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1 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 2
le front de prophétiser                 Voici donc un poème Puisque j’ aime et que nous aimons les poètes Mais si vous saviez
étiser                 Voici donc un poème Puisque j’aime et que nous aimons les poètes Mais si vous saviez comme j’aime les p
sque j’aime et que nous aimons les poètes Mais si vous saviez comme j’ aime les prophètes Et cependant comme j’aime avant tou
s Mais si vous saviez comme j’aime les prophètes Et cependant comme j’ aime avant tout la réalité                 L’avenir m’
2 (1917) A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») « A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») »
Italie des temps passés de tous les temps                      Je t’ aime Autant que tu aimas la beauté des tous les temps
passés de tous les temps                      Je t’aime Autant que tu aimas la beauté des tous les temps Mais je t’aime davan
 Je t’aime Autant que tu aimas la beauté des tous les temps Mais je t’ aime davantage encore Italie qui fais la guerre       
3 (1912) Per te præsentit aruspex « Per te præsentit aruspex »
e præsentit aruspex O mon très cher amour, toi, mon œuvre et que j’ aime , A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’ai
on œuvre et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’ aime comme j’aime une belle œuvre d’art, Une noble sta
ue j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’ aime une belle œuvre d’art, Une noble statue, un magiq
elle œuvre d’art, Une noble statue, un magique poème. Tu seras, mon aimée , un témoin de moi-même. Je te crée à jamais pour
4 (1912) Immortalité « Immortalité »
Immortalité O mon très cher amour, toi, mon œuvre, et que j’ aime , A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’ai
n œuvre, et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’ aime comme j’aime une belle œuvre d’art, Une noble sta
ue j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard, Je t’aime comme j’ aime une belle œuvre d’art, Une noble statue, un magiq
belle œuvre d’art, Une noble statue, un magique poème. Tu seras, mon aimée , un témoin de moi-même ; Je te crée à jamais pour
5 (1918) A Luigi Amaro « À Luigi Amaro »
                                     de Amaro vous savez que je vous aime bien             Pâques Je me souviens de l’émot
                O douce ô belle France Amaro vous savez que je vous aime bien Et nous aimons tous deux la France et l’It
uce ô belle France Amaro vous savez que je vous aime bien Et nous aimons tous deux la France et l’Italie. GUILLAUME APOLL
6 (1917) à Luigi Amaro « A Luigi Amaro »
                                  lundi Amaro vous savez que je vous aime bien                                             
                ô douce ô belle France Amaro vous savez que je vous aime bien Et nous aimons tous deux la France et l’Ital
douce ô belle France Amaro vous savez que je vous aime bien Et nous aimons tous deux la France et l’Italie GUILLAUME APOLL
7 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
épart ») Maudite celle-là qui ayant renoncé A n’être qu’une amante aime la chaste Gloire ; Le surnom de sa Vie sera le Dé
le firmament clair de mes pures disputes. Adieu, adieu ! vous qui m’ aimiez , oubliez-moi ! Laissez-moi seule, triste et noire
yeux secs, l’heure de mon départ, Puisque, vous le savez, je ne vous aime pas. Rayons d’un regard d’homme, ô cordes de ma
8 (1914) La Farce du Miroir « La Farce du Miroir »
qu’au miroir la dame soit plus belle Mais parce qu’elle est rare et j’ aime ô rareté Cette fille qui meurt quand veut sa sœur
détestable ouvrage La farce du miroir trompa plus d’un amant Qui crut aimer sa belle et n’aima qu’un mirage. Guillaume Apol
a farce du miroir trompa plus d’un amant Qui crut aimer sa belle et n’ aima qu’un mirage. Guillaume Apollinaire.
9 (1908) La Puce « >La Puce »
Puce Puces, amies, amantes même, Qu’ils sont cruels ceux qui nous aiment  ! Tout notre sang coule pour eux. Les bien-aimés
10 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
étoile bleue                                      ô Madeleine Je t’ aime avec délices Si je songe à tes yeux je songe aux
vient délier ma langue de poète                  Pour te redire je t’ aime Ton visage est un bouquet de fleurs            Au
larmes heureuses que la joie fait couler                      Et je t’ aime comme tu m’aimes                                 
que la joie fait couler                      Et je t’aime comme tu m’ aimes                                     Madeleine N
11 (1908) Le Hibou « Le Hibou »
oue, qu’on recloue. De sang, d’ardeur, il est à bout. Tous ceux qui m’ aiment je les loue.
12 (1915) Poème sans titre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») « Poème sans titre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») »
Poème sans titre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») J’ai tant ai
itre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur. Il a fait bien ma
13 (1917) Orphée « Orphée »
                               Démocratique Beau temps où il faudra s’ aimer les uns les autres                            Et
audra s’aimer les uns les autres                            Et n’être aimé de personne                            Ne rien la
14 (1911) Marie « Marie »
ne                    Qu’elle semble venir des cieux Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine                    Et mon
      Qu’elle semble venir des cieux Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine                    Et mon mal est délicie
15 (1912) Marie « Marie »
taine               Qu’elle semble venir des cieux. Oui, je veux vous aimer , mais vous aimer à peine               Et mon mal
   Qu’elle semble venir des cieux. Oui, je veux vous aimer, mais vous aimer à peine               Et mon mal est délicieux.
16 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
r sur des tombes jaunies                      il est des jours où j’ aime où j’aime                      il est des jours o
tombes jaunies                      il est des jours où j’aime où j’ aime                      il est des jours où je désai
17 (1913) Hy de Park [Hyde Park] « Hy de Park [Hyde Park] »
t l’Europe l’Europe Regards sacrés Mains énamourées Et les amants s’ aimèrent Tant que prêcheurs prêchèrent GUILLAUME APOLLIN
18 (1914) Un soir d'Eté « Un soir d’Eté »
J’ai tant d’amour Dit la plus belle Qu’il soit fidèle Et moi je l’ aime Dit sa marraine J’ai la migraine A la fontaine J’
19 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 4
est orgueilleux à l’extrême Pour ceux qu’il affectionne pour ce qu’il aime        Non pour lui-même Et avant toute chose cel
20 (1917) [Calligramme (bouquet)] « [Calligramme (bouquet)] »
i pleurer revenez demain et des fleurs toujours ouvertes le soir elle aime le ciné elle a été en Russie l’amour marié avec l
21 (1902) La Tzigane « La Tzigane »
nts leurs Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’ aimer en chemin Nous fait penser main dans la main A ce
22 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
Automne) Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne, Partant, j’ aime les fruits, je déteste les fleurs ; Je regrette c
23 (1912) La Tsigane « La Tsigane »
nts leurs Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’ aimer en chemin Nous fait penser, main dans la main, A
24 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
l’Automne Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne, Partant, j’ aime les fruits, je déteste les fleurs, Je regrette ch
25 (1902) Les Cloches « [1] »
Mon beau tsigane, mon amant, Ecoute les cloches qui sonnent Nous nous aimions éperdument Croyant n’être vus de personne. Mais
26 (1913) Liens « Liens »
u désir Ennemis du regret Ennemis des larmes Ennemis de tout ce que j’ aime encore. Guillaume Apollinaire.
27 (1915) Visée « Visée »
e limite de Zélande Des mitrailleuses d’or coassent les légendes Je t’ aime liberté, qui veilles dans les hypogées Harpe aux
28 (1915) Visée « Visée »
e limite de Zélande Des mitrailleuses d’or coassent les légendes Je t’ aime liberté, qui veilles dans les hypogées Harpe aux
29 (1901) Passion « Passion »
A la ronde, les bourgs souffrent la passion Du Christ dont ma lâtrie aime la fiction. La chèvre a regardé les hameaux qui d
30 (1916) 4 heures « 4 heures »
tout habillé Je tiens une savonnette Que m’a envoyée quelqu’un que j’ aime Je vais me laver Je sors du trou où nous dormons
31 (1912) Passion « Passion »
. A la ronde les bourgs souffrent la passion Du Christ dont ma lâtrie aime la fiction. La chèvre a regardé les hameaux qui d
32 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
me deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER . Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regar
33 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
me deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER . Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regar
34 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
e deux seins que l’on dégrafe tendent leurs bouts insolemment. Il sut aimer … Quelle épitaphe ! Un poète dans la forêt regar
35 (1917) Ombre « Ombre »
s encore Destinées Ombre multiple que le soleil vous garde Vous qui m’ aimez assez pour ne jamais me quitter Et qui dansez au
36 (1912) L'Enfer « L’Enfer »
e creuse moi-même Et l’enfer c’est toujours : « Je voudrais qu’elle m’ aime . » Et n’aurais-je jamais une chose à mon gré Si
37 (1902) Mai « Mai »
es tombés des cerisiers de mai Sont les ongles de celle que j’ai tant aimée  ; Les pétales flétris sont comme ses paupières.
38 (1910) La Confession « La Confession »
ché sexagénaire ? »           « J’ai l’âme jeune en un vieux corps, J’ aime me rappeler ce beau péché, mon père. » L’abbé d
39 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
ît. » — « Lotte, es-tu triste ? O petit cœur ! » — « Je crois qu’elle aime . » — « Dieu garde ! » — « Pour ma part je n’aime
— « Je crois qu’elle aime. » — « Dieu garde ! » — « Pour ma part je n’ aime que moi-même ». — « Chut ! à présent grand-mère d
40 (1903) Le Larron « Le Larron »
squ’ils n’eurent enfin, la pubère et l’adulte, De prétexte sinon de s’ aimer nuitamment. Il y avait des fruits tout ronds co
e silence ou le chien, Parce qu’il est bien d’êre obscènes quand on s’ aime  ? » Et le larron des fruits cria : « Je suis chré
d’Orphée Et les femmes, la nuit, feignant d’être des taures L’eussent aimé comme on l’aima, puisqu’en effet Il était pâle,
femmes, la nuit, feignant d’être des taures L’eussent aimé comme on l’ aima , puisqu’en effet Il était pâle, il était beau c
aigre et magique, il eût scruté le firmament, Pâle et magique, il eût aimé des poétesses, Juste et magique, il eût épargné l
41 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
iens passent avec des cigares allumés, Et parce qu’Ottomar et Abraham aiment tous deux Lia aux yeux de brebis et dont le ventr
42 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
uand nous venions de naître Et les yeux secs j’attends. Si Thanatos m’ aimait  ! Puisque tu veux nier la douleur positive Adap
43 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
Que les dieux de mes yeux remplissent en silence          Nous vous aimons                O Vie et nous vous agaçons Les o
44 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
Que les dieux de mes yeux remplissent en silence          Nous vous aimons                O Vie et nous vous agaçons * *  
45 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
s caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous nous aimons ô Vie et nous nous agaçons * *   * Les obus mia
46 (1916) Fusée « Fusée »
et la tienne la croise * *   * Tes seins sont les seuls obus que j’ aime Ton souvenir est la lanterne de repérage qui nous
47 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
donne, O mon ombre, ô mon vieux serpent ! Au soleil, parce que tu l’ aimes , Je t’ai menée, souviens-t’en bien, Ténébreuse ép
u l’aimes, Je t’ai menée, souviens-t’en bien, Ténébreuse épouse que j’ aime . Tu es à moi en n’étant rien, O mon ombre en deui
’ai le cœur aussi gros Qu’un cul de dame damascène. O mon amour, je t’ aimais trop, Et maintenant j’ai trop de peine. Les sept
48 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
amours et leur danse orpheline Deviendront à Paris le vin pur que tu aimes Et un râle infini qui venait de Sicile Signifia
Mais où est le regard lumineux des sirènes Il trompa les marins qu’ aimaient ces oiseaux-là Il ne tournera plus sur l’écueil d
a rive du ciel Et le docile fer notre bon compagnon Le feu qu’il faut aimer comme on s’aime soi-même Tous les fiers trépassés
le docile fer notre bon compagnon Le feu qu’il faut aimer comme on s’ aime soi-même Tous les fiers trépassés qui sont un sou
de crucifix et mes demeures lacustres Au bord des yeux de celle que j’ aime tant Les fleurs qui s’écrient hors de bouches Et
49 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
es aux hommes apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’ aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries, Vouloir
50 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
laté tu sifflais ta romance [étoiles]                       Nous vous aimons ,        ô vie et nous vous agaçons [trait] Les
51 (1911) Le Larron « Le Larron »
isqu’ils n’eurent enfin la pubère et l’adulte De prétexte sinon que s’ aimer nuitamment Il y avait des fruits tout ronds com
s d’Orphée Et les femmes la nuit feignant d’être des taures L’eussent aimé comme on l’aima puisqu’en effet Il était pâle i
s femmes la nuit feignant d’être des taures L’eussent aimé comme on l’ aima puisqu’en effet Il était pâle il était beau com
e Maigre et magique il eût scruté le firmament Pâle et magique il eût aimé des poétesses Juste et magique il eût épargné les
52 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
s J’aurais souvent cassé ma canne Sur le dos d’un paysan J’aurais aimé entendre de la musique en mangeant Du jambon J’
53 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
t d’un chapeau gris Orné d’une seule petite plume défrisée. — Je vous aime , disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comm
ule petite plume défrisée. — Je vous aime, disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumi
disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumière. — — Trop tard, répondait la vivante.
esse et leur génie. Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en
54 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
eus et d’un chapeau gris Orné d’une seule plume défrisée. ‒ Je vous aime , disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comm
ne seule plume défrisée. ‒ Je vous aime, disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumi
disait-il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumière. ‒ Trop tard, répondait la vivante.
esse et leur génie. Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte ? On devient si pur qu’on en
55 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
ui t’étoile. * Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’ aime Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que
56 (1907) Fragment « Fragment »
qui t’étoile. Sirènes, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’ aime Vos yeux. Les degrés sont glissants. Au loin, que
57 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
us te tournons bénignement le dos ITALIE Mais ne t’en fais pas nous t’ aimons bien ITALIE f mère qui es aussi notre fille Nou
celui qui jette les grenades que chez celui qui plume les patates Tu aimes un peu plus que nous les gestes et les mots sonor
plus de bonheur ou de malheur en ce monde Mais parce que comme toi j’ aime à penser seul et que les Boches m’en empêcheraien
58 (1911) Cortège « Cortège »
Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu’on cultive Pour que j’ aime ou que je baffoue, Et de toucher les vêtements Po
est temps que tu viennes, Et d’un lyrique pas s’avançaient ceux que j’ aime Parmi lesquels je n’étais pas. Les géants couvert
59 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
hemine en fumant une pipe Le lièvre détale et voici un russieau que j’ aime Et cette jeune femme nous salue charretiers     
60 (1912) Zône « Zône »
murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J’ aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris
très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n’ aimez rien tant que les pompes de l’Église Il est neuf
de l’amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dan
croix et à tous moments tu voudrais sangloter Sur moi sur celle que j’ aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les y
61 (1913) Zône « Zône »
murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J’ aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris
très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n’ aimez rien tant que les pompes de l’Eglise Il est neuf
de l’amour te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dan
croix et à tous moments tu voudrais sangloter Sur moi sur celle que j’ aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les y
62 (1913) Arbre « Arbre »
ijouterie et moi Mais celui qui veillait ne cachait point un revolver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince
63 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
tremblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le droit de l’ aimer Il faut que je reste ici Où l’on fait de si jolie
64 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
remblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le droit de l’ aimer Il faut que je reste ici Où l’on fait de si jolie
65 (1916) Arbre « Arbre »
ijouterie et moi Mais celui qui veillait ne cachait point un revolver aimé Tu t’es promené à Leipzig avec une femme mince
66 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
rvage que j’ai regardé ces ouvrages avec une tendresse fraternelle. J’ aime aussi le côté poétique et touchant de ses ouvrage
67 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
humés, De leurs garçons vêtus d’un pagne, Vers toi, toi que j’ai tant aimée , Moi, qui sais des lais pour les reines, Les co
68 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
a suivre toujours la forme noble et douce Qu’elle prend afin que je l’ aime seulement Elle vient et m’attire ainsi qu’un fer
69 (1902) La Loreley « La Loreley »
est parti pour un pays lointain, Faites-moi donc mourir puisque je n’ aime rien. Mon cœur me fait si mal, il faut bien que
70 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
chire en accords profonds   et agréables à respirer tel l’orgue que j’ aime entendre Des Arlequines jouent dans le   rose et
71 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ans les prairies lyriques, Guider mon ombre aveugle en ces rues que j’ aimais  ; Car revenir, c’est bon pour un soldat des Ind
72 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
i, Pharaon. Que tombent ces vagues de briques Si tu ne fus pas bien aimée  ! Je suis le souverain d’Egypte, Sa sœur-épouse,
73 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ans les prairies lyriques, Guider mon ombre aveugle en ces rues que j’ aimais  ; Car revenir, c’est bon pour un soldat des Ind
74 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
ous nos fautes jamais vénielles, O toi, le pur et le contrit que nous aimons , Sache nos cœurs, sache les jeux que nous aimons
le contrit que nous aimons, Sache nos cœurs, sache les jeux que nous aimons Et nos baisers quintessenciés comme du miel. Or
75 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
clet. Au petit bois de citronniers, s’énamourèrent, D’amour que nous aimons les dernières venues. Les villages lointains sont
de ne plus connaître l’ancien jeu des vers. Je ne sais plus rien et j’ aime uniquement ; Mais les fleurs, à mes yeux, redevie
76 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
s aux hommes apprivoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’ aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir s
77 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
                O Terre, O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’ aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir s
78 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
nt ce soleil de chair grelotte, veux-tu voir, « Ma mémoire venir et m’ aimer , ma semblable, « Et quel fils malheureux et beau
79 (1917) La Victoire « La Victoire »
un son de cloche                      A travers nos mémoires Nous n’ aimons pas assez la joie De voir de belles choses neuves
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