Si la colombe poignardée Saigne encore de son refus J’en plume les
ailes
l’idée Et le poème que tu fus
oteau télégraphique] [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses
ailes
partout [train] où va donc ce train qui meurt au
s le voyage de Dante [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses
ailes
partout [train] où va donc ce train qui meurt au
u pour tout dire n’est intervenu Et pieux j’ai peiné pour achever les
ailes
Qu’un peu de cire fixe à mes épaules nues Et j’
il ira sur une île Pourrir face tournée vers le soleil splendide Deux
ailes
feuillolent sous le ciel d’Ionie.
à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
ailes
ma face et le soleil. O mémoire, combien de rac
de blancs chérubins Remplacent l’hiver, les sapins Et balancent leurs
ailes
. L’été, ce sont de grands-rabbins Ou bien de viei
ncardier revient avec une pipe dans sa gueule * * * Un chat-huant
aile
fauve yeux ternes gueule de petit chat et pattes
s Abatis de pihis Il y a un poème à faire sur l’oiseau qui n’a qu’une
aile
Nous l’enverrons en message téléphonique Traumati
Abatis de pi-his Il y a un poème à faire sur l’oiseau qui n’a qu’une
aile
Nous l’enverrons en message téléphonique Traumati
mers la langue En dansant devant leurs chevaux, Puis, battiez de vos
ailes
d’anges, Et, j’écoutai ces cœurs rivaux. * Une
mers la langue En dansant devant leurs chevaux ; Puis, battiez de vos
ailes
d’anges, Et j’écoutai ces chœurs rivaux. Une ar
nellement en élevant l’hostie L’avion se pose enfin sans refermer les
ailes
Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles
r les ailes Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles A tire d’
aile
viennent les corbeaux les faucons les hiboux D’Af
e Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule
aile
et qui volent par couples Puis s’en vient la colo
nellement en élevant l’hostie L’avion se pose enfin sans refermer les
ailes
Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles
r les ailes Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles A tire d’
aile
viennent les corbeaux les faucons les hiboux D’Af
e Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule
aile
et qui volent par couples Puis s’en vient la colo
t en restant elles touchent cette sirène violon Faons lourdes
ailes
l’incandesce quelques brasses encore Bourdons
à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
ailes
ma face et le soleil. O mémoire, combien de rac
à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs
ailes
ma face et le soleil. O mémoire, combien de rac
la mer au soleil ne supporte que l’ombre Que jettent des oiseaux les
ailes
éployées La parole est soudaine et c’est un die
oint venu De vol très indolent me tendre un beau calice. J’ai ri de l’
aile
grise et j’ôte mon cilice Tissé de crins soyeux p
es Et un râle infini qui venait de Sicile Signifiait en battement d’
ailes
ces paroles Les raisins de nos vignes on les a