inard. I J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’
adore
De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de
r souvenir Je jugerai Mes vers les arts Plastiques et toi-même Visage
adoré
Ispahan aux musiques du matin Réveille l’odeur
t et doré ; C’est le soir quand les riveraines Y baignent leurs corps
adorés
Et des champs de rameurs s’y traînent. La cinqu
j’aime ô rareté Cette fille qui meurt quand veut sa sœur formelle J’
adore
de Linda ce mobile reflet Qui la simule toute et
s comme celles que les Grecs avaient douées pour moins s’ennuyer Je t’
adore
ô ma déesse exquise même si tu n’es que dans mon
t en allé Il grava sur un banc près la porte Dauphine Les deux noms
adorés
Clémence et Joséphine Et deux rosiers grimpaien
t en allé Il grava sur un banc près la porte Dauphine Les deux noms
adorés
Clémence et Joséphine Et deux rosiers grimpaien
yrée I J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’
adore
De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de
sier I J’ai jeté dans le noble feu Que je transporte et que j’
adore
De vives mains et même feu Ce passé, ces têtes de
et soutiens-moi je regrette les mains De ceux qui les tendaient et m’
adoraient
ensemble Quelle oasis de bras m’accueillera demai
chansons pour les sirènes. L’amour est mort, j’en suis tremblant, J’
adore
de belles idoles : Les souvenirs lui ressemblant
Malgré les autans bleus, je me dresse divin Comme un rayon de lune
adoré
par la mer. En vain, j’ai supplié tous les saints
théologales de l’intelligence ? Jadis, les morts sont revenus pour m’
adorer
, Et j’espérais la fin du monde, Mais la mienne ar
s au jardin ce soir tu vins sage et voleur * * * Ceux de ta secte
adorent
-ils un signe obscène Belphégor le soleil le silen
jardin, ce soir, tu vins, sage et voleur. * * * Ceux de ta secte
adorent
-ils la vie obscène : Belphégor, le soleil, le sil