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1 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section IV
ur en bras de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant un petit air qu’il ne sait pas très bien Ça fait tout un opéra
2 (1916) Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») - section IV
ur en bras de chemise Se rase près de la fenêtre En chantant un petit air qu’il ne sait pas très bien Et ça fait tout un op
3 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
en Amérique   Au soir de la pêche merveilleuse   l’œil du masque   Air de petits violons au fond des   anges rangés Dans
s   lui fait face quand il songe à toi Le cadre bleu   tandis que   l’ air agile s’ouvrait aussi   Au milieu des   regrets
ds les araignées roses   à la nage   Regrets d’invisibles pièges   l’ air Paisible se souleva mais sur le clavier   musique
4 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
e se penche   Car une rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’ air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles
5 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
e se penche    Car une rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’ air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles
6 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
un bel enfant ; La biche passe avec ses faons ; Le nain regarde d’un air triste Grandir l’Arlequin trismégiste. Guillaum
7 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
rce un bel enfant La biche passe avec ses faons Le nain regarde, d’un air triste, Grandir l’Arlequin trismégiste
8 (1913) Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») « Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») »
yeux ressemblent tant à ces deux grands ballons Qui s’en vont dans l’ air pur A l’aventure
9 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
e se penche, car une rose lui redit la molle courbe d’une hanche. L’ air est plein d’un terrible alcool filtré des étoiles
10 (1902) Mai « Mai »
que s’éloignait, dans les vignes rhénanes, Sur un fifre lointain, un air de régiment. Le mai, le joli mai a paré les rui
11 (1910) Le Système Métrique « Le Système métrique »
aîne et lui son habit noir. Lors le serpent, rampant par là, dit d’un air digne :                — « Prenez donc des feuill
12 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot ? Eh ! ou
13 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot ? Eh ! ou
14 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples croches Mais avez-vous le mot eh oui le
15 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
dirigeait ses pas Il s’arrêta au coin de la rue Saint-Martin Jouant l’ air que je chante et que j’ai inventé Les femmes qui
rue Simon-le-Franc Puis saint-Merry se tut et l’inconnu reprenant son air de flûte Revint sur ses pas marcha jusqu’à la rue
ues vers le mélodieux ravisseur Il s’en allait indifférent jouant son air Il s’en allait terriblement Puis ailleurs A que
16 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
creux qui abritent les Câpresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-oua
17 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
creux qui enlacent les Capresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-Oua
18 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
La forêt merveilleuse où je vis donne un bal, La mitrailleuse joue un air à triples croches Mais avez-vous le mot ? eh ! ou
19 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
côté-là Qu’est-ce que tu vois mon vieux M. D… 90 ou 324 un homme en l’ air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mèr
20 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
chevaux Le bon chanteur Girault nous chante après 9 heures Un grand air d’opéra toi l’écoutant tu pleures Je flatte de
21 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
côté là Qu’est-ce que tu veux mon vieux M. D. 90 ou 324 un homme en l’ air un veau qui regarde à travers le ventre de sa mèr
22 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
r aller voir les saltimbanques Ces gens qui font des tours en plein air Commencent à être rares à Paris Dans ma jeunesse
oussière Et où quelques taches jaunes ou vertes ont persisté Comme un air de musique qui vous poursuit Vois-tu le personnag
23 (1911) Cortège « Cortège »
Cortège Oiseau tranquille au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’ air , A la limite où notre sol brille déjà, Baisse ta
n-aimés. Oiseau tranquille, au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’ air , A la limite où brille déjà ma mémoire, Baisse ta
24 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
aller voir les saltimbanques. Ces gens qui font des tours en plein air Commencent à être rares à Paris. Dans ma jeunesse
oussière Et où quelques taches jaunes ou vertes ont persisté Comme un air de musique qui vous poursuit. Vois-tu le person
25 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
des vieilles, Les nuages du ciel Sont comme les barbes de biques. L’ air tremble de flammes et de prières Le cimetière e
26 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
qu’il fallût tant de feu pour rôtir le corps humain C’est pourquoi l’ air a un petit goût empyreumatique qui n’est ma foi p
27 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
Il s’en allait au milieu des Hamlets blafards Sur la flûte jouant les airs de la folie. Je le revis qui regardait un ours fa
28 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
n de l’obituaire. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militaires, (Oui, tous vos péchés sont absous) No
ier, parfois, Faisait l’effet d’un fantôme. Les enfants déchiraient l’ air En soufflant, les joues creuses, Dans leurs siffl
29 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
s de leur Maison. Et tous bras dessus, bras dessous, Fredonnant des airs militaires, (Oui, tous vos péchés sont absous) No
ier, parfois, Faisait l’effet d’un fantôme. Les enfants déchiraient l’ air En soufflant, les joues creuses, Dans leurs siffl
30 (1917) La Victoire « La Victoire »
ude Je me souviens de toi ville des météores Ils fleurissaient en l’ air pendant ces nuits où rien ne dort Jardins de la l
31 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
du ciel tissus des souvenirs les plus purs Et il flotte parfois en l’ air de vagues nuages de craie Sur la planche brille
32 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
i dans la vigne éternelle Sortiront de la terre et viendront dans les airs Pour boire de mon vin par deux fois millénaire
33 (1912) Zône « Zône »
l sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l’ air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour
34 (1913) Zône « Zône »
l sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l’ air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour
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