon
amour
à Madeleine La neige met de pâles fleurs sur le
Sur la Méditerranée Et t’apportent mon
amour
Rose lys ô panthère ô colombes étoile bleue
ire ô ma Toutefleur Tous les lys montent en toi comme des cantiques d’
amour
et d’allégresse Et ces chants qui s’envolent ve
pays morose Pour Paris Paris joli Qu’un jour Dut créer l’
Amour
Ah ! la charmante chose Quitter un pays morose
ndant un tremblement de terre Tes yeux seront alors chargés de tout l’
amour
qui s’est amassé dans les regards de l’humanité d
es métamorphoses L’orchestre et les chœurs de ma bouche te diront mon
amour
Elle te le murmure de loin Tandis que les yeux fi
nuit pipes du jour Tout l’opium ô chevelures Les cheveux bruns de mon
amour
Et ces lenteurs tandis que dure L’éveil des monst
noire Au pied d’une potence un beau masque prend l’air Comme si de l’
amour
— ce pendu jaune et vert — Je voulais que brûlât
qu’elle m’aime. » Et n’aurais-je jamais une chose à mon gré Sinon l’
amour
, du moins une mort aussi belle. Dis-moi, le savai
e (incipit : « La femelle de l’alcyon ») La femelle de l’alcyon, L’
amour
, les volantes sirènes, Savent de mortelles chanso
en moi Tout Sauf mon
Amour
Eh. Oh. Ha.
Tout Sauf mon
Amour
Eh. Oh.
ois à sa santé Honore ton outil sans le laisser inerte Brise-le par
amour
au moment de ta perte Et méprise ceci Jouir sans
re Toutes les filles A la fontaine J’ai tant de peine J’ai tant d’
amour
Dit la plus belle Qu’il soit fidèle Et moi je l
étros et les taxis avec Ô Guerre multiplication de l’
amour
Petit sifflet à 2 trous
os et les taxis avec Ô Guerre multiplication de l’
amour
Petit sifflet à 2 trous
sespoir Et le rire de tous l’écho de sa Pensée. O douce Vie, ô doux
Amour
que je rebute Tendresse du Printemps qui me fait
s qui résonnez quand je chante ; c’est vous, La cause de l’impossible
amour
que j’avoue Et qui m’avez donné la force de le di
et l’ancolie Ont pourri dans le jardin Où dort la Mélancolie Entre l’
Amour
et le Dédain. Il y vient aussi nos ombres Que l
ur La biche du silence éperdu passait vite Un rossignol meurtri par l’
amour
chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueil
ur La biche du silence éperdu passait vite Un rossignol meurtri par l’
amour
chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueil
ons des lettres Attendons des ordres Fumons la pipe En songeant à l’
amour
Les deux tours sont là Regardons la rose La fon
La biche du silence éperdu passe vite Un rossignol meurtri par l’
amour
chante sur Le rosier de ton corps dont j’ai cue
ei, Domine. » Le soleil au déclin empourprait la montagne Et notre
amour
saignait comme les groseillers Puis étoilant ce p
lemagne, La nuit, pleurant des lueurs, mourait à nos pieds Et notre
amour
ainsi se mêlait à la mort. Au loin, près d’un feu
ul drame hasardeux ou magique, Aucun détail indifférent Ne rend notre
amour
pathétique. Et Thomas de Quincey buvant L’opium
rs toujours ouvertes le soir elle aime le ciné elle a été en Russie l’
amour
marié avec le dédain montre en perles à Montrouge
vergogneux. En s’en allant là-bas le paysan chantonne Une chanson d’
amour
et d’infidélité Qui parle d’une bague et d’un cœu
nvoient des baisers sans nombre. La nuit arrive tout à coup Comme l’
amour
dans ces ruines. Du Rhin, là-bas, sortent le cou,
e Chante Schinderhannes armé. Le brigand près de sa brigande Hennit d’
amour
au joli mai. Benzel accroupi lit la bible Sans
Juliette bientôt est saoule Et veut Hannes qui ne veut pas : « Pas d’
amour
maintenant, ma poule ; Sers nous un bon petit rep
ts. Nous lui dîmes adieu et puis… De ce puits sortit l’Espérance. L’
amour
lourd comme un ours privé Dansa debout quand nous
s. Nous lui dîmes adieu, et puis… De ce puits sortit l’Espérance. L’
amour
, lourd comme un ours privé, Dansa debout quand no
amoureuse il satisfait un rut qui le pousse et respecte la liberté d’
amour
de la femme — Fumer comme un condamné à mort — Le
s poules dans la cour caquètent, L’aube au ciel fait de roses plis, L’
amour
chemine à ta conquête. Mars et Vénus sont reven
eux ont péri ; C’est sur eux que pleurent les saules. Le grand Pan, l’
amour
, Jésus-Christ Sont bien morts et les chats miaule
urènes, La romance du mal-aimé, Et des chansons pour les sirènes. L’
amour
est mort, j’en suis tremblant, J’adore de belles
leuses ? Regret des jeux de la putain Et belle comme une panthère !
Amour
, vos baisers florentins Avaient une saveur amère
. Et moi j’ai le cœur aussi gros Qu’un cul de dame damascène. O mon
amour
, je t’aimais trop, Et maintenant j’ai trop de pei
une auréole autour de chaque front, La beauté des printemps et les
amours
fécondes, La douceur des yeux bleus que le sang a
ndité. — Puis quand la peste aura purifié la terre, Vivront en doux
amour
les bienheureux humains, Paisibles et très purs c
tes cuisses, Et je veux l’avouer, en dépit d’Avinain, Que me fait ton
amour
, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins
tes cuisses, Et je veux l’avouer, en dépit d’Avinain, Que me fait ton
amour
, pourvu que tu jouisses ? Ma bouche à tes seins
e africain Où l’on dansait où l’on chantait Où l’on faisait l’
amour
Et de longs discours Noble
Une nuit de sorcellerie Et de couples enchaînés par un atroce
amour
e africain Où l’on dansait où l’on chantait Où l’on faisait l’
amour
Et de longs discours Noble
Une nuit de sorcellerie Et de couples enchaînés par un atroce
amour
s, Le soleil en dansant remuait son nombril Et soudain le printemps d’
amour
et d’héroïsme Amena par la main un jeune jour d’a
eurs mains démentes L’entrelaces de leurs doigts fut leur seul laps d’
amour
. Elle balla, mimant un rythme d’existence, Cria
ers l’est, disant : « Qu’il monte « Le fils de la Mémoire, égale de l’
amour
. « Qu’il monte de la fange ou soit une ombre d’
emblait le Paraclet. Au petit bois de citronniers, s’énamourèrent, D’
amour
que nous aimons les dernières venues. Les village
La ville, cette nuit, semblait un archipel, Des femmes demandaient l’
amour
et la dulie, Et sombre, sombre fleuve, je me rapp
enfin solide Se multipliait en réalisant la diversité formelle de mon
amour
, J’admirerais mon ouvrage. * * * [« J’observ
t mes sens. L’un est pareil aux montagnes, au ciel, Aux villes, à mon
amour
. Il ressemble aux saisons, Il vit décapité, sa tê
Incertitude, oiseau feint, peint, quand vous tombiez, Le soleil et l’
amour
dansaient dans le village. Et tes enfants galants
on père, hélas ! que j’ai fait l’a Mour ! » — « L’
amour
, est-ce possible ? Demande le curé. Seriez-vous d
user toujours Du parfum qui subtil émane ; (Quelle friture aux p’tits
amours
!) D’en face chez le pétomane On n’a pas toujou
rire, avait une colique, Leur cria : « Mes
amours
! Je veux vous suggérer encore un de mes tours :
. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’
amour
est devenu mauvais. Qu’au brasier les flammes ren
e, Une femme, une rose morte : « Merci, que le dernier venu « Sur mon
amour
ferme la porte. « Je ne vous ai jamais connue. »
le est double au moins grâce à la glace Mon cœur par la raison où son
amour
l’induit Est parjure à présent pour la seconde fa
n pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud L’
amour
blessait au cœur les fous comme les sages
nd Mais que par bonheur j’eusse été près de vous Nous aurions parlé d’
amour
de façon imprécise Presque toujours en français E
refois. Réjouissons-nous parce que, Directeur du feu et des poètes, L’
amour
qui emplit ainsi que la lumière Tout le solide es
la lumière Tout le solide espace entre les étoiles et les planètes, L’
amour
veut qu’aujourd’hui mon ami André Salmon se marie
mi les inconnus Et je vivrai par ta chaleur et d’espérance Mais ton
amour
soleil brûle divinement Mon corps qu’être divin v
ai trouvé naguère au bord du Bras-de-Vesle. Le rossignol garrule et l’
Amour
renouvelle Ce pendant que l’obus rapace en miaula
ai trouvé naguère au bord du Bras-de-Vesle. Le rossignol garrule et l’
Amour
renouvelle Cependant que l’obus rapace en miaulan
s mots Et mon goût de la beauté est-il donc aussi vain Existes-tu mon
amour
Où n’es-tu qu’une entité que j’ai créée sans le v
S’est en allé Les tessons de ta voix que l’
amour
a brisée Nègres mélodieux Et je t’avais grisée
re S’est en allé Les tessons de ta voix que l’
amour
a brisée Nègres mélodieux Et je t’avais grisée
s, leur folie de machines. Les cafés gonflés de fumée Crient tout l’
amour
de leurs tziganes, De tous leurs siphons enrhumés
un vivant peut connaître Ayant éprouvé les douleurs et les joies de l’
amour
Ayant su quelquefois imposer ses idées Connaissan
s lapins » Le vent faisait danser en rond tous les sapins. « Lotte, l’
amour
rend triste. » — « Ilse, la vie est douce. » La
A Bacharach, il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d’
amour
tous les hommes à la ronde Devant son tribunal
es troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angoisse de l’
amour
te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais p
inondé à Montmartre Je suis malade d’ouïr les paroles bienheureuses L’
amour
dont je souffre est une maladie honteuse L’image
ges Avant de t’apercevoir du Mensonge et de l’Age Tu as souffert de l’
amour
à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et
es troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angoisse de l’
amour
te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais p
ondé à Montmartre Je suis malade d’ouïr les paroles bienheureuses L’
amour
dont je souffre est une maladie honteuse L’image
ges Avant de t’apercevoir du Mensonge et de l’Age Tu as souffert de l’
amour
à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et
A l’Italie (incipit : « L’
amour
a remué ma vie ») L’amour a remué ma vie comme
A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») L’
amour
a remué ma vie comme on remue la terre dans la zô
vête. La foule, en tous les sens, remuait en mêlant Des ombres sans
amour
qui se traînaient par terre Et des mains, vers le
vête. La foule, en tous les sens, remuait en mêlant Des ombres sans
amour
qui se traînaient par terre Et des mains, vers le
l’ombre incantent le plancher. Les humains savent tant de jeux : l’
amour
, la mourre. L’amour, jeu des nombrils ou jeu de l
e plancher. Les humains savent tant de jeux : l’amour, la mourre. L’
amour
, jeu des nombrils ou jeu de la grande oie. La mou
. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’
amour
est devenu mauvais. Qu’au pyrée les flammes renai
. Où sont ces têtes que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’
amour
est devenu mauvais. Qu’au Brasier les flammes ren
sa une bague A l’annulaire de la jeune morte : — Voici le gage de mon
amour
, De nos fiançailles. Ni le temps, ni l’absence Ne
umière. — — Trop tard, répondait la vivante. Repoussez, repoussez cet
amour
défendu, Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brill
assa une bague A l’annulaire de la jeune morte : Voici le gage de mon
amour
, De nos fiançailles. Ni le temps, ni l’absence Ne
umière. ‒ Trop tard, répondait la vivante. Repoussez, repoussez cet
amour
défendu. Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brill
ut paraît vieux dans cette neuve demeure Si bien qu’on comprend que l’
amour
de l’antique Le goût de l’anticaille Soit venu au
ée Partagez-vous nos corps comme on rompt les hosties Ces très-hautes
amours
et leur danse orpheline Deviendront à Paris le vi
e O Rome Maudire d’un seul coup mes anciennes pensées Et ce ciel où l’
amour
guide les destinées Les feuillards repoussés su
aufragé Vois les sages te font des gestes socratiques Vous parlerez d’
amour
quand il aura mangé Maraudeur étranger malhabil
agé ! Vois, les sages te font des gestes socratiques. Vous parlerez d’
amour
quand il aura mangé. Maraudeur étranger, malhab
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