it la louange Du paradis où près des anges, Nous revivrons, mes chers
amis
, Quand le bon Dieu l’aura permis. GUILLAUME APO
on : Une femme ayant sa raison, Un chat passant parmi les livres, Des
amis
en toute saison Sans lesquels je ne peux pas vivr
[Envoi autographe] [à l’encre rouge] A mon cher
ami
le Florentin Alberto Magnelli dont le goût est sû
lent ceux qui sont fondés en poésie. On a pavoisé Paris parce que mon
ami
André Salmon s’y marie. Nous nous sommes rencon
nfants et je dis toutes ces choses, Souvenir et avenir, parce que mon
ami
André Salmon se marie. Réjouissons-nous non pas
ce entre les étoiles et les planètes, L’amour veut qu’aujourd’hui mon
ami
André Salmon se marie. GUILLAUME APOLLINAIRE
lessé à la tête trépané sous le chloroforme Ayant perdu ses meilleurs
amis
dans l’effroyable lutte Je sais d’ancien et de no
sans m’inquiéter aujourd’hui de cette guerre Entre nous et pour vous
amis
Je juge cette longue querelle de la tradition et
chaque nuit c’est un flambeau. La sixième, métal de gloire, C’est l’
ami
aux si douces mains Dont chaque matin nous sépare
flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon
amie
, J’ose à peine regarder la divine mascarade — Qua
jardin Plein de saules gris et de romarins Il vous vient souvent des
amis
qu’on enterre Ah ! que vous êtes bien dans le bea
s, Et parmi les citrons leurs cœurs sont suspendus. * * * [« Mes
amis
m’ont enfin avoué leur mépris »] Mes amis m’o
ndus. * * * [« Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris »] Mes
amis
m’ont enfin avoué leur mépris. Je buvais à pleins
flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon
amie
. J’ose à peine regarder la divine mascarade — Qua
mbe en traversant les cieux ‒ Nous attendons ton bon plaisir, ô mon
amie
. ‒ J’ose à peine regarder la divine mascarade.
ons pas assez la joie De voir de belles choses neuves O mon
amie
hâte-toi, Crains qu’un jour un train ne
Nous traversâmes la ville Et rencontrions souvent Des parents, des
amis
qui se joignaient A la petite troupe des morts ré
Nous traversâmes la ville Et rencontrions souvent Des parents, des
amis
qui se joignaient A la petite troupe des morts ré
erranée Sous les citronniers qui sont en fleur toute l’année Avec tes
amis
tu te promènes en barque L’un est Nissard il y a
erranée Sous les citronniers qui sont en fleur toute l’année Avec tes
amis
tu te promènes en barque L’un est Nissard il y a