forêt fuit au loin comme une armée antique Dont les lances, ô pins, s’
agitent
au tournant… Les villages éteints méditent mainte
hanson des rameurs sur les vagues se traîne La reine et l’enfant d’or
agitaient
les grelots Dont la fente évoquait la grenade qu’
forêt fuit au loin comme une armée antique Dont les lances, ô pins, s’
agitent
au tournant. Les villages éteints méditent main
ont d’assaut Les prêtres de ma bouche encenseront ta beauté Ton âme s’
agitera
comme une région pendant un tremblement de terre
comme une voix d’automne Et dans la synagogue pleine de chapeaux, on
agitera
les loulabim, Hanoten ne Kamoth bagoim tholahoth
de vos batteries * * * Balance des batteries lourdes cymbales qu’
agitent
les chérubins fous d’amour En l’honneur du Dieu d
Et, j’écoutai ces cœurs rivaux. * Une arme, ô ma tête inquiète ! J’
agite
un feuillard défleuri Pour écarter l’haleine tièd
s, Et j’écoutai ces chœurs rivaux. Une arme, ô ma tête inquiète ! J’
agite
un feuillard défleuri Pour écarter l’haleine tièd
La Victoire Un coq chante je rêve et les feuillards
agitent
Leurs feuilles qui ressemblent à de pauvres marin