ur en bras de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant un petit
air
qu’il ne sait pas très bien Ça fait tout un opéra
ur en bras de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant un petit
air
qu’il ne sait pas très bien Et ça fait tout un op
en Amérique Au soir de la pêche merveilleuse l’œil du masque
Air
de petits violons au fond des anges rangés Dans
s lui fait face quand il songe à toi Le cadre bleu tandis que l’
air
agile s’ouvrait aussi Au milieu des regrets
ds les araignées roses à la nage Regrets d’invisibles pièges l’
air
Paisible se souleva mais sur le clavier musique
e se penche Car une rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’
air
est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles
e se penche Car une rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’
air
est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles
un bel enfant ; La biche passe avec ses faons ; Le nain regarde d’un
air
triste Grandir l’Arlequin trismégiste. Guillaum
rce un bel enfant La biche passe avec ses faons Le nain regarde, d’un
air
triste, Grandir l’Arlequin trismégiste
e se penche, car une rose lui redit la molle courbe d’une hanche. L’
air
est plein d’un terrible alcool filtré des étoiles
que s’éloignait, dans les vignes rhénanes, Sur un fifre lointain, un
air
de régiment. Le mai, le joli mai a paré les rui
aîne et lui son habit noir. Lors le serpent, rampant par là, dit d’un
air
digne : — « Prenez donc des feuill
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un
air
à triples-croches Mais avez-vous le mot ? Eh ! ou
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un
air
à triples-croches Mais avez-vous le mot ? Eh ! ou
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un
air
à triples croches Mais avez-vous le mot eh oui le
dirigeait ses pas Il s’arrêta au coin de la rue Saint-Martin Jouant l’
air
que je chante et que j’ai inventé Les femmes qui
rue Simon-le-Franc Puis saint-Merry se tut et l’inconnu reprenant son
air
de flûte Revint sur ses pas marcha jusqu’à la rue
ues vers le mélodieux ravisseur Il s’en allait indifférent jouant son
air
Il s’en allait terriblement Puis ailleurs A que
creux qui abritent les Câpresses vagabondes Les Chabins chantent des
airs
à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-oua
creux qui enlacent les Capresses vagabondes Les Chabins chantent des
airs
à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-Oua
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal, La mitrailleuse joue un
air
à triples croches Mais avez-vous le mot ? eh ! ou
côté-là Qu’est-ce que tu vois mon vieux M. D… 90 ou 324 un homme en l’
air
un veau qui regarde à travers le ventre de sa mèr
chevaux Le bon chanteur Girault nous chante après 9 heures Un grand
air
d’opéra toi l’écoutant tu pleures Je flatte de
côté là Qu’est-ce que tu veux mon vieux M. D. 90 ou 324 un homme en l’
air
un veau qui regarde à travers le ventre de sa mèr
r aller voir les saltimbanques Ces gens qui font des tours en plein
air
Commencent à être rares à Paris Dans ma jeunesse
oussière Et où quelques taches jaunes ou vertes ont persisté Comme un
air
de musique qui vous poursuit Vois-tu le personnag
Cortège Oiseau tranquille au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’
air
, A la limite où notre sol brille déjà, Baisse ta
n-aimés. Oiseau tranquille, au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’
air
, A la limite où brille déjà ma mémoire, Baisse ta
aller voir les saltimbanques. Ces gens qui font des tours en plein
air
Commencent à être rares à Paris. Dans ma jeunesse
oussière Et où quelques taches jaunes ou vertes ont persisté Comme un
air
de musique qui vous poursuit. Vois-tu le person
des vieilles, Les nuages du ciel Sont comme les barbes de biques. L’
air
tremble de flammes et de prières Le cimetière e
qu’il fallût tant de feu pour rôtir le corps humain C’est pourquoi l’
air
a un petit goût empyreumatique qui n’est ma foi p
Il s’en allait au milieu des Hamlets blafards Sur la flûte jouant les
airs
de la folie. Je le revis qui regardait un ours fa
n de l’obituaire. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des
airs
militaires, (Oui, tous vos péchés sont absous) No
ier, parfois, Faisait l’effet d’un fantôme. Les enfants déchiraient l’
air
En soufflant, les joues creuses, Dans leurs siffl
s de leur Maison. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des
airs
militaires, (Oui, tous vos péchés sont absous) No
ier, parfois, Faisait l’effet d’un fantôme. Les enfants déchiraient l’
air
En soufflant, les joues creuses, Dans leurs siffl
ude Je me souviens de toi ville des météores Ils fleurissaient en l’
air
pendant ces nuits où rien ne dort Jardins de la l
du ciel tissus des souvenirs les plus purs Et il flotte parfois en l’
air
de vagues nuages de craie Sur la planche brille
i dans la vigne éternelle Sortiront de la terre et viendront dans les
airs
Pour boire de mon vin par deux fois millénaire
l sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l’
air
Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour
l sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l’
air
Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour