le front de prophétiser Voici donc un poème Puisque j’
aime
et que nous aimons les poètes Mais si vous saviez
étiser Voici donc un poème Puisque j’aime et que nous
aimons
les poètes Mais si vous saviez comme j’aime les p
sque j’aime et que nous aimons les poètes Mais si vous saviez comme j’
aime
les prophètes Et cependant comme j’aime avant tou
s Mais si vous saviez comme j’aime les prophètes Et cependant comme j’
aime
avant tout la réalité L’avenir m’
Italie des temps passés de tous les temps Je t’
aime
Autant que tu aimas la beauté des tous les temps
passés de tous les temps Je t’aime Autant que tu
aimas
la beauté des tous les temps Mais je t’aime davan
Je t’aime Autant que tu aimas la beauté des tous les temps Mais je t’
aime
davantage encore Italie qui fais la guerre
e præsentit aruspex O mon très cher amour, toi, mon œuvre et que j’
aime
, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’ai
on œuvre et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’
aime
comme j’aime une belle œuvre d’art, Une noble sta
ue j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’
aime
une belle œuvre d’art, Une noble statue, un magiq
elle œuvre d’art, Une noble statue, un magique poème. Tu seras, mon
aimée
, un témoin de moi-même. Je te crée à jamais pour
Immortalité O mon très cher amour, toi, mon œuvre, et que j’
aime
, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’ai
n œuvre, et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’
aime
comme j’aime une belle œuvre d’art, Une noble sta
ue j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’
aime
une belle œuvre d’art, Une noble statue, un magiq
belle œuvre d’art, Une noble statue, un magique poème. Tu seras, mon
aimée
, un témoin de moi-même ; Je te crée à jamais pour
de Amaro vous savez que je vous
aime
bien Pâques Je me souviens de l’émot
O douce ô belle France Amaro vous savez que je vous
aime
bien Et nous aimons tous deux la France et l’It
uce ô belle France Amaro vous savez que je vous aime bien Et nous
aimons
tous deux la France et l’Italie. GUILLAUME APOLL
lundi Amaro vous savez que je vous
aime
bien
ô douce ô belle France Amaro vous savez que je vous
aime
bien Et nous aimons tous deux la France et l’Ital
douce ô belle France Amaro vous savez que je vous aime bien Et nous
aimons
tous deux la France et l’Italie GUILLAUME APOLL
épart ») Maudite celle-là qui ayant renoncé A n’être qu’une amante
aime
la chaste Gloire ; Le surnom de sa Vie sera le Dé
le firmament clair de mes pures disputes. Adieu, adieu ! vous qui m’
aimiez
, oubliez-moi ! Laissez-moi seule, triste et noire
yeux secs, l’heure de mon départ, Puisque, vous le savez, je ne vous
aime
pas. Rayons d’un regard d’homme, ô cordes de ma
qu’au miroir la dame soit plus belle Mais parce qu’elle est rare et j’
aime
ô rareté Cette fille qui meurt quand veut sa sœur
détestable ouvrage La farce du miroir trompa plus d’un amant Qui crut
aimer
sa belle et n’aima qu’un mirage. Guillaume Apol
a farce du miroir trompa plus d’un amant Qui crut aimer sa belle et n’
aima
qu’un mirage. Guillaume Apollinaire.
Puce Puces, amies, amantes même, Qu’ils sont cruels ceux qui nous
aiment
! Tout notre sang coule pour eux. Les bien-aimés
étoile bleue ô Madeleine Je t’
aime
avec délices Si je songe à tes yeux je songe aux
vient délier ma langue de poète Pour te redire je t’
aime
Ton visage est un bouquet de fleurs Au
larmes heureuses que la joie fait couler Et je t’
aime
comme tu m’aimes
que la joie fait couler Et je t’aime comme tu m’
aimes
Madeleine N
oue, qu’on recloue. De sang, d’ardeur, il est à bout. Tous ceux qui m’
aiment
je les loue.
Poème sans titre (« J’ai tant
aimé
les arts que je suis artilleur ») J’ai tant ai
itre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») J’ai tant
aimé
les arts que je suis artilleur. Il a fait bien ma
Démocratique Beau temps où il faudra s’
aimer
les uns les autres Et
audra s’aimer les uns les autres Et n’être
aimé
de personne Ne rien la
ne Qu’elle semble venir des cieux Oui je veux vous
aimer
mais vous aimer à peine Et mon
Qu’elle semble venir des cieux Oui je veux vous aimer mais vous
aimer
à peine Et mon mal est délicie
taine Qu’elle semble venir des cieux. Oui, je veux vous
aimer
, mais vous aimer à peine Et mon mal
Qu’elle semble venir des cieux. Oui, je veux vous aimer, mais vous
aimer
à peine Et mon mal est délicieux.
r sur des tombes jaunies il est des jours où j’
aime
où j’aime il est des jours o
tombes jaunies il est des jours où j’aime où j’
aime
il est des jours où je désai
t l’Europe l’Europe Regards sacrés Mains énamourées Et les amants s’
aimèrent
Tant que prêcheurs prêchèrent GUILLAUME APOLLIN
J’ai tant d’amour Dit la plus belle Qu’il soit fidèle Et moi je l’
aime
Dit sa marraine J’ai la migraine A la fontaine J’
est orgueilleux à l’extrême Pour ceux qu’il affectionne pour ce qu’il
aime
Non pour lui-même Et avant toute chose cel
i pleurer revenez demain et des fleurs toujours ouvertes le soir elle
aime
le ciné elle a été en Russie l’amour marié avec l
nts leurs Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’
aimer
en chemin Nous fait penser main dans la main A ce
Automne) Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne, Partant, j’
aime
les fruits, je déteste les fleurs ; Je regrette c
nts leurs Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’
aimer
en chemin Nous fait penser, main dans la main, A
l’Automne Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne, Partant, j’
aime
les fruits, je déteste les fleurs, Je regrette ch
Mon beau tsigane, mon amant, Ecoute les cloches qui sonnent Nous nous
aimions
éperdument Croyant n’être vus de personne. Mais
u désir Ennemis du regret Ennemis des larmes Ennemis de tout ce que j’
aime
encore. Guillaume Apollinaire.
e limite de Zélande Des mitrailleuses d’or coassent les légendes Je t’
aime
liberté, qui veilles dans les hypogées Harpe aux
e limite de Zélande Des mitrailleuses d’or coassent les légendes Je t’
aime
liberté, qui veilles dans les hypogées Harpe aux
A la ronde, les bourgs souffrent la passion Du Christ dont ma lâtrie
aime
la fiction. La chèvre a regardé les hameaux qui d
tout habillé Je tiens une savonnette Que m’a envoyée quelqu’un que j’
aime
Je vais me laver Je sors du trou où nous dormons
. A la ronde les bourgs souffrent la passion Du Christ dont ma lâtrie
aime
la fiction. La chèvre a regardé les hameaux qui d
me deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL SUT
AIMER
. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regar
me deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL SUT
AIMER
. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regar
e deux seins que l’on dégrafe tendent leurs bouts insolemment. Il sut
aimer
… Quelle épitaphe ! Un poète dans la forêt regar
s encore Destinées Ombre multiple que le soleil vous garde Vous qui m’
aimez
assez pour ne jamais me quitter Et qui dansez au
e creuse moi-même Et l’enfer c’est toujours : « Je voudrais qu’elle m’
aime
. » Et n’aurais-je jamais une chose à mon gré Si
es tombés des cerisiers de mai Sont les ongles de celle que j’ai tant
aimée
; Les pétales flétris sont comme ses paupières.
ché sexagénaire ? » « J’ai l’âme jeune en un vieux corps, J’
aime
me rappeler ce beau péché, mon père. » L’abbé d
ît. » — « Lotte, es-tu triste ? O petit cœur ! » — « Je crois qu’elle
aime
. » — « Dieu garde ! » — « Pour ma part je n’aime
— « Je crois qu’elle aime. » — « Dieu garde ! » — « Pour ma part je n’
aime
que moi-même ». — « Chut ! à présent grand-mère d
squ’ils n’eurent enfin, la pubère et l’adulte, De prétexte sinon de s’
aimer
nuitamment. Il y avait des fruits tout ronds co
e silence ou le chien, Parce qu’il est bien d’êre obscènes quand on s’
aime
? » Et le larron des fruits cria : « Je suis chré
d’Orphée Et les femmes, la nuit, feignant d’être des taures L’eussent
aimé
comme on l’aima, puisqu’en effet Il était pâle,
femmes, la nuit, feignant d’être des taures L’eussent aimé comme on l’
aima
, puisqu’en effet Il était pâle, il était beau c
aigre et magique, il eût scruté le firmament, Pâle et magique, il eût
aimé
des poétesses, Juste et magique, il eût épargné l
iens passent avec des cigares allumés, Et parce qu’Ottomar et Abraham
aiment
tous deux Lia aux yeux de brebis et dont le ventr
uand nous venions de naître Et les yeux secs j’attends. Si Thanatos m’
aimait
! Puisque tu veux nier la douleur positive Adap
Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous vous
aimons
O Vie et nous vous agaçons Les o
Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous vous
aimons
O Vie et nous vous agaçons * *
s caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous nous
aimons
ô Vie et nous nous agaçons * * * Les obus mia
et la tienne la croise * * * Tes seins sont les seuls obus que j’
aime
Ton souvenir est la lanterne de repérage qui nous
donne, O mon ombre, ô mon vieux serpent ! Au soleil, parce que tu l’
aimes
, Je t’ai menée, souviens-t’en bien, Ténébreuse ép
u l’aimes, Je t’ai menée, souviens-t’en bien, Ténébreuse épouse que j’
aime
. Tu es à moi en n’étant rien, O mon ombre en deui
’ai le cœur aussi gros Qu’un cul de dame damascène. O mon amour, je t’
aimais
trop, Et maintenant j’ai trop de peine. Les sept
amours et leur danse orpheline Deviendront à Paris le vin pur que tu
aimes
Et un râle infini qui venait de Sicile Signifia
Mais où est le regard lumineux des sirènes Il trompa les marins qu’
aimaient
ces oiseaux-là Il ne tournera plus sur l’écueil d
a rive du ciel Et le docile fer notre bon compagnon Le feu qu’il faut
aimer
comme on s’aime soi-même Tous les fiers trépassés
le docile fer notre bon compagnon Le feu qu’il faut aimer comme on s’
aime
soi-même Tous les fiers trépassés qui sont un sou
de crucifix et mes demeures lacustres Au bord des yeux de celle que j’
aime
tant Les fleurs qui s’écrient hors de bouches Et
es aux hommes apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’
aimerais
mieux nuit et jour dans les sphingeries, Vouloir
laté tu sifflais ta romance [étoiles] Nous vous
aimons
, ô vie et nous vous agaçons [trait] Les
isqu’ils n’eurent enfin la pubère et l’adulte De prétexte sinon que s’
aimer
nuitamment Il y avait des fruits tout ronds com
s d’Orphée Et les femmes la nuit feignant d’être des taures L’eussent
aimé
comme on l’aima puisqu’en effet Il était pâle i
s femmes la nuit feignant d’être des taures L’eussent aimé comme on l’
aima
puisqu’en effet Il était pâle il était beau com
e Maigre et magique il eût scruté le firmament Pâle et magique il eût
aimé
des poétesses Juste et magique il eût épargné les
s J’aurais souvent cassé ma canne Sur le dos d’un paysan J’aurais
aimé
entendre de la musique en mangeant Du jambon J’
t d’un chapeau gris Orné d’une seule petite plume défrisée. — Je vous
aime
, disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comm
ule petite plume défrisée. — Je vous aime, disait-il, Comme le pigeon
aime
la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumi
disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne
Aime
la lumière. — — Trop tard, répondait la vivante.
esse et leur génie. Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir
aimé
un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en
eus et d’un chapeau gris Orné d’une seule plume défrisée. ‒ Je vous
aime
, disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comm
ne seule plume défrisée. ‒ Je vous aime, disait-il, Comme le pigeon
aime
la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumi
disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne
Aime
la lumière. ‒ Trop tard, répondait la vivante.
esse et leur génie. Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir
aimé
un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en
ui t’étoile. * Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’
aime
Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que
qui t’étoile. Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’
aime
Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que
us te tournons bénignement le dos ITALIE Mais ne t’en fais pas nous t’
aimons
bien ITALIE f mère qui es aussi notre fille Nou
celui qui jette les grenades que chez celui qui plume les patates Tu
aimes
un peu plus que nous les gestes et les mots sonor
plus de bonheur ou de malheur en ce monde Mais parce que comme toi j’
aime
à penser seul et que les Boches m’en empêcheraien
Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu’on cultive Pour que j’
aime
ou que je baffoue, Et de toucher les vêtements Po
est temps que tu viennes, Et d’un lyrique pas s’avançaient ceux que j’
aime
Parmi lesquels je n’étais pas. Les géants couvert
hemine en fumant une pipe Le lièvre détale et voici un russieau que j’
aime
Et cette jeune femme nous salue charretiers
murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J’
aime
la grâce de cette rue industrielle Située à Paris
très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n’
aimez
rien tant que les pompes de l’Église Il est neuf
de l’amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être
aimé
Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dan
croix et à tous moments tu voudrais sangloter Sur moi sur celle que j’
aime
sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les y
murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J’
aime
la grâce de cette rue industrielle Située à Paris
très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n’
aimez
rien tant que les pompes de l’Eglise Il est neuf
de l’amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être
aimé
Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dan
croix et à tous moments tu voudrais sangloter Sur moi sur celle que j’
aime
sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les y
ijouterie et moi Mais celui qui veillait ne cachait point un revolver
aimé
Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince
tremblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le droit de l’
aimer
Il faut que je reste ici Où l’on fait de si jolie
remblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le droit de l’
aimer
Il faut que je reste ici Où l’on fait de si jolie
ijouterie et moi Mais celui qui veillait ne cachait point un revolver
aimé
Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince
rvage que j’ai regardé ces ouvrages avec une tendresse fraternelle. J’
aime
aussi le côté poétique et touchant de ses ouvrage
humés, De leurs garçons vêtus d’un pagne, Vers toi, toi que j’ai tant
aimée
, Moi, qui sais des lais pour les reines, Les co
a suivre toujours la forme noble et douce Qu’elle prend afin que je l’
aime
seulement Elle vient et m’attire ainsi qu’un fer
est parti pour un pays lointain, Faites-moi donc mourir puisque je n’
aime
rien. Mon cœur me fait si mal, il faut bien que
chire en accords profonds et agréables à respirer tel l’orgue que j’
aime
entendre Des Arlequines jouent dans le rose et
ans les prairies lyriques, Guider mon ombre aveugle en ces rues que j’
aimais
; Car revenir, c’est bon pour un soldat des Ind
i, Pharaon. Que tombent ces vagues de briques Si tu ne fus pas bien
aimée
! Je suis le souverain d’Egypte, Sa sœur-épouse,
ans les prairies lyriques, Guider mon ombre aveugle en ces rues que j’
aimais
; Car revenir, c’est bon pour un soldat des Ind
ous nos fautes jamais vénielles, O toi, le pur et le contrit que nous
aimons
, Sache nos cœurs, sache les jeux que nous aimons
le contrit que nous aimons, Sache nos cœurs, sache les jeux que nous
aimons
Et nos baisers quintessenciés comme du miel. Or
clet. Au petit bois de citronniers, s’énamourèrent, D’amour que nous
aimons
les dernières venues. Les villages lointains sont
de ne plus connaître l’ancien jeu des vers. Je ne sais plus rien et j’
aime
uniquement ; Mais les fleurs, à mes yeux, redevie
s aux hommes apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’
aimerais
mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir s
O Terre, O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’
aimerais
mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir s
nt ce soleil de chair grelotte, veux-tu voir, « Ma mémoire venir et m’
aimer
, ma semblable, « Et quel fils malheureux et beau
un son de cloche A travers nos mémoires Nous n’
aimons
pas assez la joie De voir de belles choses neuves
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